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  • Akkilou
  • La vie, c'est la positivité, l'espoir en un monde plus meilleur. Bref, un autre monde est possible comme on le dit.
De plus, il faut être fier d'être ce qu'on est et de ce qu'on a.
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« Si quelqu’un t’a offensé, ne cherche pas à te venger. Assieds-toi au bord de la rivière et bientôt tu verras passer son cadavre »

 

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Ebola : la recette béninoise !


Aux grands maux, les grands remèdes, dit-on. Annoncé comme une maladie qui n’a pas de remède comme le VIH/Sida, le virus Ebola créé toujours la psychose au sein des populations. Mais découragement n’est pas béninois car des Béninois semblent avoir trouvé une recette. En effet, des rumeurs circulent sur une soi-disant recette à base de sel et d’oignon. Est-ce pour se prémunir ou pour en guérir ? Bien malin qui peut nous dire si cela est faux ou pas. En tout cas, avec ces populations désemparées, le ministre de la santé a quand même du pain sur la planche…

9 décembre 2009 3 09 /12 /décembre /2009 07:06

Yorou N'GOBI

« C’est de la bouche du trompettiste que le son de la trompette est agréable à entendre », dit un proverbe baatonu. Autrement dit, s’il faut parler de la bonne qualité des machines acquises par le Ppmh dans le cadre de la relance de l’agriculture, ce sont les producteurs qui sont bien placés pour attester que ces machines sont appropriées pour le sol béninois ou pas au lieu que ça soit les hommes politiques qui soient en train d’en faire leur chou gras. C’est ce qu’ont compris les producteurs bénéficiant de ces machines en décidant de sortir au grand jour afin de couper court aux fausses rumeurs qui circulent. D’abord pour eux, le gouvernement a pris une bonne décision en choisissant de révolutionner l’agriculture béninoise à un moment où tout espoir était perdu et qu’il fallait se retourner vers les autres de la sous-région pour s’approprier en produits vivriers. Ensuite, les producteurs béninois se disent mécontents des politiques puisque, s’ils étaient allés sur le terrain, disent-ils, il n’y aurait pas ce faux débat et ce faux procès qu’on est en train de faire au gouvernement de Boni Yayi à travers le Ppma dirigé par André Biaou Okounlola. Pour eux, les machines agricoles leur ont permis de réaliser des prouesses sans égales. Prouesses qui se résument à des hectares de terres emblavées et surtout des quantités énormes de produits vivriers obtenues : mais, sorgho et autres produits de ventes comme le coton. L’exemple du producteur du Borgou en est la preuve palpable. Il a pu grâce à la machine à lui livrée cultiver 52 hectares de champs de maïs et, affirme-t-il, il aurait pu faire plus s’il avait plus de machines. C’est pourquoi Issifou Amadou et l’union des gros producteurs des départements du Borgou et de l’Alibori défendent tout le bien que leur procure cette initiative du gouvernement. Ils pensent qu’à l’allure où vont les choses, le gouvernement peut être satisfait d’avoir initié une telle entreprise cruciale pour le développement du Bénin car les problèmes de subsistance ne feront que partie du passé. Quant aux machines agricoles, le fait que ça soit auprès des sociétés locales que le gouvernement les a achetées, a été salué par tous les producteurs. Et pour cause, le contrat d’acquisition des machines agricoles leur assure plus de garanties car ils ont à leur disposition des interlocuteurs locaux auprès de qui ils peuvent se rabattre en cas de problèmes. Dans un premier, les échanges seront faciles et dans un second temps, le contrat fait gagner des devises au pays car si c’était des étrangers, cela n’aurait pas été le cas. Si les interlocuteurs étaient étrangers tels que des Sud-africains, le temps de répondre aux doléances ou préoccupations auraient été si parce que préoccupés à se faire de l’argent par la verve de la Coupe du monde de football que leur pays organise. Voilà autant de choses que les producteurs ont tenu à faire comprendre aux Béninois afin que cesse le débat car on ne saurait empêcher à 100% une machine de tomber en panne. Même le corps humain prend aussi des coups malgré toutes nos précautions en matière de préservation de notre santé.

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A chacun sa force de frappe !

   A défaut de pirate, un pêcheur peut faire l'affaire !

 

Pourquoi chercher loin quand il y a à côté ? dit-on. C’est cette politique que les garde-côtes béninois ont pratiqué vendredi 11 novembre dernier. A défaut de s’en prendre aux pirates qui ne cessent de les narguer puisqu’on est à peu près 20 actes de piraterie, ils ont mesuré leur adresse de tir sur deux pêcheurs béninois dont l’un a rendu l’âme du fait des balles reçues. Voilà comment notre Marine se prépare pour parer aux pirates dont ils ne voient jamais la poussière. Drôle de d’entrainement !