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  • Akkilou
  • La vie, c'est la positivité, l'espoir en un monde plus meilleur. Bref, un autre monde est possible comme on le dit.
De plus, il faut être fier d'être ce qu'on est et de ce qu'on a.
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« Si quelqu’un t’a offensé, ne cherche pas à te venger. Assieds-toi au bord de la rivière et bientôt tu verras passer son cadavre »

 

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Ebola : la recette béninoise !


Aux grands maux, les grands remèdes, dit-on. Annoncé comme une maladie qui n’a pas de remède comme le VIH/Sida, le virus Ebola créé toujours la psychose au sein des populations. Mais découragement n’est pas béninois car des Béninois semblent avoir trouvé une recette. En effet, des rumeurs circulent sur une soi-disant recette à base de sel et d’oignon. Est-ce pour se prémunir ou pour en guérir ? Bien malin qui peut nous dire si cela est faux ou pas. En tout cas, avec ces populations désemparées, le ministre de la santé a quand même du pain sur la planche…

27 octobre 2009 2 27 /10 /octobre /2009 18:02

Parmi les grands acteurs de l’avènement du 6 avril de 2006, figure en grande place Maître Ahamed Akobi qui était sur tous les fronts pour que le peuple béninois ait enfin son ère du changement. Comme les bonnes choses ne durent jamais, il s’en est allé alors que le Changement essayait de prendre corps. Mort alors que la cause qu’il a défendue et pour laquelle il a brûlé toute sa fortune, ne lui a pas restitué la monnaie de sa pièce. Et pourtant, presque tout n’a échappé à son déterminant investissement à fournir à Yayi tous les moyens de ses ambitions. Maisons construites ou en construction même la seule maison de Manigri qui lui est restée et où il a été enterré a failli  passer. C’est cette maison qui est aujourd’hui en ruine et qu’il convient de réfectionner pour sauver la mémoire du feu Akobi. Pour la réfection, les parents ont diligenté des gens pour en estimer les sous. De cette action, il ressort un bilan de  22 millions de FCfa. Entrés en possession de cette information, certaines personnes ne se sont pas fait prier pour filer le filon à Yayi afin que celui-ci sauve sa face. Mais contre toute attente, l’accueil n’a pas été celui qu’elles avaient imaginé. La mine du président Yayi était tout autre que celle qui manifeste la joie d’être sur le bon coup. De toute façon, au lieu des 22 millions nécessaires, Boni Yayi a envoyé 7 millions  non pas pour la réfection de cette seule maison de celui qui lui est resté fidèle jusqu’à la mort mais plutôt pour un soi-disant mausolée. Chose bizarre car on a tendance à croire que les 22 millions nécessaires sont plutôt 22 milliards pour que Yayi ne veuille pas consentir les donner à la famille du défunt.  Ce qui démontre clairement que Yayi rate une fois encore une occasion pour se faire accepter par la famille du défunt qui s’est sentie purement oublier depuis le décès de Akobi. En effet, à quelques 15 mn de marche de la maison de Yayi, la femme n’a jamais reçu la visite de celui pour qui son homme s’est battu. Ce manque de soins ou d’attention vers cette famille devient incompréhensible quand on sait que Yayi ne manque pas pourtant de moyens. Au contraire, il en fait usage à volonté et à satiété. Il est permis de constater que depuis son arrivée au pouvoir, Yayi ne cesse de multiplier ses constructions.  Des constructions qui avoisinent les 100 millions ou plus. De sa maison réfectionnée à Cadjèhoun, il en a construit à Tchaourou, Parakou, Djougou et on annonce que désormais c’est dans l’Ouémé que le chef de l’Etat est en train de jeter son dévolu. Malgré tout cela, on n’a pas pu trouver les 22 millions nécessaires pour sauver cette maison en ruine. Ce n’est pas élégant qu’un chef de l’Etat ne fasse pas le nécessaire pour honorer la mémoire de son ami. Avec tout ce qu’il a aujourd’hui, Yayi aurait dû construire une maison en bonne et due forme pour celui qui est mort endetté pour lui. Que la nature est bizarre !!! On ne vous connaît que lorsque vous êtes vivant. Une fois mort, on vous oublie. Voilà dans quel sens, on peut situer le problème.

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A chacun sa force de frappe !

   A défaut de pirate, un pêcheur peut faire l'affaire !

 

Pourquoi chercher loin quand il y a à côté ? dit-on. C’est cette politique que les garde-côtes béninois ont pratiqué vendredi 11 novembre dernier. A défaut de s’en prendre aux pirates qui ne cessent de les narguer puisqu’on est à peu près 20 actes de piraterie, ils ont mesuré leur adresse de tir sur deux pêcheurs béninois dont l’un a rendu l’âme du fait des balles reçues. Voilà comment notre Marine se prépare pour parer aux pirates dont ils ne voient jamais la poussière. Drôle de d’entrainement !