Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Profil

  • Akkilou
  • La vie, c'est la positivité, l'espoir en un monde plus meilleur. Bref, un autre monde est possible comme on le dit.
De plus, il faut être fier d'être ce qu'on est et de ce qu'on a.
  • La vie, c'est la positivité, l'espoir en un monde plus meilleur. Bref, un autre monde est possible comme on le dit. De plus, il faut être fier d'être ce qu'on est et de ce qu'on a.

Grain de sel

« Si quelqu’un t’a offensé, ne cherche pas à te venger. Assieds-toi au bord de la rivière et bientôt tu verras passer son cadavre »

 

Lao-tseu

Rechercher

Savoir plus

Nous sommes tous...     


Le Béninois Libéré

Le journal du peuple

Le Bénin en Lumière

Archives

Ainsi va le monde !!!

 

Ebola : la recette béninoise !


Aux grands maux, les grands remèdes, dit-on. Annoncé comme une maladie qui n’a pas de remède comme le VIH/Sida, le virus Ebola créé toujours la psychose au sein des populations. Mais découragement n’est pas béninois car des Béninois semblent avoir trouvé une recette. En effet, des rumeurs circulent sur une soi-disant recette à base de sel et d’oignon. Est-ce pour se prémunir ou pour en guérir ? Bien malin qui peut nous dire si cela est faux ou pas. En tout cas, avec ces populations désemparées, le ministre de la santé a quand même du pain sur la planche…

8 octobre 2010 5 08 /10 /octobre /2010 03:22

Aboubakar paul

L’improvisation, le je-m’en-foutisme dans l’exécution des fondamentaux du développement économique et social d’une Nation, le saupoudrage à tous les niveaux, bref la plupart des reproches faits à Boni Yayi et à son régime viennent de dépasser les limites de nos frontières. Et ce sont les chancelleries accréditées au Bénin qui commencent maintenant par être dégoûtées, désabusées de Yayi et de la gestion qu’il fait de notre pauvre pays. Le cas le plus récent aura été le sentiment de l’ambassadeur de la Chine près le Bénin, Geng Wenbing qui aurait demandé selon des sources bien informées à certaines autorités du ministère de la santé de transmettre à Yayi qu’il est fâché, désabusé, fatigué et déçu. En effet, le diplomate a constaté hier avec regret que tout ce que le gouvernement a promis pour faciliter l’érection de l’hôpital chinois de Parakou n’a pas été respecté. Et ce, malgré les nombreuses relances faites par l’ambassade. C’est ainsi qu’hier dans le cadre de la visite de l’ambassadeur de la Chine pour voir l’évolution des travaux dans le cadre de l’installation des machines, la formation des techniciens locaux par des experts chinois, le représentant chinois s’est désolé de constater que les engagements pris par l’Etat béninois à savoir : la viabilisation du site, n’ont pas été respecté. Et pour une commune à statut particulier telle que Parakou avec un hôpital départemental  malade et presque mourant, le minimum qu’on pouvait espérer du régime du Changement aurait été d’honorer ses engagements pour recevoir le don chinois. C’est tout ceci qui aurait touché le cœur de l’ambassadeur qui a jeté presqu’à la figure les clés du bâtiment aux autorités présentes en leur notifiant, selon nos sources, de transmettre à Yayi  son mécontentement. Même s’il peut avoir du dilatoire au sujet du sentiment du diplomate chinois, il est un  fait indéniable que le régime du Changement sait bien s’éloigner en acte de ce qu’il dit. Le traitement dont fait l’objet la cité des Koburu sous le Changement est en nette opposition avec les promesses du chef de l’Etat et de son discours de faire de Parakou une ville à part entière. Voilà qui justifie le mépris dont fait l’objet Boni Yayi de la part des populations de cette commune qu’il appelle vaille que vaille son fief électoral. L’incident d’hier à l’hôpital chinois de Parakou est la preuve de qu’on ne peut plus rien attendre de bien du Changement. Le saupoudrage, la démagogie, le langage de bois, l’hypocrisie et la mauvaise gestion étant devenus les marques de fabrique du changement. Ce n’est pas pour rien que la cote de popularité de El Hadj Sasif, de Sam Adambi et de Bio Tchané monte en flèche dans la localité malgré toute la misère économique faite à l’opérateur économique par Boni Yayi en personne. A suivre…

Partager cet article
Repost0

commentaires

A chacun sa force de frappe !

   A défaut de pirate, un pêcheur peut faire l'affaire !

 

Pourquoi chercher loin quand il y a à côté ? dit-on. C’est cette politique que les garde-côtes béninois ont pratiqué vendredi 11 novembre dernier. A défaut de s’en prendre aux pirates qui ne cessent de les narguer puisqu’on est à peu près 20 actes de piraterie, ils ont mesuré leur adresse de tir sur deux pêcheurs béninois dont l’un a rendu l’âme du fait des balles reçues. Voilà comment notre Marine se prépare pour parer aux pirates dont ils ne voient jamais la poussière. Drôle de d’entrainement !