Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Profil

  • Akkilou
  • La vie, c'est la positivité, l'espoir en un monde plus meilleur. Bref, un autre monde est possible comme on le dit.
De plus, il faut être fier d'être ce qu'on est et de ce qu'on a.
  • La vie, c'est la positivité, l'espoir en un monde plus meilleur. Bref, un autre monde est possible comme on le dit. De plus, il faut être fier d'être ce qu'on est et de ce qu'on a.

Grain de sel

« Si quelqu’un t’a offensé, ne cherche pas à te venger. Assieds-toi au bord de la rivière et bientôt tu verras passer son cadavre »

 

Lao-tseu

Rechercher

Savoir plus

Nous sommes tous...     


Le Béninois Libéré

Le journal du peuple

Le Bénin en Lumière

Archives

Ainsi va le monde !!!

 

Ebola : la recette béninoise !


Aux grands maux, les grands remèdes, dit-on. Annoncé comme une maladie qui n’a pas de remède comme le VIH/Sida, le virus Ebola créé toujours la psychose au sein des populations. Mais découragement n’est pas béninois car des Béninois semblent avoir trouvé une recette. En effet, des rumeurs circulent sur une soi-disant recette à base de sel et d’oignon. Est-ce pour se prémunir ou pour en guérir ? Bien malin qui peut nous dire si cela est faux ou pas. En tout cas, avec ces populations désemparées, le ministre de la santé a quand même du pain sur la planche…

9 novembre 2009 1 09 /11 /novembre /2009 16:36

Sylva TOE

L’habitude est une seconde nature. On a beau être député, ce qu’on est réellement reste comme une grosse tache noire indélébile cachée quelque part en soi. Ici, l’habitude dont il est question est la délinquance dont une bribe est restée cachée dans les comportements  du député Zéphirin Kindjahoundé. C’est du moins ce que l’on retient de l’attitude qu’il a eue le samedi dernier à Calavi Zogbadjè où tel un délinquant, il est allé lui-même marteau en main, avec l’aide de son garde de corps, casser les briques fraîchement fabriquées et destinées à la réalisation de la clôture sur la parcelle d’autrui. En effet, le nommé A.A qui a légalement acquis sa parcelle depuis plusieurs années dans la zone de Zogbadjè à Calavi était sur le point de réaliser la clôture et a donc à cet effet ouvert un chantier. Les maçons  étaient  sur le chantier en train de fabriquer  les  briques  quand le député a débarqué avec son garde de corps pour tout casser sur leur passage. Et comme si cela ne suffisait pas, il a emporté avec lui les outils de travail des maçons et tous les paquets de ciment disponibles sur le chantier. Le  vol étant par définition le fait de s’emparer du bien d’autrui par force ou à son insu, on déduit que l’honorable Zéphirin Kindjanhoundé a volé le ciment qu’il a trouvé sur les lieux. Et comme le font les grands délinquants après leur forfait, il a laissé sa carte de visite sur le chantier en guise de signature. Selon certaines personnes témoins de la casse, le député tout en détruisant les briques disait qu’il appartient à la mouvance présidentielle et qu’à ce titre, rien ne peut lui arriver. De nos investigations pour comprendre les réelles motivations du député, il ressort qu’une fois que la clôture serait terminée, Zéphirin Kindjanhoundé aurait du mal à passer car lui-même habitant la même rue que  le sieur A.A. Selon certaines indiscrétions, le comportement du député s’expliquerait par le fait qu’il aurait une copine dans une maison ayant une boutique  et donc l’érection de la clôture empêcherait la dame de vendre car elle serait enclavée. Et c’est pour montrer à sa ‘’go’’ qu’il est puissant qu’il s’est défoncé sur les briques. Mais face à cette brutalité du député, le propriétaire de la parcelle n’a pas réagi si ce n’est de porter plainte à la brigade territoriale de Calavi. Car dit-il, même s’il n’est qu’un opérateur économique, il compte sur la justice de son pays pour dire le droit. En tant qu’homme public et de surcroît député, alors qu’il devrait donner l’exemple, voilà comment se comporte l’honorable Kindjahoundé  sous prétexte qu’il est intouchable sous le changement. Ce qui fait qu’on se demande s’il faut réellement le désigner par le terme honorable. Dans ce dossier, force doit rester à la loi car nous sommes dans un pays de droit. Affaire à suivre…

Partager cet article
Repost0
9 novembre 2009 1 09 /11 /novembre /2009 16:31
E.T C était une certitude que la Donga avait laché Yayi au profit de Bio Tchané, certains hésitaient encore à inclure d’autres départements du nord comme le Borgou, l’alibori et l’atacora. Les récents événements tendent à prouver que l’une après l’autre, si ce n’est encore fait, les grandes villes de ces départements basculent dans un autre camp que celui du Changement. Le week-end dernier a plutôt laissé au chef de l’Etat, un goût amer de défaite avant l’heure. Il semble que ses assauts, ses méthodes ou celles de ses hommes ne font plus recettes. Parti pour rencontrer les populations de Djougou vendredi dernier à 11 heures, le chef de l’Etat à dû s’y prendre par 2 fois avant de pouvoir rencontrer une grappe de badauds motivés pour l’occasion à coup de cfa. Pendant ce temps à Natitingou, où il n’était pas vraiment attendu, il s’est greffé sur une manifestation qui en principe aurait pu se passer d’une présence aussi auguste que celle d’un chef d’Etat pour s’offrir un bain de foule. Le Festico, ouvert le 05 Novembre et devant s’achever le 11 du même mois, mais il fallait sauver la face et surtout faire quelques choses au regard de l’apparente désaffection affichée d’une part par les hommes et femmes de Djougou et de l’autre par les popuations de Natitingou. Alors que les véritables attentes des uns et des autres dans ces villes se trouvent dans les domaines de développement, le staff gouvernemental semble avoir fait le choix de faire dans la dentelle, le superflu. Ainsi à Natitingou, c’est le Festico qui opportunément à reçu la visite du chef de l’Etat, pour la première édition, le promoteur recevra une décoration dans l’ordre du mérite le mercredi prochain. On peut se demander pourquoi, mais il ne faut pas s’en donner la peine, car c’est apparemment le seul moyen trouvé pour intéresser les jeunes de la ville. L’heureux récipiendaire, de la première génération des appelés au drapeau, version Changement, du nom d’Allognon n’en revient pas. Il doit se demander si c’est aussi facile d’être décoré dans l’ordre du mérite de notre pays. Ce choix de décorer le jeune récipiendaire juste pour avoir organisé le festico répond plus à une action de saupoudrage qu’à un véritable encouragement pour service rendu à la nation. Toujours à Natitingou alors que les micros crédits sont devenus une arme électorale, les cas de femmes qui se braquent et refusent d’émarger pour avoir les 30 voire 50 mille francs se multiplient. La cause en est simple, elles ne veulent pas vendre leur conscience. Les problèmes de la ville sont cruciaux et méritent une attention plus soutenue que ces billets distribués contre promesse d’adhésion au Changement. A Kouandé, la rancœur étouffe les cœurs, la roublardise dont le gouvernement a fait preuve dans le cas de Gnimbéré hante toutes les mémoires. Alors que le chef de l’Etat leur avait fait la promesse ferme, à elle et au Roi de Kouandé de la porter au pinacle, c’est plutôt au pilori qu’il les a tous cloués. Sans être haineux, c’est désolés que le peuple et son roi observent la trajectoire du chef de l’Etat, sans le crier, ils attendent les prochaines échéances où ils pourront avoir toute latitude de donner leur avis. Samedi dernier a été une occasion de prendre quelques distances, par rapport à l’unicité de la pensée jusqu’ici affichée. A Djougou, c’est à coup de Cfa que Yayi tente de récupérer les fidèles musulmans. Lesquels ont très vite compris et s’en méfient comme la peste. Le vendredi passé, c’est à eux qu’à voulu faire appel Yayi via l’Imam de la mosquée centrale pour remplir la place prévue pour l’accueillir. Ainsi donc, alors que la prière du vendredi s’achevait, l’imam entreprit d’informer les fidèles de ce que le Chef de l’Etat serait présent et qu’il serait intéressant que les musulmans aillent à sa rencontre. Une clameur sen suit. Les fidèles houspillent l’Imam, ils n’aiment pas cette intrusion de la politique dans les affaires religieuses et ils ne manquent pas de le signifier bruyamment. L’Imam se retranche derrière une petite excuse ; ‘’ Personne ne vous oblige à y aller, c’était juste une information’’. Qu’à cela ne tienne, personne n’ira sauf quelques badauds mobilisés à coup de billets.
Partager cet article
Repost0
8 novembre 2009 7 08 /11 /novembre /2009 21:25
Le directeur de l’élevage, Boni Christophe Monsia, a décidé de réagir par rapport de notre article d’hier intitulé : ‘’Grand flou autour du recrutement pour le projet Pafilav : Le cabinet Afrique Conseils et le De, Monsia, trop suspects (Le ministre Akoffodji doit prendre ses responsabilités et reprendre les travaux)’’. Il apporte ici son droit de réponse à travers la lettre à nous parvenue.  La rédaction salue la promptitude de sa réaction et son ouverture d’esprit car cela permettra assez rapidement au ministre Akoffodji de faire la lumière sur le flou qui entoure le recrutement de personnel pour le projet Pafilav. Toutefois, cela ne nous empêche pas de sortir dans nos prochaines parutions les preuves qui sont à notre disposition et qui démontrent qu’il y a magouilles dans le processus de recrutement pour le projet Pafilav. Lire ci-dessous le droit de réponse du directeur de l’élevage.

 

 

DROIT DE REPONSE DU DIRECTEUR DE L’ELEVAGE AU DDIRECTEUR DE PUBLICATION DU QUOTIDIEN « LE BENINOIS LIBERE »

Dans votre parution n°942 du jeudi 05 novembre 2009, vous avez tiré à la Une : « grand flou autour du recrutement pour le projet Pafilav. Afrique conseils et le De, Monsia, trop suspects. (Le ministre Akofodji doit prendre ses responsabilités et reprendre les travaux) ».

Dans cet article, vous m’accusez gratuitement de faire «main basse sur le processus » de recrutement du personnel de la cellule de coordination du projet d’Appui aux Filières Lait et Viande (PAFILAV). A cet effet, je tiens à faire les clarificarions suivantes que je vous invite à publier dans les mêmes formes que l’article incriminé à la Une conformément à mon droit de réponse.

Le 13 août 2009, le ministre de l’Agriculture, de l’Elvage et de la pêche a fait publier, dans les journaux de la place, l’aavis de recrutement n°320/MAEP/D-CAB/SGM/DRF/DPP/SA pour la sélection des à divers postes de la coordination du projet d’Appui aux Filières Lait et Viande.

La procédure de sélection contenue dans cet avis est celle retenue de commun accord par la Banque Africaine de Développement et le Bénin. Elle comprend les étapes suivantes :

Pour la réalisation de ce recrutement et évietr que l’administration ne s’en mêle aux fins de transparence et d’éfficacité, le MEAP a procédé au recrutement d’un cabinet indépendant et professionnel sur une basr cconcurrentielle. Les dossiers de candidatures ont été remis au cabinet Afrique Conseils, attributaire de marché.

La procédure de recrutement est scrupusement respectée et est actuellement à la phase 5. Le Ministre de l’Agriculture, de l’Elevage et de la Pêche, encore le Directeur de l’Elevage n’est impliqué dans les opérations de recrutement.

Monsieur le Directeur de publication et cer compatriote, je vous suggère d’orienter vos clients, les commanditaitres de votre article, à gagner du teps en portant directement plainte devant la juridiction de leur choix. Je préfère plutôt cette voie à celle des dénonciations calomineuses dans la presse écrite. Et si malgré tout vous continuez à diffuser des fausses informations sur ma personne, ce sera à moi de prendre mes responsabilités et d’user des droits que me confèrent les textes de notre pays.

 

 

Partager cet article
Repost0
5 novembre 2009 4 05 /11 /novembre /2009 22:35

(Ils veulent vendre Bénin Télécom à leurs copains)

 

 

Il ne fait pas bon d’être usager de téléphone mobile, d’internet ou même de téléphone conventionnel dans le septentrion. Le moins qu’on puisse dire est que cela s’avère même lourd et désagréable. Donc une panne sur le support de Bénin Télécom S.A l’opérateur historique. Il faut dire à cet effet que depuis environ un mois ce sont des pannes à répétitions imputées  à la rupture de la fibre optique reliant Cotonou à Parakou.

 

Sidick Bagoudou

 

Les  pannes sur le réseau de fibre optique reliant Cotonou à Parakou sont désormais monnaies courantes. Pour les usagers des services de l’opérateur historique, Bénin Télécom, chaque jour est plus pénible que la veille. Internet, le téléphone filaire et conventionnel, le Gsm, bref plus rien ne fonctionne convenablement dans cette partie du pays. Les choses se sont empirées depuis l’annonce de la vente de l’entreprise. Les personnes pour qui l’usage de ces moyens de télécommunication est une nécessité professionnelle, comme les hommes d’affaires et autres traders,  la situation est plutôt grave.

Les explications, fournies pour justifier ces fréquentes pannes arguent  la  rupture de la fibre optique. Toujours le même argument qui revient depuis environ un mois et ce, semaine après semaine.  C’est à  croire que personne ne connaît réellement ce qui entraîne ces coupures répétées. Pour  les abonnés des  réseaux  BbCom et Moov, il n’y a aucun doute, c’est une conspiration ourdie contre leur réseau en ce moment où la question de la privatisation de l’opérateur historique est à l’ordre du jour. C’est du moins ce qu’ils laissent entendre lorsque vous leur tendez le micro. Les plus perspicaces d’entre eux n’hésitent pas à invoquer  un plan monté de toute pièce pour décourager  d’une part les abonnés, de l’autre les promoteurs de ces deux réseaux de téléphone mobile qui seraient intéressés par le rachat de Bénin Télécom.  C’est à ce titre qu’ils en appellent à l’arbitrage du chef de l’Etat, dont la neutralité n’est pas si évidente,  afin qu’il interpelle  le ministre Désiré Adadja et le Directeur Général de Bénin Télécom Sa, M. Patrick Bénon. Ces deux responsables dont les agissements tendent à indiquer un complot dont le dessein est de décourager tout repreneur sérieux à s’intéresser en vue de faciliter le rachat de l’entreprise par leurs amis.

Dans un pays en voie de développement comme le Bénin, où nous manquons de presque tout, il est impérieux que certaines règles entourant la vente d’entreprise de cette nature et employant autant de personnes soient respectées.  Si en plus du fait que  les employés de l’opérateur historique grognent  et ne sont pas d’accord avec   les conditions de privatisation et  les délais  arrêtés pour cette vente, il faut que certains par des manœuvres sournoises dévaluent l’entreprise, il y a fort à faire. Ailleurs sous d’autres cieux, des commissions d’enquêtes auraient été mises sur pied et les responsabilités définies pour déterminer les raisons de  ces coupures répétées et si collusion il y avait entre d’éventuels repreneurs et les responsables précédemment cités, punir.  Or il  y a que nous sommes sous le régime du Changement où tout les travers sont permis. Boni Yayi  en sa qualité de chef d’Etat semble tellement préoccupé par les batailles politiques sans enjeu réel, qu’il a ouvert le boulevard à toutes sortes d’exactions. D’ailleurs à propos de la privatisation de Bénin télécom S.A, alors que sous Kérékou le minimum requis pour traiter un tel dossier est de 6 mois, il  y a ici  une précipitation sans précédent qui met tout le monde dans l’embarras. Juste un mois pour vendre Bénin Télécom SA et pas plus. Difficile alors de ne pas pointer du doigt la responsabilité du chef de l’Etat dans cet imbroglio. Un repreneur sérieux ne devrait pouvoir se prononcer dans un délai aussi court, pour une entreprise pesant en termes de chiffre d’affaires et d’actifs, aussi lourds.   Or c’est visiblement ce que le trio Yayi-Benon-Adadja s’apprête à faire en milieu de 21èm siècle, au nez et à la barbe du peuple.

Partager cet article
Repost0
5 novembre 2009 4 05 /11 /novembre /2009 22:18

(Le ministre Akoffodji doit prendre ses responsabilités et reprendre les travaux)

 En toute chose, il y a toujours une main invisible qui tire sur les ficelles. Un marionnettiste qui manipule les gens à sa guise. C’est ce qui se remarque aujourd’hui dans le processus de recrutement de personnel pour le Projet d’appui au développement des filières lait et viande (Pafilav) confié au cabinet Afrique Conseils.  Dans ce processus flou, il semblerait que la magouille qu’entretiendrait le cabinet de Emmanuel Guidibi s’expliquerait par le fait que ledit cabinet serait en deal avec l’actuel directeur de l’élevage, Boni Christophe Monsia. Un deal qui fait que le cabinet serait en train d’entacher ses travaux d’irrégularités. Cela va de soi car il ne faut pas vexer le directeur auquel est rattaché le Pafilav. De plus, il est à se demander comment le cabinet a obtenu le marché de recrutement. Voilà un projet qui n’est pas définitivement porté sur les fonts baptismaux et c’est le recrutement des personnes devant y travailler, qui attire les appétits de tous les côtés. Et pour cause depuis le bouclage du recrutement de fin août 2009, les candidats ne savent pas à quelle sauce ils ont été cuisinés en dehors deceux qui ont les bras longs dans le ministère ou qui ont des proches dans les carcans du Changement. En effet, on ne sait par quelle alchimie, le cabinet aurait permis à certaines personnes de venir composer en catimini. Et ce ne sont pas des exemples qui manquent car il y a le cas de ce de Souza à qui on n’a fait appel afin qu’il compose samedi passé. Des faits qui entachent gravement la destinée de ce projet puisque ce sont des personnes moins compétentes qui vont être prises. Ce qui est dommageable pour le pays d’autant plus que la Banque Africaine de Développement (Bad) ne va pas accepter investir dans le vide. Autant elle a choisi investir dans le projet, autant il lui est facile de se rétracter. Aujourd’hui, Afrique Conseils de Emmanuel Guidibi qui devait faire les choses dans la transparence  et le directeur de l’élevage se sont trouvé d’autres talents qui ne peuvent qu’entacher ce que la Bad attend de ce projet si cher à elle. Au vu des constats sur le terrain, les espoirs de la Bad d’accroitre la production et la compétitivité des filières lait et viande et augmenter les revenus  des intervenants agissant  dans ces deux filières, ne sont pas de mesure d’être atteints, d’autant plus que le directeur de l’élevage aurait fait main basse sur le processus. Ce que le cabinet se plairait à couvrir. Fait normal si on sait qu’une bouche pleine ne parle pas. Et c’est bienvenu aux  ambigüités dans les travaux du processus cabinet. A ce qu’il parait, les dossiers de recrutement seraient en train d’être gérés par le fameux directeur. Une situation que le cabinet Afrique Conseils couvrirait.  Et si ce n’est pas le cabinet le cabinet ne doit  pas hésiter un seul instant à s’expliquer, faire la part des choses et dénoncer tous ceux qui sont à la base du recrutement calamiteux qui montre que tout est fait pour garantir les différents à une certaine  catégorie de personnes. En entendant de  voir les mesures que la Bad va envisager, nombreux sont ces gens qui s’apprêtent à contacter  le ministre de l’agriculture afin de lui exposer la situation avec des preuves à l’appui. Le ministre Akoffodji doit taper du poing sur la table et sauver l’élevage béninois qui court à la dérive à cause de la supercherie de certaines personnes qui n’ont d’yeux que pour leur seul ventre. Au besoin, il serait salutaire qu’on demande la reprise des travaux du cabinet si possible les confier à un autre cabinet pour plus de transparence. Telle est la seule issue pouvant maintenir le financement de la Bad même si selon certaines personnes, le directeur élevage, Boni Christophe Monsia, ne serait pas du genre à laisser un dossier juteux tel que Pafilav. Affaire à suivre !!!

Partager cet article
Repost0
4 novembre 2009 3 04 /11 /novembre /2009 06:42

( Yayi peut commencer à transpirer à grosses gouttes)

 Eric Tchiakpè

 Présent à Cotonou dans le cadre des obsèques d’un ancien cadre de la Bceao, le président de la Boad, Abdoulaye Bio Tchané en a profité pour rendre visite à l’ancien président de la République, Emile Derlin Zinsou en son domicile de Cotonou. La rencontre a eu lieu autour de 13 heures hier. Une courte visite qui même si elle s’est déroulée loin des oreilles indiscrètes a, on s’en doute, porté sur les prochaines échéances électorales et l’Etat de la nation béninoise. Bio Tchané dont la volonté de briguer la magistrature suprême fait de moins en moins de doute même si elle n’est pas encore officielle,  a au travers de cette visite rassurer les plus sceptiques sur ses qualités de rassembleur et son respect pour son prochain et pour les l’ainés. Environ une demi-heure de discussion entre les deux hommes, dont rien n’a filtré.

Il faut dire que la relative brièveté de la rencontre peut-être attribuée à plusieurs raisons, parmi lesquelles la nécessité de ne pas peser sur le calendrier de son hôte,  tout en tenant compte du temps de séjours  relativement court du président de la Boad à Cotonou. Lequel est rentré depuis hier à Lomé.

Partager cet article
Repost0
4 novembre 2009 3 04 /11 /novembre /2009 06:31

(Il continue de mettre la pression sur le journal)

Yorou N’GOBI

Lorsque le Satan vous poursuit, il n’a de répit que s’il arrive à vous ouvrir le dos. C’est ce à quoi semble aujourd’hui se résumer la cabale de François Odjo Tankpinou contre les animateurs du  journal Le Béninois Libéré afin que ceux-ci arrêtent de chercher un réel dénouement de l’affaire  vol de 4 milliards à la Boa-Bénin. Mais c’est mal connaitre la détermination et l’engagement des journalistes de ce canard de tout faire pour que la vérité triomphe d’avec le mensonge. En renvoyant incessamment des citations aux responsables du journal, Tankpinou ne fait qu’alimenter leur curiosité et surtout à démontrer qu’il y a une vérité qui dérange et qu’on veut à tout prix étouffer. Une situation qui laisse entrevoir que le groupe à Tankpinou ne recule devant rien pour montrer pour que l’affaire soit à leur avantage. Ce qui n’est pas sans grandes conséquences pour notre pays tant que la situation continuera à rester sans un réel dénouement. Voilà quelqu’un qui peut envoyer un droit de réponse et qui ne le fait pas mais préfère aller directement devant les tribunaux, il est à voir à travers ce comportement de va-t-en-guerre de la part de Tankpinou décidé à en finir avec votre journal. Pour comprendre le danger que l’on fait peser sur le pays, il est à voir comment le président Yayi s’échine à faire venir les investisseurs étrangers mais en vain. Il en est ainsi  parce que le vol dont a été victime l’Iranien Sadrollahi fait école et que personne ne veut se laisser  prendre à ce sale jeu de personnes sans scrupules. « C’est une seule fois que l’on piétine les testicules d’un aveugle vigilant », dit un adage populaire. En d’autres termes, ces faits font peser de graves menaces sur les 7 millions de Béninois que compte le pays et ce à cause de quelques personnes dont Tankpinou est en train d’être soupçonné comme faisant partie des pionniers de cette mafia. Il urge que la justice purge  enfin ce dossier pour ne pas permettre aux ténèbres de prendre le dessus sur la lumière dont a besoin la vie des Béninois. Leur salut en dépend car un pays a besoin de divers investissements pour asseoir son développement. Les cartes à jouer sont dans les mains de Boni Yayi qui doit savoir s’en servir et sortir du guêpier entretenu depuis un bon moment par des gens dont le seul dessein est de profiter injustement des fruits de la sueur d’autrui. Par ailleurs, il faut que Tankpinou et sa bande sachent que si le journaliste se lance dans une affaire donnée, c’est pour en cerner les tenants et les aboutissements. Ce qui a permis sous d’autres cieux la résolution des affaires comme le Watergate et le Rainbow Warrior. Actuellement au Bénin, il s’agit d’amener la justice à dire le droit dans cette affaire de vol de  4 milliards de Sadrollahi n’en déplaisent à ceux qui ont les mains sales jusqu’aux épaules. Comme cela est difficile à être compris par Tankpinou, il n’est pas trop dit que le couteau tiré entre celui-ci et  votre journal va encore s’allonger. Il est à savoir que la pression ou le chantage Tankpinou visant à nous amener à faire profil bas, ne marchera pas avec Le Béninois Libéré tant que Sadrollahi ne rentrera pas en possession de son argent. Dans nos prochaines parutions, nous ferons sortir les preuves du rapport qui incrimine François Tankpinou afin que tout le peuple béninois ait la réalité des faits en face et sache réellement qui de lui ou de nous a tort. A suivre donc !!!

 

Nos excuses au procureur de la République

En toute chose, il faut reconnaître la maturité. Dans notre quête de vérité sur l’affaire vol de 4 milliards à la Boa-Bénin, on  a fait certaines affirmations erronées par rapport au procureur de la République, la rédaction du journal revient une nouvelle fois encore lui présenter ses excuses. Elle le remercie pour la manie avec laquelle il  a pris les choses afin que la balle revienne à terre. L’humilité dont il a fait quant la situation s’est présentée a beaucoup touché la rédaction qui a décidé de lui reconnaître cette qualité de père indulgent que d’aucuns n’ont pas. C’est le lieu d’évoquer le fait que la marque des grandes personnes n’a pas d’égal car ils savent se surpasser devant certaines situations et porter comme cela se doit leur manteau d’aîné. Ce qui n’est le cas de certaines personnes comme : François Tankpinou décidé à défendre l’indéfendable et à en finir avec tous ceux qui veulent voir clair. Vivement les nuits puissent lui apporter toute la sagesse nécessaire qui lui fait défaut.

Partager cet article
Repost0
3 novembre 2009 2 03 /11 /novembre /2009 06:32

L’affaire vol de 4 milliards de l’Iranien Mohamed Sadrollahi à la Boa-Bénin continue de prendre de l’ampleur avec ses répercussions sur les ambitions et surtout des menaces à l’encontre de ceux qui animent votre quotidien Le Béninois Libéré. Si le général Kérékou peut s’estimer heureux par rapport à la gestion de ce dossier, pour Boni Yayi les choses se compliquent de jour en jour.  Pour un Bénin émergent, Yayi a besoin d’investisseurs étrangers afin d’avoir les fonds nécessaires pour sa concrétisation. Ce qui n’est pas aujourd’hui le cas puisque les investisseurs, informés de ce que l’homme d’affaires iranien Mohamed Sadrollahi a été escroqué comme ce n’est pas permis à la Boa-Bénin, sont hésitants à faire le saut périlleux de la destination Bénin. Et pour cause, le vol des 4 milliards démontre que les banques ne sont plus crédibles au Bénin et des individus peuvent même se permettre d‘aller jusqu’à voler les sous déposés dans les banques. Ils ont peur qu’ils ne soient eux aussi l’objet de ces individus sans scrupule qui sont décidés à ne pas permettre à ce que Sadrollahi entre en possession de son argent. Tout cela contribue au ralentissement des réalisations dans le pays mettant ainsi en mal Boni Yayi qui a du mal à montrer un beau visage de son pays aux investisseurs. Il a du mal à cerner que c’est le gang du vol des 4 milliards qui en est à la base. Ayant compris le topo bon patriote, le journal s’est donné comme objectif d’œuvrer pour que la vérité éclate. Une situation qui n’est pas du goût du gang qui a voulu nous faire taire. Ces vautours ont commencé par brandir des menaces de mort afin qu’on cesse.  Mais l’amour du pays obligeant, votre journal est décidé à aller au bout du dossier car céder aux pressions de ces sans-foi-ni-loi serait leur donner raison et freiner le développement du Bénin. Des individus qui n’ont que seule mission de jouir des fruits de la sueur de l’homme d’affaires iranien. Voilà ce qui nous raidit dans notre position afin que la vérité triomphe d’avec le mensonge. De toute façon, ils peuvent continuer mais Dieu aura raison d’eux car quelle que soit la longueur de la nuit, le jour finit par paraître.  Telle est la réalité des faits. Actuellement, Yayi se doit de chercher l’aboutissement du dossier pour voir sa vision reprendre sa vitesse de croisière. Affaire à suivre !!!

Partager cet article
Repost0
3 novembre 2009 2 03 /11 /novembre /2009 06:31

Sidick Bagoudou

 L’affaire des machines agricoles un an après le début de l’initiative s’embourbe dans les méandres des querelles politiciennes. Aujourd’hui il ne faut pas craindre de dire que le sujet tel qu’il est connu du grand public, tient plus du domaine politique  que de l’agriculture ou même dans une moindre mesure de la mécanique. En effet il faut dire que la rumeur qui veut que les machines importées dans le cadre de la mécanisation de l’agriculture au Bénin soient inadaptées et pour la plupart grabataires ne repose sur aucun fondement et fait plutôt partie de manœuvres  politiciennes  tendant à embrouiller un débat qui aurait dû rester une affaire purement technique. La base de ces folles rumeurs, est motivée par la perspective d’une commission d’enquête parlementaire suscitée par le camp de Yayi, donc les Fcbe. Il s’agit en effet de quelques députés Fcbe dont  Benoit Dègla, Oba Chabi, pour ne citer que ceux-là  énervés par le  comportement de Yayi. Ceux-ci ont voulu porter de par cette démarche un coup  au Président  qu’ils accusent de les négliger et de se comporter comme s’ils n’existaient pas.  Faut-il rappeler que la politique globale de la mécanisation repose sur une distribution intelligente de l’outil dans les localités productrices de matières premières, or le chef de l’Etat qui est le maitre d’ouvrage nargue ostentatoirement les élus des localités pourtant comprises dans le processus de mécanisation. Du coup il crée des frustrations qui rejaillissent sur le travail qui se veut scientifique de la coordination national du projet et de son coordonnateur, André Okounlola. De ce fait, il devient la cible des politiciens de la propre famille politique de Yayi qui ne rate aucune occasion pour le vilipender et émettre des doutes heureusement infondés sur son travail. Une incursion dans le dossier dans notre prochaine parution, permet d’avoir une lecture plus claire du dossier de la mécanisation de la culture qui n’a rien à voir avec ce qui se lit nourrit par les intrigues politiciennes.

Partager cet article
Repost0
3 novembre 2009 2 03 /11 /novembre /2009 06:26

(Plus de 5000 jeunes étaient au stade de Goho)

Personne ne vendait chère la peau du porte-parole des jeunes patriotes, Frédéric Bèhanzin. Mais pour une fois encore, il a sorti le grand jeu en mobilisant toute la jeunesse d’Abomey pour cette rencontre qui était partie pour être un fiasco au regard de la campagne d’intoxication mise en place la veille par les détracteurs du Changement pour détourner les jeunes. Mais la mayonnaise n’a pas pris. Puisqu’ils étaient des milliers à prendre d’assaut le stade municipal de Goho pour répondre à l’appel du porte-parole des jeunes patriotes, Frédéric Bèhanzin dans le cadre de la journée de la jeunesse africaine. Pour la circonstance, le ministre de l’intérieur Armand Zinzindohoué, parrain de l’événement, dans son intervention, tout en rappelant les ambitions du docteur Boni Yayi à la jeunesse béninoise en général et celle d’Abomey en particulier a tenu à rappeler qu’elle constitue le fer de lance de notre nation. Il n’a pas manqué de souligner l’intérêt particulier que porte le chef de l’Etat pour le programme de réhabilitation de la ville d’Abomey par le biais du programme de l’Agence pour la réhabilitation de la cité d’Abomey (Archa) que dirige l’honorable Maxime Houédjissin. Et selon les propos du ministre, l’Archa est en marche et promet de grandes surprises à la jeunesse de la cité des Houégbadjavi. « Le chef de l’Etat pense à vous et à vos problèmes » a-t-il déclaré pour finir. C’est sous un tonnerre d’applaudissements que le porte-parole des jeunes patriotes a pris la parole pour s’adresser aux milliers de jeunes qui ont effectué le déplacement de Goho. Comme on pouvait si attendre, Frédéric Bèhanzin n’est pas allé par quatre chemins pour dénoncer la politique des ennemis du Changement qui se perdent de combat et d’époque et qui mettent tout en œuvre pour fréiner le développement entamé par le prince du Changement, le docteur Boni Yayi. Après avoir prodigué de sages conseils aux jeunes, le porte-parole des jeunes patriotes n’a pas manqué de leur demander de s’armer davantage et serrer les rangs pour les batailles futures. A l’endroit des parents son message a été on ne peut plus clair. Qu’il rentre eux aussi dans la bataille, autrement les jeunes les y obligeront à travers leur engagement et leur détermination à militer pour un changement effectif des choses. « Nous allons changer le cours des choses contre vents et marrés »a-t-il martelé. Pour finir, il a invité les fils et les filles de la cité des houégbadjavi à soutenir les actions du docteur Boni Yayi afin que l’émergence tant souhaitée devienne une réalité.

Partager cet article
Repost0

A chacun sa force de frappe !

   A défaut de pirate, un pêcheur peut faire l'affaire !

 

Pourquoi chercher loin quand il y a à côté ? dit-on. C’est cette politique que les garde-côtes béninois ont pratiqué vendredi 11 novembre dernier. A défaut de s’en prendre aux pirates qui ne cessent de les narguer puisqu’on est à peu près 20 actes de piraterie, ils ont mesuré leur adresse de tir sur deux pêcheurs béninois dont l’un a rendu l’âme du fait des balles reçues. Voilà comment notre Marine se prépare pour parer aux pirates dont ils ne voient jamais la poussière. Drôle de d’entrainement !