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  • Akkilou
  • La vie, c'est la positivité, l'espoir en un monde plus meilleur. Bref, un autre monde est possible comme on le dit.
De plus, il faut être fier d'être ce qu'on est et de ce qu'on a.
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Grain de sel

« Si quelqu’un t’a offensé, ne cherche pas à te venger. Assieds-toi au bord de la rivière et bientôt tu verras passer son cadavre »

 

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Ebola : la recette béninoise !


Aux grands maux, les grands remèdes, dit-on. Annoncé comme une maladie qui n’a pas de remède comme le VIH/Sida, le virus Ebola créé toujours la psychose au sein des populations. Mais découragement n’est pas béninois car des Béninois semblent avoir trouvé une recette. En effet, des rumeurs circulent sur une soi-disant recette à base de sel et d’oignon. Est-ce pour se prémunir ou pour en guérir ? Bien malin qui peut nous dire si cela est faux ou pas. En tout cas, avec ces populations désemparées, le ministre de la santé a quand même du pain sur la planche…

24 novembre 2015 2 24 /11 /novembre /2015 23:05

Après la gratuité de la scolarité accordée aux jeunes filles des classes de 6ème jusqu’en 3ème, c’est autour des jeunes filles des classes de 2nde, 1ère et Terminale de bénéficier de cette même mesure. Ainsi, en a décidé le gouvernement du président Boni Yayi samedi dernier.

Suite au conseil des ministres du samedi 21 novembre 2015, le gouvernement a décidé d’uniformiser la gratuité de la scolarité jusque là accordée aux élèves filles des classes de 6ème, 5ème, 4ème et 3ème. Ce conseil des ministres a donc étendu la gratuite de la scolarité aux jeunes filles des classes de seconde jusqu’en terminale. Ce qui veut dire que toute jeune fille se faisant inscrire dans l’une des classes seconde, Première ou Terminale n’a plus à s’inquiéter pour ce qui est des frais de scolarité, pour ce qui est des collèges d’enseignement général. C’est l’Etat qui prend désormais ces frais en charge. Ce qui est a priori salutaire quand on sait que chaque cela fait partie des casse-têtes que bon nombre d’élèves et pas seulement les jeunes filles sont appelés à résoudre pour pouvoir avoir accès aux salles de classes et ne pas se voir expulsés des salles au moment des devoirs. Cette situation est d’autres plus criarde dans les zones reculées où après d’incessants renvois et plaidoyer des parents d’élèves, ces derniers sont poussés à sortir leurs filles de l’école pour soit les envoyer aux champs, soit les inscrire à apprendre un métier manuel avec la clé un mariage parfois précoce. Ce qui contribue à la baisse à la baisse du taux des filles scolarisées au Bénin. Pour le gouvernement de Boni Yayi, cette nouvelle mesure vise non seulement à réduire le taux de déperdition scolaire au niveau de cette couche de la population, mais aussi et surtout à donner plus de chance à ces personnes qui constituent le levier du développement car éduquer une fille, c’est éduquer la nation. Des raisons que les années à venir pourront permettre de vérifier.

Gratuité oui, et la suite ?

Gratuité de la scolarité des jeunes filles de la Seconde à la Terminale. Encore une gratuité dirait-on ! Et c’est à raison au vu des gratuités décidées par le président Boni Yayi depuis sa prise fonction. Gratuité de la césarienne, gratuité des enseignements maternel et primaire, gratuité des frais d’inscription dans les universités publiques, gratuite des soins de santé des enfants de 0 à 5 ans et des femmes enceintes, etc., on a voulu soulager les peines des populations dans ces domaines. Mais à y voir de près la plupart de ces gratuités ne sont que l’ombre d’elle même. Elles souffrent de l’absence de mesures d’accompagnement. Lorsqu’elles existent, elles sont insuffisantes ou n’arrivent pas à temps. Résultats des courses, ce sont les travailleurs qui sont obligés d’étaler les disfonctionnements qui normalement ne devraient pas exister. A voir les problèmes qui émaillent les gratuités déjà existantes, l’Etat devrait au préalable les résoudre avant de procéder à une nouvelle mesure de gratuité surtout dans le domaine de l’éducation. Alors qu’on peine à donner aux enseignants ce qu’ils demandent, on annonce encore une gratuité. Si ce n’est pas de la provocation, cela en a l’air car qui dit gratuité, dit des fonds à débloquer comme pour supporter la scolarité des milliers de jeunes filles des classes de seconde en terminale. Il est resté à voir comment sera accueillie cette mesure surtout qu’il y en a qui réclameront leurs dus au niveau des directions de leurs établissement.

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A chacun sa force de frappe !

   A défaut de pirate, un pêcheur peut faire l'affaire !

 

Pourquoi chercher loin quand il y a à côté ? dit-on. C’est cette politique que les garde-côtes béninois ont pratiqué vendredi 11 novembre dernier. A défaut de s’en prendre aux pirates qui ne cessent de les narguer puisqu’on est à peu près 20 actes de piraterie, ils ont mesuré leur adresse de tir sur deux pêcheurs béninois dont l’un a rendu l’âme du fait des balles reçues. Voilà comment notre Marine se prépare pour parer aux pirates dont ils ne voient jamais la poussière. Drôle de d’entrainement !