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  • Akkilou
  • La vie, c'est la positivité, l'espoir en un monde plus meilleur. Bref, un autre monde est possible comme on le dit.
De plus, il faut être fier d'être ce qu'on est et de ce qu'on a.
  • La vie, c'est la positivité, l'espoir en un monde plus meilleur. Bref, un autre monde est possible comme on le dit. De plus, il faut être fier d'être ce qu'on est et de ce qu'on a.

Grain de sel

« Si quelqu’un t’a offensé, ne cherche pas à te venger. Assieds-toi au bord de la rivière et bientôt tu verras passer son cadavre »

 

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Ebola : la recette béninoise !


Aux grands maux, les grands remèdes, dit-on. Annoncé comme une maladie qui n’a pas de remède comme le VIH/Sida, le virus Ebola créé toujours la psychose au sein des populations. Mais découragement n’est pas béninois car des Béninois semblent avoir trouvé une recette. En effet, des rumeurs circulent sur une soi-disant recette à base de sel et d’oignon. Est-ce pour se prémunir ou pour en guérir ? Bien malin qui peut nous dire si cela est faux ou pas. En tout cas, avec ces populations désemparées, le ministre de la santé a quand même du pain sur la planche…

20 mai 2010 4 20 /05 /mai /2010 08:34

(Le nom de Marie Joe Méba Djossou sur toutes lèvres) Le recensement a cédé place hier à une boucherie dans la commune de la ministre de la famille Méba Djossou, Banikoara. Tout est parti d’un problème de découpage territorial fait par les colons où le village Alibori s’est retrouvé accidentellement dans l’arrondissement de Sonkpérékou alors que ses habitants se réclament de l’arrondissement de Gonkparou. A l’heure du recensement où il faut s’inscrire en donnant toutes ses références d’origine, les habitants du village Alibori ont insisté sur leur origine de Gonkparou. Toute chose qui a ravivé les vieilles rancœurs surtout qu’un mois plutôt, la ministre Djossou, sur la radio rurale de Banikoara en invitant les populations au processus de la Lépi était sur revenue sur ce sujet sensible de découpage territorial. Sans peut-être le savoir, elle venait de mettre le pîlone dans la plaie. C’est pourquoi elle aurait été à en croire nos sources, l’une des toutes premières personnes à être informée de ce que, dans le cadre de ce recensement, au sujet du village Alibori, les habitants de Gonkparou s’apprêtaient à attaquer Sonkpérékou situé à environ 5 Km. Mais elle n’aurait rien fait à ce qu’il paraît puisque le pire n’a pu être évité hier. Et c’est des bras et pieds qui jonchaient le sol après les trois heures qu’a duré la petite guerre. Le préfet saisi, a envoyé les forces de l’ordre de Kandi et se prépare à une descente ce jour. Le bilan est lourd : quatre morts, plusieurs blessés dont le grand-frère direct du bouillant Zorobouragui de Sonkpérou, dépiécé. Sur toutes les lèvres hier les gens maudissaient madame Méba Djossou, on ne sait pourquoi.

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A chacun sa force de frappe !

   A défaut de pirate, un pêcheur peut faire l'affaire !

 

Pourquoi chercher loin quand il y a à côté ? dit-on. C’est cette politique que les garde-côtes béninois ont pratiqué vendredi 11 novembre dernier. A défaut de s’en prendre aux pirates qui ne cessent de les narguer puisqu’on est à peu près 20 actes de piraterie, ils ont mesuré leur adresse de tir sur deux pêcheurs béninois dont l’un a rendu l’âme du fait des balles reçues. Voilà comment notre Marine se prépare pour parer aux pirates dont ils ne voient jamais la poussière. Drôle de d’entrainement !