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  • La vie, c'est la positivité, l'espoir en un monde plus meilleur. Bref, un autre monde est possible comme on le dit.
De plus, il faut être fier d'être ce qu'on est et de ce qu'on a.
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Grain de sel

« Si quelqu’un t’a offensé, ne cherche pas à te venger. Assieds-toi au bord de la rivière et bientôt tu verras passer son cadavre »

 

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Ebola : la recette béninoise !


Aux grands maux, les grands remèdes, dit-on. Annoncé comme une maladie qui n’a pas de remède comme le VIH/Sida, le virus Ebola créé toujours la psychose au sein des populations. Mais découragement n’est pas béninois car des Béninois semblent avoir trouvé une recette. En effet, des rumeurs circulent sur une soi-disant recette à base de sel et d’oignon. Est-ce pour se prémunir ou pour en guérir ? Bien malin qui peut nous dire si cela est faux ou pas. En tout cas, avec ces populations désemparées, le ministre de la santé a quand même du pain sur la planche…

2 novembre 2011 3 02 /11 /novembre /2011 06:33

(Plus de 600 pèlerins déjà condamnés à faire leur Hadj dans la cour de la Mosqué de Zongo)

 

Depuis plusieurs semaines, des candidats au hadj sont retenus à la mosquée centrale de Zongo pour non respect des engagements pris par l’agence de voyage Al Lama. Pour décanter la situation, le gouvernement a alors décidé de faire voyager les pèlerins béninois par le Nigeria. C’est dans ce cadre que le jeudi dernier, certains parmi eux, ont été convoyés à Lagos au Nigeria d’où ils prendront le départ pour la Mecque. Si ceux qui ont pris par le Nigeria ont été sauvés in extrémis, il faut dire que ceux qui attendaient impatiemment à Cotonou pour rallier l’Arabie Saoudite n’ont pas connu la même fortune. Pour cause, jusqu’au moment où nous rentrions sous presse, il y a encore plus de 600 pèlerins qui attendent à la mosquée de Zongo. Dans le même temps, les autorités saoudiennes s’apprêtent à fermer leurs frontières. Toute chose qui revient à dire que leurs chances d’aller à la Mecque cette année est quasi inexistante. A qui la faute ? En grande partie à la mafia qui s’est emparée de l’organisation du convoyage des pèlerins à la Mecque et en partie au ministre des travaux publics et des transports publics qui n’a pas su très tôt trouver une solution intermédiaire pour sauver les meubles et éviter aux candidats au hadj 2011 et au président Boni Yayi cette humiliation. Puisque l’histoire retiendra quand même que c’est sous Yayi que certains pèlerins n’ont pas pu satisfaire ce pilier de l’islam et que  7 parmi eux sont décédés à Cotonou. Une situation qui dévoile au grand jour l’incapacité de l’actuel ministre des Tp à gérer efficacement ce département ministériel car en son temps, Fagnon avait trouvé une solution pour soulager nos frères musulmans.

Jean kpingla

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2 novembre 2011 3 02 /11 /novembre /2011 06:05

Rt

 

Il y a des gens qui savent venir comme un chien dans un jeu de quilles. La sortie médiatique du préfet des départements de l’Atlantique et du Littoral, Placide Azandé, à propos du Hadj 2011 en était une. Qu’avait-il à apporter de nouveau dans cette affaire de convoyage des pèlerins pour le Hadj 2011 ? Qu’a-t-il dit pour décanter la situation de ces pèlerins ? A toutes ces questions, on ne peut répondre que par la négative. Rien n’a changé et jusqu’à l’heure actuelle, ce n’est pas encore la fin de la traversée du désert pour les pèlerins au Hadj 2011. Ils sont encore nombreux à passer des nuits blanches à la mosquée centrale de Zongo. En somme, Azandé n’avait pas besoin d’aller s’exposer devant les médias pour dire ce que tout le monde savait déjà: convoyage de certains par bus en direction du Nigeria, départ d’une centaine par avion pendant qu’il y en a qui continue de faire leur pèlerinage dans les coins et recoins de la mosquée de Zongo.  « 2 milliards investis par l’Etat pour la résolution du problème de transport des pèlerins, etc.» quand on ne sait pas quoi dire, on la boucle. Dans un combat d’éléphants, les souris n’ont pas leur mot à dire au risque de se voir piétiner ou écraser. Ce que 4 ministres dont Nassirou Arifari Bako et Lambert Koty n’ont pu résoudre et surtout n’aiment pas s’exprimer sur certains points de ce dossier, ce n’est pas un préfet qui peut décanter la situation. C’est qu’il aurait été plus judicieux pour Azandé de se mettre à l’écart puisqu’il ne s’agit pas d’une affaire de carte d’identité à plus forte raison, une affaire d’autorisation d’Ong. Décidément, les gens ont souvent du mal à savoir que la politique, c’est savoir se taire aussi et sinon c’est du Ohba Ohba comme le chante le reggae man ivoirien Tiken Jah Fakolly.

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31 octobre 2011 1 31 /10 /octobre /2011 06:05

Le bien ne fait pas du bruit et le bruit ne fait pas du bien. Cette assertion a tout l’air d’être la devise du ministre de l’Intérieur, de la sécurité publique et des cultes, Benoît Dègla qui ne parle que par ses actes. En effet, depuis que Benoît Dègla a hérité de ce sensible département ministériel, il a posé des actes qui ont considérablement impacté le commun des Béninois. Avec son arrivée à la tête du ministère de l’intérieur, les Béninois se sentent beaucoup plus en sécurité car la criminalité qui dictait sa loi dans la cité a été véritablement contenue en raison du dynamisme qu’il a su insuffler aux forces de l’ordre et de sécurité. N’ayant pas l’habitude de faire les choses à moitié,  le ministre Benoît Dègla a entrepris depuis quelques semaines une tournée internationale en vue d’obtenir en faveur de la police nationale des puissances visitées une aide autant technique que logistique. A ce sujet, les négociations avec la France et la Chine sont très avancées. Il y a de quoi remonter le moral aux forces de l’ordre et de sécurité et rassurer davantage les Béninois quant à leur sécurité. Ce n’est d’ailleurs pas pour rien qu’il a été reçu sur la radio mondiale Rfi la semaine écoulée où il a expliqué les avancées notables faites par le Bénin ces dernières années en matière de sécurité publique. Par ailleurs, les capacités du ministre de l’intérieur ne se limitent pas seulement aux questions d’ordre sécuritaire mais il est utile à bien d’autres choses encore. En effet, les candidats béninois au hadj 2011 qui devraient déjà être à la Mecque depuis plusieurs jours n’ont pu effectuer le voyage à cause de l’incapacité de l’agence de voyage retenue à honorer ses engagements.  Il a donc fallu l’intervention de certains ministres de la République dont Benoît Dègla en tête pour essuyer les larmes aux pèlerins qui ont déjà perdu tout espoir de rallier le lieu saint de l’Islam cette année. Grâce donc à l’implication personnelle du Mispc, les pèlerins béninois ont pris le départ hier pour le Nigeria d’où ils partiront pour le hadj 2011. Au vu de toutes ces actions qui ne sont que les plus récentes, le président Boni Yayi peut être fier d’avoir à ses côtés un collaborateur qui suscite admiration et considération au sein de l’opinion publique nationale.

Georges godwill

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31 octobre 2011 1 31 /10 /octobre /2011 06:03

 (Pourtant le comité de suivi à travers sa présidente fait tout ce qui est en son pouvoir pour que les populations grugées trouvent satisfaction)


Suite à la dernière sortie médiatique du comité de suivi de la crise des structures illégales de placement d’argent pour faire part au chef de l’État de l’évolution du dossier, des commentaires et critiques visant à saboter l’ honorabilité et l’intégrité de la présidente Sévérine Lawson et des membres qui composent le comité se sont fait entendre. Et pourtant, nul n’ignore plus aujourd’hui l’incorruptibilité de la présidente du comité de suivi qui a déjà fait ses preuves dans d’autres dossiers similaires. C’est pour rétablir la vérité des faits et des chiffres que le vendredi dernier, à la faveur d’un point de presse qui a eu lieu à la salle des conférences du siège du comité de suivi à Akpakpa, la présidente a éclairé une fois encore la lanterne des plus sceptiques afin que cesse cette cabale contre sa personne et les autres membres du comité.

C’est par un tour rétrospectif sur l’historique de la naissance des trois comités qui ont à charge la gestion du dossier et les attributs de chaque comité que la présidente Sévérine Lawson a débuté son point de presse. Ensuite, elle a rappelé la méthodologie de travail du comité qui a opté pour une méthode participative qui l’a conduit à entendre aussi bien les déposants que les promoteurs des structures illégales de placement. Mais très tôt le comité s’est retrouvé confronté à une difficulté de taille ; celle de la représentativité des déposants. Mieux nombre de promoteurs qui ont pris des engagements pour démarrer le rembourser et en qui le comité a eu foi, ont au dernier moment pris la poudre d’escampette pour certains, d’autres se sont portés candidats aux dernières législatives et ont battu campagne tambour battant au vu et au su des populations. Concomitamment à ces travaux du comité de suivi, le bras juridique du comité a entendu lui aussi les promoteurs et certains dont ceux de Icc-Services ont été inculpés. Toute chose qui a permis au comité de suivi d’évaluer leurs biens et de procéder à leur liquidation pour organiser le remboursement de leurs déposants qui sera fait exclusivement avec les fonds récupérés auprès de ceux-ci ; ne prendra en compte que le capital initial déposé ; débutera par les petits déposants et se feront par tranche sur toute l’étendue du territoire national ; mais aussi et surtout, les fonds publics ne seront pas mis à contribution. Ce sont ses balises mises en place par le comité qui ont permis à certains promoteurs qui bien qu’étant sous les verrous ont pu honorer totalement leur engagement vis-à-vis de leurs déposants.

Qu’en est-il alors du cas des promoteurs de Icc-Services ?

Force est de remarquer que les promoteurs de Icc-Services à savoir : Guy Aplogan, Ludovic Dohou et Émile Tégbénou sont aminés d’une mauvaise foi qui ne dit pas son nom. Sinon, comment comprendre qu’en dépit de toutes les facilités que leur accorde le gouvernement afin qu’ils remboursent leurs déposants, les choses ne bougent pas à leur niveau. Ces promoteurs jouent le jeu du chat et de la souris avec le comité. En somme, ils font du dilatoire pour gagner du temps. Depuis que le comité a été mis en place, ils ont été déjà entendus plus de dix fois soit plus de dix demandes d’extraction sans oublier les entretiens avec leurs différents avocats. Encore qu’à ce niveau là, ils en ont fait voir de toutes les couleurs aux membres du comité en changeant d’avocats comme on change de chemises. Toute chose qui perturbe le processus rendant du coup impossible l’organisation du remboursement. Malgré le montant non moins important des deux ventes aux enchères qui s’élèvent à 551.250.000, même pas un seul déposant de Icc-Services n’est encore rentré dans ses fonds.  C’est ainsi que peut se résumer le point du travail abattu par le comité de suivi qui tient à réitérer la détermination du gouvernement à accompagner les promoteurs de bonne foi et engager des procédures contre les autres qui espèrent profiter de l’enlisement des procédures, car le gouvernement ne ménagera aucun effort pour user de toutes les voies de recours pour les contraindre à rembourser leurs déposants. Au besoin, les recommandations des experts du Fonds monétaire international (Fmi) notamment celles qui permettent d’envisager d’autres pistes de règlement de la crise seront mises à contribution. La présidente du comité de suivi Sévérine Lawson a fini en rassurant les déposants que le tarissement des efforts et des énergies de ses membres n’est pas de mise car il ne pouvait en être autrement vu la pression qu’elle subit tous les jours de la part du président de la République.

charles-élysée e.

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31 octobre 2011 1 31 /10 /octobre /2011 05:45

Rt

Le Blanc ne connaît de personne bête, naïve autre que le Noir ; ce qui le pousse à ruser avec ce dernier jusqu’à venir arranger le gagne-pain des pauvres populations africaines. C’est ce qui est en train de se tramer actuellement au niveau du marché grossiste pharmaceutique avec l’implantation d’une nouvelle société française. En effet, alors que ce marché est dominé par des nationaux qui n’ont rien à envier aux Occidentaux par la qualité de leurs prestations, on veut semer de la zizanie qui aura d’impact sur la santé des populations. Le concurrent qu’on  introduit à ces sociétés béninoises s’appelle UBIPHARM. Et à ce qui se laisse transparaître, cette société vient pour absorber Gapob et Ubphar et les conduire à quitter ce marché. C’est pour dénoncer cette ruse des étrangers que le Conseil national des jeunes pour  la prospérité nationale de Fred Houénou est monté au créneau le week-end écoulé. Il s’agit pour eux d’attirer l’attention du chef de l’Etat sur cette affaire afin que les dispositions nécessaires soient prises pour permettre aux sociétés béninoises, une fierté nationale, de continuer à exercer sans inquiétudes. Tant qu’il ne sera pas ainsi, il est à craindre de nombreuses déconvenues au niveau de la santé des Béninois et la perte des emplois. Au Bénin, on a 3 sociétés chargées de la disponibilité et accessibilité des produits pharmaceutiques sur toute l’étendue du territoire nationale. Ce qui est selon les spécialistes trop. Malheureusement, c’est dans ce même marché saturé que veut rejoindre une 4ème société, Ubipharm. En effet, si la société Ubipharm s’installe, il est à craindre que les populations n'aient plus cette  facilité d’accès aux médicaments qu’elles ont avec les trois sociétés existantes. Comme le dit Fred Houénou, on ne peut pas vendre la santé des Béninois aux étrangers car la sauvegarde des intérêts des sociétés béninoise est un combat à un caractère nationaliste et aucun pays ne peut se construire sans le minimum de nationalisme, a-t-il laissé entendre.  En d’autres termes, cette nouvelle société pharmaceutique  vient pour tuer les emplois générés par les Gapob et Ubphar puisque si ces sociétés ferment leurs portes, on assistera à des licenciements de leurs agents. Yayi doit s’impliquer dans ce dossier car la fermeture des sociétés béninoises sonne le glas de plus de 25 années de fierté nationale et ouvre la voie à une nouvelle forme de colonisation de la santé des Béninois, on doit alors réaliser le plan d'occupation dans le secteur de la distribution pharmaceutique. Vu ce que ces sociétés ont apporté aux Béninois pendant toutes ces années, il est à dire que le Benin, seul Etat de I' Afrique francophone qui résiste à l'occupant, s’auto-suffit dans le secteur de la distribution des produits pharmaceutiques. Les Français peuvent aller voir ailleurs à moins que la Refondation veuille tuer ses propres enfants.

 

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25 octobre 2011 2 25 /10 /octobre /2011 02:55

(Les handicapés ne veulent que du travail)


« II vaut mieux apprendre à pêcher à quelqu’un que de lui donner du poisson », dit-on. c’est en suspense ce que les personnes handicapées ont voulu faire comprendre à la ministre de la famille, des affaires sociales, de la solidarité nationale, des handicapés et des personnes du 3ème âge, Fatouma Amadou Djibril, lors de sa tournée de distributions de dons à ces personnes dans le Septentrion la semaine écoulée. Pour ces personnes handicapées, les dons du gouvernement sont louables mais il faut passer à autre chose qui pourra les rendre plus indépendants. Une indépendance qui ne peut intervenir qu’à travers leur réinsertion dans la société avec un travail. Cela laisse transparaître la lassitude des handicapés à se voir toujours réduits à la générosité de quelque personne que ce soit ou de tendre la main alors qu’on peut arrêter cette situation si le gouvernement y mettait du sien. Du travail et rien que du travail, c’est ce que veulent les handicapés de la part des membres du gouvernement car avec un boulot, ils peuvent eux-mêmes devenir indépendants et subvenir à leurs besoins au lieu de chaque fois attendre et ce de façon sporadique, ces aides du gouvernement. En définitive, le besoin d’avoir du travail met la ministre Fatouma Amadou Djibril devant le fait accompli puisqu’elle n’est pas censée ignorer qu’il est très difficile aux handicapés de se trouver une place dans le marché de l’emploi. A l’avenir, elle saura que pour créer la joie dans le cœur de ces personnes, il ne suffit plus de leur faire des dons dont la durée est comptable sur le bout des doigts d’une seule main. D’ailleurs, ne dit-on pas que le travail libère l’homme ?

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20 octobre 2011 4 20 /10 /octobre /2011 07:22

(Des centaines de millions transportés sans la moindre précaution)


Les braquages enregistrés ces derniers temps dans le pays sont motivés par des comportements d’imprudence de certaines personnes dont des hommes d’affaires, des cambistes et des receveurs-percepteurs qui transportent de grosses sommes d’argent sans la moindre mesure de prudence et de sécurité. Une situation qui met à mal les efforts de la police et menace la sécurité des autres citoyens.

Comme le miel attire la mouche, de la même manière, le transport ou le maniement de fortes sommes d’argent sans les mesures de sécurité peut attirer les malfrats surtout lorsque dans l’entourage de la personne concernée, il existe des complices pour les alerter. C’est ainsi que, dans le véhicule braqué la semaine dernière à hauteur de Ahozon, il y avait trois individus avec plus deux cent millions, la nuit, sans la moindre sécurité. Il en est de même pour le receveur-percepteur qui transportait des centaines de millions sans avoir fait appel aux forces de sécurité qui pourtant sont à leur disposition.

Laisser le transport de fonds aux spécialistes

La succession de braquages mettant en cause des personnes transportant de fortes sommes d’argent oblige les forces de sécurité à taper du poing sur la table. Deux solutions de raison s’offrent à ces personnes. Soit elles sollicitent une société de convoyage de fonds pour les accompagner du marché à la banque ou de la banque à leur domicile ou au lieu de la transaction. Contre une somme forfaitaire, elles se protègent et protègent leur gain. Deuxième possibilité, elles peuvent solliciter les forces de sécurité publique pour sécuriser leur opération de transport de fonds. Cette deuxième possibilité est surtout offerte aux structures de l’Etat qui sont obligées de faire des retraits de fortes sommes d’argent du Trésor ou des Banques vers leur service ou dans le sens inverse. C’est le minimum de précaution qu’il faut prendre. Par ailleurs, les Banques ou le Trésor public doivent s’assurer que la personne qui vient faire un retrait de fortes sommes d’argent est entourée de la sécurité minimale pour aller à bon port.

Complicités dans l’entourage des victimes

La plupart des enquêtes sur les braquages de fonds ont abouti à des complicités dans l’entourage de la victime. Des chauffeurs aux collaborateurs en passant même par les interlocuteurs d’affaire, l’information part toujours de l’entourage vers les malfrats. Sinon, comment peuvent-ils connaitre avec précision le jour et l’heure du convoyage des fonds pour opérer ? Parfois, c’est la victime elle-même qui invite les braqueurs à la dépouiller. On se souvient de ce comptable qui, après avoir retiré de l’argent pour commander du ciment pour sa société, a demandé à des amis malfrats de la braquer et qu’après ils partageront l’argent.

Dans tous les cas, les forces de sécurité publique rappellent aux uns et autres  le minimum de règle de prudence et de sécurité à observer en évitant les déplacements de nuit avec de l’argent. Les femmes de nos marchés, les cambistes et les opérateurs économiques se doivent donc d’aider la police à mieux  assurer la sécurité des personnes et des biens.

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20 octobre 2011 4 20 /10 /octobre /2011 06:51

Tout comme bon nombre de quartiers de la capitale économique, Cadjèhoun est aussi frappé par l’inondation. Des rues aux maisons, en passant par les écoles et autres marchés, tout prend de l’eau dès qu’une goutte d’eau tombe du ciel. Pour apporter une solution durable à ces problèmes d’inondation cyclique, le président Boni Yayi habitant du quartier Cadjèhoun a demandé que les rues soient pavées et des caniveaux construits pour  assurer une meilleure canalisation des eaux et surtout leur écoulement tout ceci dans le but de soulager les populations. Pour la réalisation des travaux de construction desdits caniveaux, c’est l’entreprise du président de la coordination des sages de Cadjèhoun, Cyrille Dégbèlo qui a gagné le marché. Toute chose que les populations ont applaudi dans la mesure où en tant qu’habitant de Cadjèhoun et qui plus est, le président de la coordination des sages, il allait s’investir à fond pour la réalisation des travaux. Mais c’est sans compter avec la mauvaise foi qui anime l’homme. Puisque non content d’avoir sous-traité le marché avec une autre entreprise, le gendarme démissionnaire n’a pas daigné respecter les clauses du contrat qui le lie à la société Geb Building and Construction qui n’a reçu que 2 millions sur les 4.380.000 Fcfa arrêtés. Une situation qui a amené ladite entreprise à abandonner le chantier. Mais comme si cela ne suffisait pas, Cyrille Dégbèlo est allé chercher des apprentis maçons pour achever les travaux. Résultats : les dallettes fabriquées et posées sur les caniveaux sont de piètre qualité. Ces dernières ne tenant pas bien sur les caniveaux, les populations courent de grands risques en marchant sur elles. Selon certains témoignages, plusieurs personnes se seraient déjà blessées en marchant sur les caniveaux. Plus grave, un sage a confié que de retour des classes, les enfants s’amusaient à courir sur les caniveaux quand subitement, une dallette s’est affaissée. L’enfant aurait eu la vie sauve grâce à la diligence des personnes présentes sur les lieux du drame. Et comme pour cacher son forfait, c’est nuitamment qu’il a mobilisé des apprentis maçons pour colmater les brèches. Cependant le problème demeure. Le président Boni Yayi qui a eu la sensibilité de proposer cette solution doit réagir au plutôt afin que Cyrille Dégbèlo puisse reprendre les travaux sinon, les caniveaux risques de devenir des tombes pour les habitants du quartier et ses alentours. Affaire à suivre…

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18 octobre 2011 2 18 /10 /octobre /2011 07:42

Frédéric Adounvo


Depuis de nombreuses années, les Cotonois sont habitués à voir des individus les harcelent avec des articles à chaque fois qu’ils s’arrêtent dans un feu tricolore. Ces individus qui vendent toutes sortes d’articles allant des objets de décoration à de la nourriture au niveau des feux tricolores ne se soucient d’aucunes règles. Mieux ils causent dans leurs courses effrénées aux clients des accidents dans lesquels ils sont souvent blessés. Toutes les autorités de ce pays en particulier celles de la mairie de Cotonou observent le phénomène sans réagir. C’est comme si nous étions dans une jungle où il n’y a aucune règle. La remarque qui est faite à ces carrefours est que ce sont en majorité des étrangers qui organisent cette vente à la sauvette et désorganisent la circulation sur nos artères. Certes il y a des Béninois parmi eux mais ils sont en minoritaires. Presque tous les carrefours de la ville de Cotonou, vitrine de notre pays sont infestés de vendeurs à la sauvette. Ils organisent une parfaite cohabitation avec les mendiants qui ont eux aussi fini par envahir toute la ville. De ce côté-là aussi la population est mixte. Beaucoup d’étrangers principalement des Nigériens et des Béninois qui accompagnent le mouvement des mendiants professionnels. Ce phénomène qui donne une vilaine image de Cotonou doit être corrigé au plus tôt par les autorités compétentes. La dernière mode est celle qui se développe au niveau du carrefour cica Toyota où les vendeurs à la sauvette viennent de créer un autre marché missèbo. Il  y a là près d’une centaine de vendeurs aux heures de pointes. A cause des nombreux clients qui s’arrêtent là pour faire des achats de tee-shirts, chemises, jeans et autres, la circulation devient chaque jour un peu plus difficile à cet endroit. Les bouchons sont presque quotidiens et le phénomène s’observe  jusque tard dans la nuit. La mairie a beau essayé de les chasser de là, mais ils reviennent dès que les agents de la police municipale tournent le dos. A moins que le président maire Nicéphore Soglo ne se déclare dépassé, on continue de croire qu’il peut venir à bout de ces anarchistes qui font tout pour rendre vilaine notre chère ville.    

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21 septembre 2011 3 21 /09 /septembre /2011 04:29

Le gouvernement du docteur  Thomas Boni Yayi a envoyé à l’Assemblé nationale le vote d’une loi pour la régularisation du droit de  grève au Bénin. Suite à cette expédition, les syndicalistes sont montés au créneau hier pour exprimer leur désaccord face à ce comportement du gouvernement. Ces derniers menacent de paralyser toute l’administration béninoise si les députés votent cette loi. Le premier viseur de Raouf Affagnon et ses camarades est la rentrée académique qui s’annonce.

 

Houessinon florent (stag)

Suite aux grèves perlées dans l’administration béninoise, le président de la république, Thomas Boni Yayi, vient d’envoyer à l’hémicycle un projet de loi portant sur la règlementation du droit de grève dans notre pays. En effet, l’organisation des syndicats vient quant à elle, d’affirmer sa position par apport à cet acte du gouvernement. Selon le porte-parole des syndicats, Raouf Affagnon, le président de la république en initiant un tel projet, viole largement les principes de l’OIT. Mieux, le porte-parole du syndicat des trois ordres de l’enseignement pense que ce projet porte gravement atteinte à la liberté syndicale dans notre pays. Le slogan qui a été employé pour désapprouver ce comportement de l’homme du Changement fut « touche pas à ma loi ». Raouf Affagnon et ses  collègues n’entendent pas s’arrêter en une simple sortie médiatique. Le porte-parole de la rencontre d’hier a invité tous les syndicats à se mobiliser contre ce projet de loi. De plus, Raouf Affagnon promet de commun accord avec ses camarades, mener une marche gigantesque sur l’Assemblée nationale si les députés à œil fermé, votent ce projet de loi. Il menace même de bloquer systématiquement la rentrée du 03 Octobre prochain. Le porte-parole du syndicat des trois ordres de l’enseignement envisage un boycott pur et simple de la rentrée académique si YAYI ne rebrousse  pas chemin. Pour Affagnon et ses collègues, la jouissance des droits de grève au Bénin est l’une des armes du fonctionnaire béninois. Vivement que le gouvernement joue à la carte de l’apaisement pour une rentrée effective.

 

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A chacun sa force de frappe !

   A défaut de pirate, un pêcheur peut faire l'affaire !

 

Pourquoi chercher loin quand il y a à côté ? dit-on. C’est cette politique que les garde-côtes béninois ont pratiqué vendredi 11 novembre dernier. A défaut de s’en prendre aux pirates qui ne cessent de les narguer puisqu’on est à peu près 20 actes de piraterie, ils ont mesuré leur adresse de tir sur deux pêcheurs béninois dont l’un a rendu l’âme du fait des balles reçues. Voilà comment notre Marine se prépare pour parer aux pirates dont ils ne voient jamais la poussière. Drôle de d’entrainement !