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  • Akkilou
  • La vie, c'est la positivité, l'espoir en un monde plus meilleur. Bref, un autre monde est possible comme on le dit.
De plus, il faut être fier d'être ce qu'on est et de ce qu'on a.
  • La vie, c'est la positivité, l'espoir en un monde plus meilleur. Bref, un autre monde est possible comme on le dit. De plus, il faut être fier d'être ce qu'on est et de ce qu'on a.

Grain de sel

« Si quelqu’un t’a offensé, ne cherche pas à te venger. Assieds-toi au bord de la rivière et bientôt tu verras passer son cadavre »

 

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Ainsi va le monde !!!

 

Ebola : la recette béninoise !


Aux grands maux, les grands remèdes, dit-on. Annoncé comme une maladie qui n’a pas de remède comme le VIH/Sida, le virus Ebola créé toujours la psychose au sein des populations. Mais découragement n’est pas béninois car des Béninois semblent avoir trouvé une recette. En effet, des rumeurs circulent sur une soi-disant recette à base de sel et d’oignon. Est-ce pour se prémunir ou pour en guérir ? Bien malin qui peut nous dire si cela est faux ou pas. En tout cas, avec ces populations désemparées, le ministre de la santé a quand même du pain sur la planche…

8 septembre 2011 4 08 /09 /septembre /2011 05:14

Camille Segnigbindé (stag)

  Hier mercredi 7 septembre, un douanier s‘est fait  bastonner par  les trafiquants d’essence  frelaté dont  la base se situe au bord du lac Nokoué  à Menontin. Qu’il vous souvienne, depuis le premier quinquennat du president Boni Yayi, son gouvernement a voulu arrêter le trafic de l’essence frelatée, communément appelé « Kpayo » mais sans succés. Mais à défaut de ne pas pouvoir empêcher ce commerce, le  pouvoir en place a  pris un décret interdisant  aux  véhicules transporteurs d’essence frelaté de circuler  en pleine journée. C’est  cette décision que le douanier a voulu appliquer sans bien faire attention au piège qui l’attendait. En effet, le douanier passait devant le carrefour du collège Martin Lutter King quand il aperçut un  mini bus rempli  de bidons de cinquante litre d’essence frelatée. Imbu du sens de devoir, il n’hésita pas à se mettre aux trousses de celui-ci. Mais le chauffard l’ayant vu, n’a eu d’autre choix que de se retourner vers la base où se trouvaient naturellement des femmes et des hommes qui attendaient  sans doute leurs « marchandises » qui devraient venir par le lac Nokoué  par leur collaborateur.  Quand ils aperçurent le mini bus pourchassé par le douanier, ils se ruèrent sur ce dernier pour sauver la peau  du leur. Heureusement, le douanier était accompagné de quelques civiles  communément appelés Clébés  qui l’aident dans son exercice quotidien. Ceux-ci firent alors de leur mieux pour sauver leur chef avant de faire appel aux Bac et aux Raid qui n’ont pas marchandé leur disponibilité  à leur frère d’arme.  Descendues sur le terrain, ces forces de l’ordre ont réussi à sauver le disciple de saint Mathieu des griffes de ces vils individus  avant de procéder à l’arrestation de quelques uns d’entre eux qui n’ont pas eu la vigilance  de prendre la clé des champs. Il est à noter que c’est la deuxième fois  que les agents  de la douane se voient agresser en moins d’une semaine. Cet acte d’incivisme vient remettre sur le tapis l’épineuse question de la lutte contre le trafic de ce liquide, quoiqu’on dise, précieux  et  indispensable aux Béninois. Par ailleurs, les différents responsables en charge de la sécurité des Béninois, le Président de la République en premier, devront redoubler plus d’ardeur et  définir de nouvelles stratégies de lutte pour que chacun y trouve son compte.

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A chacun sa force de frappe !

   A défaut de pirate, un pêcheur peut faire l'affaire !

 

Pourquoi chercher loin quand il y a à côté ? dit-on. C’est cette politique que les garde-côtes béninois ont pratiqué vendredi 11 novembre dernier. A défaut de s’en prendre aux pirates qui ne cessent de les narguer puisqu’on est à peu près 20 actes de piraterie, ils ont mesuré leur adresse de tir sur deux pêcheurs béninois dont l’un a rendu l’âme du fait des balles reçues. Voilà comment notre Marine se prépare pour parer aux pirates dont ils ne voient jamais la poussière. Drôle de d’entrainement !