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  • Akkilou
  • La vie, c'est la positivité, l'espoir en un monde plus meilleur. Bref, un autre monde est possible comme on le dit.
De plus, il faut être fier d'être ce qu'on est et de ce qu'on a.
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« Si quelqu’un t’a offensé, ne cherche pas à te venger. Assieds-toi au bord de la rivière et bientôt tu verras passer son cadavre »

 

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Ebola : la recette béninoise !


Aux grands maux, les grands remèdes, dit-on. Annoncé comme une maladie qui n’a pas de remède comme le VIH/Sida, le virus Ebola créé toujours la psychose au sein des populations. Mais découragement n’est pas béninois car des Béninois semblent avoir trouvé une recette. En effet, des rumeurs circulent sur une soi-disant recette à base de sel et d’oignon. Est-ce pour se prémunir ou pour en guérir ? Bien malin qui peut nous dire si cela est faux ou pas. En tout cas, avec ces populations désemparées, le ministre de la santé a quand même du pain sur la planche…

9 novembre 2009 1 09 /11 /novembre /2009 16:36

Sylva TOE

L’habitude est une seconde nature. On a beau être député, ce qu’on est réellement reste comme une grosse tache noire indélébile cachée quelque part en soi. Ici, l’habitude dont il est question est la délinquance dont une bribe est restée cachée dans les comportements  du député Zéphirin Kindjahoundé. C’est du moins ce que l’on retient de l’attitude qu’il a eue le samedi dernier à Calavi Zogbadjè où tel un délinquant, il est allé lui-même marteau en main, avec l’aide de son garde de corps, casser les briques fraîchement fabriquées et destinées à la réalisation de la clôture sur la parcelle d’autrui. En effet, le nommé A.A qui a légalement acquis sa parcelle depuis plusieurs années dans la zone de Zogbadjè à Calavi était sur le point de réaliser la clôture et a donc à cet effet ouvert un chantier. Les maçons  étaient  sur le chantier en train de fabriquer  les  briques  quand le député a débarqué avec son garde de corps pour tout casser sur leur passage. Et comme si cela ne suffisait pas, il a emporté avec lui les outils de travail des maçons et tous les paquets de ciment disponibles sur le chantier. Le  vol étant par définition le fait de s’emparer du bien d’autrui par force ou à son insu, on déduit que l’honorable Zéphirin Kindjanhoundé a volé le ciment qu’il a trouvé sur les lieux. Et comme le font les grands délinquants après leur forfait, il a laissé sa carte de visite sur le chantier en guise de signature. Selon certaines personnes témoins de la casse, le député tout en détruisant les briques disait qu’il appartient à la mouvance présidentielle et qu’à ce titre, rien ne peut lui arriver. De nos investigations pour comprendre les réelles motivations du député, il ressort qu’une fois que la clôture serait terminée, Zéphirin Kindjanhoundé aurait du mal à passer car lui-même habitant la même rue que  le sieur A.A. Selon certaines indiscrétions, le comportement du député s’expliquerait par le fait qu’il aurait une copine dans une maison ayant une boutique  et donc l’érection de la clôture empêcherait la dame de vendre car elle serait enclavée. Et c’est pour montrer à sa ‘’go’’ qu’il est puissant qu’il s’est défoncé sur les briques. Mais face à cette brutalité du député, le propriétaire de la parcelle n’a pas réagi si ce n’est de porter plainte à la brigade territoriale de Calavi. Car dit-il, même s’il n’est qu’un opérateur économique, il compte sur la justice de son pays pour dire le droit. En tant qu’homme public et de surcroît député, alors qu’il devrait donner l’exemple, voilà comment se comporte l’honorable Kindjahoundé  sous prétexte qu’il est intouchable sous le changement. Ce qui fait qu’on se demande s’il faut réellement le désigner par le terme honorable. Dans ce dossier, force doit rester à la loi car nous sommes dans un pays de droit. Affaire à suivre…

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A chacun sa force de frappe !

   A défaut de pirate, un pêcheur peut faire l'affaire !

 

Pourquoi chercher loin quand il y a à côté ? dit-on. C’est cette politique que les garde-côtes béninois ont pratiqué vendredi 11 novembre dernier. A défaut de s’en prendre aux pirates qui ne cessent de les narguer puisqu’on est à peu près 20 actes de piraterie, ils ont mesuré leur adresse de tir sur deux pêcheurs béninois dont l’un a rendu l’âme du fait des balles reçues. Voilà comment notre Marine se prépare pour parer aux pirates dont ils ne voient jamais la poussière. Drôle de d’entrainement !