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  • Akkilou
  • La vie, c'est la positivité, l'espoir en un monde plus meilleur. Bref, un autre monde est possible comme on le dit.
De plus, il faut être fier d'être ce qu'on est et de ce qu'on a.
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« Si quelqu’un t’a offensé, ne cherche pas à te venger. Assieds-toi au bord de la rivière et bientôt tu verras passer son cadavre »

 

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Ebola : la recette béninoise !


Aux grands maux, les grands remèdes, dit-on. Annoncé comme une maladie qui n’a pas de remède comme le VIH/Sida, le virus Ebola créé toujours la psychose au sein des populations. Mais découragement n’est pas béninois car des Béninois semblent avoir trouvé une recette. En effet, des rumeurs circulent sur une soi-disant recette à base de sel et d’oignon. Est-ce pour se prémunir ou pour en guérir ? Bien malin qui peut nous dire si cela est faux ou pas. En tout cas, avec ces populations désemparées, le ministre de la santé a quand même du pain sur la planche…

16 juillet 2010 5 16 /07 /juillet /2010 07:09

Un bon chef se reconnaît par la qualité des hommes qui l’entourent. En ce qui concerne le président Boni Yayi, il y a beaucoup à dire tant on se demande parfois si ce sont ces conseillers qui lui font ces recommandations dans la prise de certaines décisions. En témoigne l’arrestation du ministre Armand Zinzindohoué dans le cadre de l’élucidation de l’affaire Icc-Services. Une arrestation qu’on a qualifiée de garde à vue et qui dure plus de 48 heures, du lundi à ce jour. Or en tenant compte de la procédure judiciaire, il devrait être libre de ses mouvements après 48 heures.  Mieux en tant que ministre au moment des faits, Armand Zinzindohoué ne devrait pas être arrêté comme un vulgaire individu. De plus, cette commission mise sur pied par le chef de l’Etat pour connaitre des tenants et aboutissants de l’affaire Icc-Services, n’est pas compétente en la matière. Elle peut écouter toute personne en dehors d’un ministre car la loi a prévu les mesures à prendre lorsque des ministres voire le président sont accusés dans une affaire. Autrement dit, pour ce qui est du cas du ministre Zinzindohoué, c’est la Haute Cour de Justice qui devrait s’en charger. C’est là-bas que Yayi devrait transmettre son dossier afin qu’on sache son niveau d’implication dans le dossier. L’autre chose qui montre que la démarche de Yayi ne répond à aucune norme, c’est l’Assemblée nationale qui aurait dû l’écouter et non une quelconque commission tout simplement parce qu’il était un ministre de la République au moment des faits. Après l’écoute, le parlement envoie le dossier au Procureur général avant que ça n’atterrisse à la Haute cour de justice. C’est pourquoi il revenait à Yayi de laisser les députés, représentants du peuple, s’en charger. Malheureusement, tel n’a pas été le cas car la précipitation a pris le dessus sur la vitesse poussant du coup le gouvernement dans le décor. Et c’est ce qui pose l’épineux problème de la mauvaise inspiration de Boni Yayi. En effet, ceux qui disent aimer Yayi en lui donnant de pareils conseils, ne l’aiment aucunement car on ne saurait comprendre qu’on ne permette pas aux institutions de la République de faire convenablement leur travail. D’ailleurs, c’est de telles prises de décisions qui  font que l’opposition accuse le régime Yayi de fouler aux pieds les lois de la République, de s’amuser avec ce que le Bénin a de plus cher, sa constitution. Ce qui n’est pas une première car il y a eu bien des dossiers où des critiques pareilles ont fusé et l’on se disait qu’avec le temps Boni Yayi arriverait à faire la part des choses, distinguer le bon grain de l’ivraie. C’est le contraire qui se remarque dans les décisions que prend Yayi. Décisions qui le poussent pour la plupart du temps droit dans le décor et on se demande si ce ne serait pas fait sciemment. Car ils disposent  de  conseillers qui devraient tout faire pour lui éviter un maximum de bourdes. C’est à croire qu’ils s’en foutraient des couacs que rencontre le chef de l’Etat, l’essentiel pour eux étant que leur gombo soit assuré. Un point, c’est tout. C’est comme cela on aide le chef de l’Etat à assurer son mandat. Peut-être, s’il ne sait un peu plus tôt que prévu… et c’est pourquoi il doit avoir peur de son entourage.

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A chacun sa force de frappe !

   A défaut de pirate, un pêcheur peut faire l'affaire !

 

Pourquoi chercher loin quand il y a à côté ? dit-on. C’est cette politique que les garde-côtes béninois ont pratiqué vendredi 11 novembre dernier. A défaut de s’en prendre aux pirates qui ne cessent de les narguer puisqu’on est à peu près 20 actes de piraterie, ils ont mesuré leur adresse de tir sur deux pêcheurs béninois dont l’un a rendu l’âme du fait des balles reçues. Voilà comment notre Marine se prépare pour parer aux pirates dont ils ne voient jamais la poussière. Drôle de d’entrainement !