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  • Akkilou
  • La vie, c'est la positivité, l'espoir en un monde plus meilleur. Bref, un autre monde est possible comme on le dit.
De plus, il faut être fier d'être ce qu'on est et de ce qu'on a.
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« Si quelqu’un t’a offensé, ne cherche pas à te venger. Assieds-toi au bord de la rivière et bientôt tu verras passer son cadavre »

 

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Ebola : la recette béninoise !


Aux grands maux, les grands remèdes, dit-on. Annoncé comme une maladie qui n’a pas de remède comme le VIH/Sida, le virus Ebola créé toujours la psychose au sein des populations. Mais découragement n’est pas béninois car des Béninois semblent avoir trouvé une recette. En effet, des rumeurs circulent sur une soi-disant recette à base de sel et d’oignon. Est-ce pour se prémunir ou pour en guérir ? Bien malin qui peut nous dire si cela est faux ou pas. En tout cas, avec ces populations désemparées, le ministre de la santé a quand même du pain sur la planche…

21 octobre 2009 3 21 /10 /octobre /2009 04:23

(Les machines achetées ne sont bonnes que pour les acheteurs de ferrailles)

Lorsque la puisette dure dans le puits, c’est dans l’espoir qu’elle ramène une bonne eau, dit un adage baatonu. En ce qui concerne la relance de l’agriculture c’est tout autre. Les fruits ne peuvent pas tenir la promesse des fleurs puisque les fleurs n’existent pas et se font toujours attendre. Que fut la surprise des populations de constater que depuis qu’on  parle de relance  de l’agriculture voire achat des machines ou matériels agricoles, l’agriculture béninoise est en train de parti à-vau l’eau. Triste situation pour les populations ou démarche stratégique pour les autorités en charge de la question. Le constat technique réalisé sur les machines achetées et envoyées dans les Cerpa du Nord au Sud du pays ne laisse personne indifférent car il montre comment des gens sont en train de s’amuser avec l’argent du contribuable béninois. Les machines sont non pas à l’abri mais à l’air libre au gré des intempéries et autres aléas climatiques. Il en est ainsi parce qu’on ne sait pas sur quelle base, on a procédé à leur achat. Si les machines sont abandonnées, c’est tout simplement parce qu’elles ne sont pas appropriées au sol béninois. On n’a pas besoin d’être expert en la matière pour savoir que ce que défend bec et ongle Okounlola n’est qu’un topo mal ficelé. Tout compte fait, selon les personnes bien imprégnées des questions agricoles, il faut des machines d’au moins 120 à 130 chevaux pour pouvoir résister au sol béninois or les machines achetées à grands frais pour la ‘’soi-disant relance de l’agriculture’’ sont d’une capacité de 30 chevaux. Donc, totalement inappropriées pour résister au sol béninois. D’où la saignée de l’économie béninoise qu’il convient de déplorer. De, nombreux sont ces gens qui disent que les jacassements de Okounlola qui se prend pour un chantre du changement, n’augurent rien de bon pour l’agriculture. Ils ne souhaitent que son audition parlementaire. Au vu de tous ces constats, les inquiétudes des populations ont bel et bien leur raison d’être. Aujourd’hui, le peuple veut voir clair dans cette affaire de gros sous investis dans la ‘’soi-disant relance de l’agriculture’’ qui n’en est pas une mais plutôt une ruine de l’économie. Elles veulent savoir dans quel pays on est allé se procurer les machines. Sur quelle étude s’est-on basé pour les acquérir ? Dans quel pays ? Après quelle concurrence ? Autant de questions qui montrent le ras-le-bol des populations fatiguées d’être tournées en bourrique vers des destinations sans lendemain. Seule issue favorable qui peut sauver le peuple c’est que les députés s’emparent de cette affaire pour diligenter une enquête parlementaire pour mesurer l’ampleur de plaie béante faite par Yayi et Okounlola. Il faut nécessairement cette enquête car il y a trop de topos mal ficelés sous le régime du Changement où se faire du beurre sur le dos des populations est devenu monnaie courante. C’est ainsi qu’on pourra limiter les dégâts avant la décadence voire l’apocalypse au Bénin. Suivez mon regard !!!

Yorou N’GOBI

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A chacun sa force de frappe !

   A défaut de pirate, un pêcheur peut faire l'affaire !

 

Pourquoi chercher loin quand il y a à côté ? dit-on. C’est cette politique que les garde-côtes béninois ont pratiqué vendredi 11 novembre dernier. A défaut de s’en prendre aux pirates qui ne cessent de les narguer puisqu’on est à peu près 20 actes de piraterie, ils ont mesuré leur adresse de tir sur deux pêcheurs béninois dont l’un a rendu l’âme du fait des balles reçues. Voilà comment notre Marine se prépare pour parer aux pirates dont ils ne voient jamais la poussière. Drôle de d’entrainement !