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  • Akkilou
  • La vie, c'est la positivité, l'espoir en un monde plus meilleur. Bref, un autre monde est possible comme on le dit.
De plus, il faut être fier d'être ce qu'on est et de ce qu'on a.
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« Si quelqu’un t’a offensé, ne cherche pas à te venger. Assieds-toi au bord de la rivière et bientôt tu verras passer son cadavre »

 

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Ebola : la recette béninoise !


Aux grands maux, les grands remèdes, dit-on. Annoncé comme une maladie qui n’a pas de remède comme le VIH/Sida, le virus Ebola créé toujours la psychose au sein des populations. Mais découragement n’est pas béninois car des Béninois semblent avoir trouvé une recette. En effet, des rumeurs circulent sur une soi-disant recette à base de sel et d’oignon. Est-ce pour se prémunir ou pour en guérir ? Bien malin qui peut nous dire si cela est faux ou pas. En tout cas, avec ces populations désemparées, le ministre de la santé a quand même du pain sur la planche…

26 novembre 2010 5 26 /11 /novembre /2010 01:08

Les travaux de l’échangeur de Godomey sont depuis quelques semaines arrêtés. Sur la plateforme, le va et vient incessant des travailleurs chinois et béninois a fait place au calme plat. Seules quelques âmes en peine, végètent aux alentours du gigantesque chantier fermé au public et inachevé. L’histoire de ce gros serpent de béton  gisant  sans queue ni tête depuis quelques jours, est l’histoire  d’une mésentente entre deux nations et deux styles de gestion.  A  la base, prévue pour être financer  par le Bénin et la Chine, cette grande infrastructure routière symbole de la volonté  de Boni Yayi  de porter le manteau de grand bâtisseur,  peine à  s’achever dans les délais annoncés et pour cause ; la partie chinoise se refuse de continuer à travailler.  Enquête minutieuse menée, il ressort  que le refus des Chinois de continuer une œuvre qui leur tenait pourtant à cœur est motivé par le fait que la partie béninoise aurait fait preuve de gabegie et de manque de sérieux dans la gestion des affaires publiques.  A priori on pourrait dire de quoi se mêle la Chine, ce d’autant plus que dans le cadre de la réalisation de cet ouvrage, d’un point de vue financier,  le Bénin aurait jusqu’ici honoré sa part de contrat.  A ce jour, le gouvernement Yayi peut prétendre sans courir le risque d’être contredit  qu’il est à jour.

Alors, que diantre la Chine reproche-t-elle au Bénin ? Un reproche déjà perceptible dans l’attitude du représentant de la Chine au Bénin. Ce dernier, comme en territoire conquis oubliant le langage diplomatique qui aurait dû être le sien en pareilles circonstances,  n’avait pas hésité, et ceux devant les caméras des télévisions,  à dire qu’il n’était pas content de  la façon dont l’aménagement en électricité et eau avait été fait à l’hôpital construit à l’entrée de la ville de Parakou. Un coup de gueule qui a porté ses fruits mais qui à laissé plus d’un  perplexe.  Pour avoir accepté  l’aide de la Chine, le gouvernement béninois serait-il devenu, un régime vassal de l’empire du Milieu ?

En tout cas,  la visite de Yayi  au centre agricole de Sèmè,   aux cotés du même ambassadeur, n’a fait que conforter cette opinion, de ce que le chinois n’avait que très peu d’égard pour le prince du Changement.

En effet il paraitrait que les responsables chinois auraient découvert qu’un très haut perché  du système  Yayi, pendant que tout le monde tire la langue, s’est ouvert en Chine un compte bancaire  dont le solde  dépasse les  17 milliards de francs cfa.  Pour les Chinois, il s’agit là, de la preuve que le Bénin n’a pas besoin d’être aidé, puisqu’en son sein et il y a des responsables qui  s’enrichissent  sur le  dos maigrichon des populations. C’est donc dépité du mode de gestion  des Béninois que les Chinois  ont tenu à marquer leur désapprobation.

LBL, 25/11/2010

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A chacun sa force de frappe !

   A défaut de pirate, un pêcheur peut faire l'affaire !

 

Pourquoi chercher loin quand il y a à côté ? dit-on. C’est cette politique que les garde-côtes béninois ont pratiqué vendredi 11 novembre dernier. A défaut de s’en prendre aux pirates qui ne cessent de les narguer puisqu’on est à peu près 20 actes de piraterie, ils ont mesuré leur adresse de tir sur deux pêcheurs béninois dont l’un a rendu l’âme du fait des balles reçues. Voilà comment notre Marine se prépare pour parer aux pirates dont ils ne voient jamais la poussière. Drôle de d’entrainement !