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  • Akkilou
  • La vie, c'est la positivité, l'espoir en un monde plus meilleur. Bref, un autre monde est possible comme on le dit.
De plus, il faut être fier d'être ce qu'on est et de ce qu'on a.
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Grain de sel

« Si quelqu’un t’a offensé, ne cherche pas à te venger. Assieds-toi au bord de la rivière et bientôt tu verras passer son cadavre »

 

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Ainsi va le monde !!!

 

Ebola : la recette béninoise !


Aux grands maux, les grands remèdes, dit-on. Annoncé comme une maladie qui n’a pas de remède comme le VIH/Sida, le virus Ebola créé toujours la psychose au sein des populations. Mais découragement n’est pas béninois car des Béninois semblent avoir trouvé une recette. En effet, des rumeurs circulent sur une soi-disant recette à base de sel et d’oignon. Est-ce pour se prémunir ou pour en guérir ? Bien malin qui peut nous dire si cela est faux ou pas. En tout cas, avec ces populations désemparées, le ministre de la santé a quand même du pain sur la planche…

4 novembre 2010 4 04 /11 /novembre /2010 03:55

(Le policier Hounkanrin aurait été instruit pour une séance de torture physique)

 

La vérité fait mal aux yeux mais ne les crèvent, dit-on. Et pour ne pas que cette vérité jaillisse, certaines personnes font feu de tout bois pour tuer le poussin dans l’œuf même au péril de la vie de ces gens qui se sont assigné comme mission d’informer les populations sur les faits de la société et ce les concernant. Autrement dit, la tête de ceux qui animent le quotidien ‘’Le Béninois Libéré’’ gène. C’est pourquoi les intimidations et menaces d’arrestation à l’endroit des journalistes de ce canard ont commencé à pleuvoir afin que ceux-ci arrêtent de faire leur travail et se ranger aveuglement dans le camp de ceux qui sont en train de se reprocher des choses. Pour preuve, il y a ces 3 convocations du commissariat central de Cotonou adressées au directeur général, Aboubakar Takou, le directeur de publication, Eric tchiakpè, et au journaliste Sidick Bagoudou. Il est demandé à ces 3 personnes de se présenter dans les locaux dudit commissariat ce jour jeudi 4 novembre 2010 pour une affaire les concernant et demander à leur arrivée l’inspecteur de police Hounkanrin. Voilà ainsi présenter le scénario d’une nouvelle affaire dans laquelle la police veut se faire des journalistes dans un pays longtemps classé 1er en Afrique en matière de liberté de presse.

 

Séance de torture pour briser le moral aux

A quoi rime une telle convocation dans laquelle on sait de quoi il s’agit et qui sonne comme une entrave au libre exercice de la fonction de journaliste parce que tout simplement le pouvoir en place est gêné ? C’est la question que l’on est en droit de se poser. Mais le problème est tout autre car il semble que cette convocation cache beaucoup de choses. En effet, le topo est que l’on veut passer à tabac les journalistes de ‘’Le Béninois libéré’’ pour les prétendus embêtements faits au gouvernement du Changement et à son chef, le docteur Boni Yayi. Maintenant, on ne veut plus se servir de la ‘’Haache’’ pour le règlement de comptes gouvernement- journalistes mais il faut faires recours à la méthode dure, surtout celle brutale pour réduire au silence ceux qu’on traite de ‘’récalcitrants’’ pour qu’ils deviennent doux comme des agneaux. Et qui sait ce que les journalistes peuvent laisser des entretiens qu’ils auront avec les policiers car Jean-Jacques Rousseau dit : « l’obéissance à la loi qu’on s’est donné est liberté ». Les journalistes interpelés vont-ils être battus voire avoir des colonnes vertébrale brisée ? nul ne peut le dire avec certitude même si les informations de sources concordantes font état de ce que cette convocation n’augure rien de bon pour les trois personnes devant faire face à l’inspecteur Hounkanrin. D’ailleurs, l’affaire tellement louche que même une personne fictive notamment Sidick Bagoudou, un pseudonyme utilisé, devrait être écoutée par l’inspecteur. Voilà qui montre le manque d’inspiration du régime pour bâillonner la presse béninoise à commencer par ‘’Le Béninois Libéré’’. De toute façon, nul ne sait quel sort est en train d’être réservé aux journalistes puisque si le topo que le gouvernement du Changement complote avec l’inspecteur Hounkanrin aboutit, cela voudrait dire que c’est toute la corporation qui est en passe de défiler pour recevoir sa dose de séance de torture physique. Les jours à venir nous édifieront encore plus sur ce qu’envisage faire le policier Hounkanrin des responsables de votre journal convoqué ce jour au commissariat central.

 

Jean kpingla

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A chacun sa force de frappe !

   A défaut de pirate, un pêcheur peut faire l'affaire !

 

Pourquoi chercher loin quand il y a à côté ? dit-on. C’est cette politique que les garde-côtes béninois ont pratiqué vendredi 11 novembre dernier. A défaut de s’en prendre aux pirates qui ne cessent de les narguer puisqu’on est à peu près 20 actes de piraterie, ils ont mesuré leur adresse de tir sur deux pêcheurs béninois dont l’un a rendu l’âme du fait des balles reçues. Voilà comment notre Marine se prépare pour parer aux pirates dont ils ne voient jamais la poussière. Drôle de d’entrainement !