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  • Akkilou
  • La vie, c'est la positivité, l'espoir en un monde plus meilleur. Bref, un autre monde est possible comme on le dit.
De plus, il faut être fier d'être ce qu'on est et de ce qu'on a.
  • La vie, c'est la positivité, l'espoir en un monde plus meilleur. Bref, un autre monde est possible comme on le dit. De plus, il faut être fier d'être ce qu'on est et de ce qu'on a.

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« Si quelqu’un t’a offensé, ne cherche pas à te venger. Assieds-toi au bord de la rivière et bientôt tu verras passer son cadavre »

 

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Ebola : la recette béninoise !


Aux grands maux, les grands remèdes, dit-on. Annoncé comme une maladie qui n’a pas de remède comme le VIH/Sida, le virus Ebola créé toujours la psychose au sein des populations. Mais découragement n’est pas béninois car des Béninois semblent avoir trouvé une recette. En effet, des rumeurs circulent sur une soi-disant recette à base de sel et d’oignon. Est-ce pour se prémunir ou pour en guérir ? Bien malin qui peut nous dire si cela est faux ou pas. En tout cas, avec ces populations désemparées, le ministre de la santé a quand même du pain sur la planche…

4 novembre 2009 3 04 /11 /novembre /2009 06:31

(Il continue de mettre la pression sur le journal)

Yorou N’GOBI

Lorsque le Satan vous poursuit, il n’a de répit que s’il arrive à vous ouvrir le dos. C’est ce à quoi semble aujourd’hui se résumer la cabale de François Odjo Tankpinou contre les animateurs du  journal Le Béninois Libéré afin que ceux-ci arrêtent de chercher un réel dénouement de l’affaire  vol de 4 milliards à la Boa-Bénin. Mais c’est mal connaitre la détermination et l’engagement des journalistes de ce canard de tout faire pour que la vérité triomphe d’avec le mensonge. En renvoyant incessamment des citations aux responsables du journal, Tankpinou ne fait qu’alimenter leur curiosité et surtout à démontrer qu’il y a une vérité qui dérange et qu’on veut à tout prix étouffer. Une situation qui laisse entrevoir que le groupe à Tankpinou ne recule devant rien pour montrer pour que l’affaire soit à leur avantage. Ce qui n’est pas sans grandes conséquences pour notre pays tant que la situation continuera à rester sans un réel dénouement. Voilà quelqu’un qui peut envoyer un droit de réponse et qui ne le fait pas mais préfère aller directement devant les tribunaux, il est à voir à travers ce comportement de va-t-en-guerre de la part de Tankpinou décidé à en finir avec votre journal. Pour comprendre le danger que l’on fait peser sur le pays, il est à voir comment le président Yayi s’échine à faire venir les investisseurs étrangers mais en vain. Il en est ainsi  parce que le vol dont a été victime l’Iranien Sadrollahi fait école et que personne ne veut se laisser  prendre à ce sale jeu de personnes sans scrupules. « C’est une seule fois que l’on piétine les testicules d’un aveugle vigilant », dit un adage populaire. En d’autres termes, ces faits font peser de graves menaces sur les 7 millions de Béninois que compte le pays et ce à cause de quelques personnes dont Tankpinou est en train d’être soupçonné comme faisant partie des pionniers de cette mafia. Il urge que la justice purge  enfin ce dossier pour ne pas permettre aux ténèbres de prendre le dessus sur la lumière dont a besoin la vie des Béninois. Leur salut en dépend car un pays a besoin de divers investissements pour asseoir son développement. Les cartes à jouer sont dans les mains de Boni Yayi qui doit savoir s’en servir et sortir du guêpier entretenu depuis un bon moment par des gens dont le seul dessein est de profiter injustement des fruits de la sueur d’autrui. Par ailleurs, il faut que Tankpinou et sa bande sachent que si le journaliste se lance dans une affaire donnée, c’est pour en cerner les tenants et les aboutissements. Ce qui a permis sous d’autres cieux la résolution des affaires comme le Watergate et le Rainbow Warrior. Actuellement au Bénin, il s’agit d’amener la justice à dire le droit dans cette affaire de vol de  4 milliards de Sadrollahi n’en déplaisent à ceux qui ont les mains sales jusqu’aux épaules. Comme cela est difficile à être compris par Tankpinou, il n’est pas trop dit que le couteau tiré entre celui-ci et  votre journal va encore s’allonger. Il est à savoir que la pression ou le chantage Tankpinou visant à nous amener à faire profil bas, ne marchera pas avec Le Béninois Libéré tant que Sadrollahi ne rentrera pas en possession de son argent. Dans nos prochaines parutions, nous ferons sortir les preuves du rapport qui incrimine François Tankpinou afin que tout le peuple béninois ait la réalité des faits en face et sache réellement qui de lui ou de nous a tort. A suivre donc !!!

 

Nos excuses au procureur de la République

En toute chose, il faut reconnaître la maturité. Dans notre quête de vérité sur l’affaire vol de 4 milliards à la Boa-Bénin, on  a fait certaines affirmations erronées par rapport au procureur de la République, la rédaction du journal revient une nouvelle fois encore lui présenter ses excuses. Elle le remercie pour la manie avec laquelle il  a pris les choses afin que la balle revienne à terre. L’humilité dont il a fait quant la situation s’est présentée a beaucoup touché la rédaction qui a décidé de lui reconnaître cette qualité de père indulgent que d’aucuns n’ont pas. C’est le lieu d’évoquer le fait que la marque des grandes personnes n’a pas d’égal car ils savent se surpasser devant certaines situations et porter comme cela se doit leur manteau d’aîné. Ce qui n’est le cas de certaines personnes comme : François Tankpinou décidé à défendre l’indéfendable et à en finir avec tous ceux qui veulent voir clair. Vivement les nuits puissent lui apporter toute la sagesse nécessaire qui lui fait défaut.

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A chacun sa force de frappe !

   A défaut de pirate, un pêcheur peut faire l'affaire !

 

Pourquoi chercher loin quand il y a à côté ? dit-on. C’est cette politique que les garde-côtes béninois ont pratiqué vendredi 11 novembre dernier. A défaut de s’en prendre aux pirates qui ne cessent de les narguer puisqu’on est à peu près 20 actes de piraterie, ils ont mesuré leur adresse de tir sur deux pêcheurs béninois dont l’un a rendu l’âme du fait des balles reçues. Voilà comment notre Marine se prépare pour parer aux pirates dont ils ne voient jamais la poussière. Drôle de d’entrainement !