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  • Akkilou
  • La vie, c'est la positivité, l'espoir en un monde plus meilleur. Bref, un autre monde est possible comme on le dit.
De plus, il faut être fier d'être ce qu'on est et de ce qu'on a.
  • La vie, c'est la positivité, l'espoir en un monde plus meilleur. Bref, un autre monde est possible comme on le dit. De plus, il faut être fier d'être ce qu'on est et de ce qu'on a.

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« Si quelqu’un t’a offensé, ne cherche pas à te venger. Assieds-toi au bord de la rivière et bientôt tu verras passer son cadavre »

 

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Ebola : la recette béninoise !


Aux grands maux, les grands remèdes, dit-on. Annoncé comme une maladie qui n’a pas de remède comme le VIH/Sida, le virus Ebola créé toujours la psychose au sein des populations. Mais découragement n’est pas béninois car des Béninois semblent avoir trouvé une recette. En effet, des rumeurs circulent sur une soi-disant recette à base de sel et d’oignon. Est-ce pour se prémunir ou pour en guérir ? Bien malin qui peut nous dire si cela est faux ou pas. En tout cas, avec ces populations désemparées, le ministre de la santé a quand même du pain sur la planche…

19 novembre 2015 4 19 /11 /novembre /2015 21:59

Les semaines se suivent et se ressemblent par rapport au bilan macabre que ne cesse de faire chaque semaine le Service des accidents et constats de la ville de Cotonou. Au lieu d’une réduction des cas d’accidents de circulation, c’est à une multiplication de ces cas qu’on assiste. Et toujours pour les mêmes raisons que ne cessent d’évoquer le Centre national de sécurité routière (Cnss) au cours de ses action de sensibilisation : excès de vitesse, utilisation de téléphone portable au guidon ou au volant, non-respect des pistes cyclables, etc. hier, c’est l’excès de vitesse qui arraché la vie à un jeune motocycliste.

Akkilou YACOUBOU

Deux jeunes : un mort et l’autre gravement blessé et transportés de toute urgence à l’hôpital, c’est le bilan d’un accident de circulation qui s’est déroulé dans la matinée du mardi 17 novembre 2015 au niveau du Carrefour Abattoir à Cotonou devant l’agence Mtn. Cet accident qui concernait une moto et un camion aconsidérablement perturbé la circulation. En effet, les deux jeunes à moto qui roulaient à vive allure, n’ont pu éviter le camion qui transportait un container. Résultat des courses, ils ont percuté par derrière le camion et sont allés s’incruster sous le camion. Sur le coup, l’un des jeunes a rendu l’âme et l’autre gravement blessé. Vu le choc, nul besoin d’aller les causes ailleurs car les dégâts démontrent aisément c’est l’excès de vitesse qui en était la cause. Vitesse parce que la fougue de la jeunesse fait que bon nombre de jeunes ne s’empêchent pas d’être raisonnables en circulation même quand celle-ci semble des plus complexes. Pour eux, seule la vitesse permet se rendre en et en heure à leur rendez-vous. Malheureusement, ils ont du mal à comprendre cet adage qui dit : « qui va lentement va surement ». Et si la vitesse permettait d’être à l’heure à ses rendez, ces malheureux accidentés ne connaîtraient pas la situation qui aujourd’hui la leur. Ils étaient pressés alors que c’était pour s’arrêter à côté. Il vaut mieux quitter tôt la maison et rouler raisonnablement en prêtant attention au code de la route pour arriver sain et sauf à destination. Car la vitesse est signe de désolation et en plus il est fort probable que l’on roule à vive allure alors qu’on n’arrivera jamais à destination tout simplement parce qu’on s’arrêterait à coté pour divers désagréments dus à la vitesse. Avec près de 70 accidents enregistrés la semaine écoulée, on est loin d’une diminution de ces cas d’accident quand on voit ces genres d’accident qui peuvent s’éviter avec un minimum de précautions comme le respect du code de la route, la non-utilisation du téléphone en circulation et le respect des couloirs de circulation.

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A chacun sa force de frappe !

   A défaut de pirate, un pêcheur peut faire l'affaire !

 

Pourquoi chercher loin quand il y a à côté ? dit-on. C’est cette politique que les garde-côtes béninois ont pratiqué vendredi 11 novembre dernier. A défaut de s’en prendre aux pirates qui ne cessent de les narguer puisqu’on est à peu près 20 actes de piraterie, ils ont mesuré leur adresse de tir sur deux pêcheurs béninois dont l’un a rendu l’âme du fait des balles reçues. Voilà comment notre Marine se prépare pour parer aux pirates dont ils ne voient jamais la poussière. Drôle de d’entrainement !