Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Profil

  • Akkilou
  • La vie, c'est la positivité, l'espoir en un monde plus meilleur. Bref, un autre monde est possible comme on le dit.
De plus, il faut être fier d'être ce qu'on est et de ce qu'on a.
  • La vie, c'est la positivité, l'espoir en un monde plus meilleur. Bref, un autre monde est possible comme on le dit. De plus, il faut être fier d'être ce qu'on est et de ce qu'on a.

Grain de sel

« Si quelqu’un t’a offensé, ne cherche pas à te venger. Assieds-toi au bord de la rivière et bientôt tu verras passer son cadavre »

 

Lao-tseu

Rechercher

Savoir plus

Nous sommes tous...     


Le Béninois Libéré

Le journal du peuple

Le Bénin en Lumière

Archives

Ainsi va le monde !!!

 

Ebola : la recette béninoise !


Aux grands maux, les grands remèdes, dit-on. Annoncé comme une maladie qui n’a pas de remède comme le VIH/Sida, le virus Ebola créé toujours la psychose au sein des populations. Mais découragement n’est pas béninois car des Béninois semblent avoir trouvé une recette. En effet, des rumeurs circulent sur une soi-disant recette à base de sel et d’oignon. Est-ce pour se prémunir ou pour en guérir ? Bien malin qui peut nous dire si cela est faux ou pas. En tout cas, avec ces populations désemparées, le ministre de la santé a quand même du pain sur la planche…

5 novembre 2009 4 05 /11 /novembre /2009 22:35

(Ils veulent vendre Bénin Télécom à leurs copains)

 

 

Il ne fait pas bon d’être usager de téléphone mobile, d’internet ou même de téléphone conventionnel dans le septentrion. Le moins qu’on puisse dire est que cela s’avère même lourd et désagréable. Donc une panne sur le support de Bénin Télécom S.A l’opérateur historique. Il faut dire à cet effet que depuis environ un mois ce sont des pannes à répétitions imputées  à la rupture de la fibre optique reliant Cotonou à Parakou.

 

Sidick Bagoudou

 

Les  pannes sur le réseau de fibre optique reliant Cotonou à Parakou sont désormais monnaies courantes. Pour les usagers des services de l’opérateur historique, Bénin Télécom, chaque jour est plus pénible que la veille. Internet, le téléphone filaire et conventionnel, le Gsm, bref plus rien ne fonctionne convenablement dans cette partie du pays. Les choses se sont empirées depuis l’annonce de la vente de l’entreprise. Les personnes pour qui l’usage de ces moyens de télécommunication est une nécessité professionnelle, comme les hommes d’affaires et autres traders,  la situation est plutôt grave.

Les explications, fournies pour justifier ces fréquentes pannes arguent  la  rupture de la fibre optique. Toujours le même argument qui revient depuis environ un mois et ce, semaine après semaine.  C’est à  croire que personne ne connaît réellement ce qui entraîne ces coupures répétées. Pour  les abonnés des  réseaux  BbCom et Moov, il n’y a aucun doute, c’est une conspiration ourdie contre leur réseau en ce moment où la question de la privatisation de l’opérateur historique est à l’ordre du jour. C’est du moins ce qu’ils laissent entendre lorsque vous leur tendez le micro. Les plus perspicaces d’entre eux n’hésitent pas à invoquer  un plan monté de toute pièce pour décourager  d’une part les abonnés, de l’autre les promoteurs de ces deux réseaux de téléphone mobile qui seraient intéressés par le rachat de Bénin Télécom.  C’est à ce titre qu’ils en appellent à l’arbitrage du chef de l’Etat, dont la neutralité n’est pas si évidente,  afin qu’il interpelle  le ministre Désiré Adadja et le Directeur Général de Bénin Télécom Sa, M. Patrick Bénon. Ces deux responsables dont les agissements tendent à indiquer un complot dont le dessein est de décourager tout repreneur sérieux à s’intéresser en vue de faciliter le rachat de l’entreprise par leurs amis.

Dans un pays en voie de développement comme le Bénin, où nous manquons de presque tout, il est impérieux que certaines règles entourant la vente d’entreprise de cette nature et employant autant de personnes soient respectées.  Si en plus du fait que  les employés de l’opérateur historique grognent  et ne sont pas d’accord avec   les conditions de privatisation et  les délais  arrêtés pour cette vente, il faut que certains par des manœuvres sournoises dévaluent l’entreprise, il y a fort à faire. Ailleurs sous d’autres cieux, des commissions d’enquêtes auraient été mises sur pied et les responsabilités définies pour déterminer les raisons de  ces coupures répétées et si collusion il y avait entre d’éventuels repreneurs et les responsables précédemment cités, punir.  Or il  y a que nous sommes sous le régime du Changement où tout les travers sont permis. Boni Yayi  en sa qualité de chef d’Etat semble tellement préoccupé par les batailles politiques sans enjeu réel, qu’il a ouvert le boulevard à toutes sortes d’exactions. D’ailleurs à propos de la privatisation de Bénin télécom S.A, alors que sous Kérékou le minimum requis pour traiter un tel dossier est de 6 mois, il  y a ici  une précipitation sans précédent qui met tout le monde dans l’embarras. Juste un mois pour vendre Bénin Télécom SA et pas plus. Difficile alors de ne pas pointer du doigt la responsabilité du chef de l’Etat dans cet imbroglio. Un repreneur sérieux ne devrait pouvoir se prononcer dans un délai aussi court, pour une entreprise pesant en termes de chiffre d’affaires et d’actifs, aussi lourds.   Or c’est visiblement ce que le trio Yayi-Benon-Adadja s’apprête à faire en milieu de 21èm siècle, au nez et à la barbe du peuple.

Partager cet article
Repost0

commentaires

A chacun sa force de frappe !

   A défaut de pirate, un pêcheur peut faire l'affaire !

 

Pourquoi chercher loin quand il y a à côté ? dit-on. C’est cette politique que les garde-côtes béninois ont pratiqué vendredi 11 novembre dernier. A défaut de s’en prendre aux pirates qui ne cessent de les narguer puisqu’on est à peu près 20 actes de piraterie, ils ont mesuré leur adresse de tir sur deux pêcheurs béninois dont l’un a rendu l’âme du fait des balles reçues. Voilà comment notre Marine se prépare pour parer aux pirates dont ils ne voient jamais la poussière. Drôle de d’entrainement !