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  • Akkilou
  • La vie, c'est la positivité, l'espoir en un monde plus meilleur. Bref, un autre monde est possible comme on le dit.
De plus, il faut être fier d'être ce qu'on est et de ce qu'on a.
  • La vie, c'est la positivité, l'espoir en un monde plus meilleur. Bref, un autre monde est possible comme on le dit. De plus, il faut être fier d'être ce qu'on est et de ce qu'on a.

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« Si quelqu’un t’a offensé, ne cherche pas à te venger. Assieds-toi au bord de la rivière et bientôt tu verras passer son cadavre »

 

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Ebola : la recette béninoise !


Aux grands maux, les grands remèdes, dit-on. Annoncé comme une maladie qui n’a pas de remède comme le VIH/Sida, le virus Ebola créé toujours la psychose au sein des populations. Mais découragement n’est pas béninois car des Béninois semblent avoir trouvé une recette. En effet, des rumeurs circulent sur une soi-disant recette à base de sel et d’oignon. Est-ce pour se prémunir ou pour en guérir ? Bien malin qui peut nous dire si cela est faux ou pas. En tout cas, avec ces populations désemparées, le ministre de la santé a quand même du pain sur la planche…

4 janvier 2011 2 04 /01 /janvier /2011 06:05

Le ministre Issa Badarou dans sa quête effrénée   de se faire payer  des arriérés de salaires au moment où il était directeur général du port de Cotonou  commet une grave erreur  en ce sens qu’il met le chef de l’Etat en difficulté. D’abord, sa requête n’est pas fondée pour la simple raison qu’il a été juridiquement établi qu’il a abandonné son poste. Par conséquent, il ne saurait réclamer d’arriérés de salaires, le faire serait synonyme de vol. Le ministre Issa Badarou doit savoir que celui qui n’a pas travaillé, n’a pas droit au salaire. Ensuite, sa position de ministre des transports maritimes, donc ayant le port sous sa tutelle doit en temps normal  l’empêcher de réclamer  ces salaires même si la réclamation était fondée car, cela serait mal interprété. Ses détracteurs ne tarderont pas à dire que c’est parce qu’il est ministre qu’il fait pression sur le directeur du port pour se faire payer des arriérés de salaires. Et cela, mettrait à mal le régime du Changement dont le leitmotiv est la bonne gouvernance. Enfin, le contexte actuel dans lequel le port se trouve à cause du différend qui l’oppose aux  transporteurs  nigériens  ne permet pas de faire une telle pression sur  le directeur afin d’avoir gain de cause. Ce comportement du ministre Issa Badarou est la preuve qu’il n’est pas solidaire au gouvernement et que tout ce qui le préoccupe, ce sont ses intérêts personnels et égoïstes. A travers cette attitude du ministre des transports maritimes, le président Boni Yayi doit pouvoir facilement déduire qui sont ceux qui travaillent réellement avec lui et qui sont ceux qui font tout pour  annihiler les efforts qu’il consent au quotidien pour redresser le pays.

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commentaires

A
<br /> C'est dommage que Yayi Boni ait gardé ce monsieur à ses côtés jusqu'à maintenant. Mais, Badarou aura à répondre de ses actes très prochainement.<br /> <br /> <br />
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A chacun sa force de frappe !

   A défaut de pirate, un pêcheur peut faire l'affaire !

 

Pourquoi chercher loin quand il y a à côté ? dit-on. C’est cette politique que les garde-côtes béninois ont pratiqué vendredi 11 novembre dernier. A défaut de s’en prendre aux pirates qui ne cessent de les narguer puisqu’on est à peu près 20 actes de piraterie, ils ont mesuré leur adresse de tir sur deux pêcheurs béninois dont l’un a rendu l’âme du fait des balles reçues. Voilà comment notre Marine se prépare pour parer aux pirates dont ils ne voient jamais la poussière. Drôle de d’entrainement !