Croquons un peu de l'actualité de ces derniers jours avec un tour d'horizon de trois faits marquants de la semaine qui s'achève.
La Toboulance en action !
Tant pis pour les jaloux, moi j’évolue, toboule et ceux qui ne vont pas suivre le mouvement, je vais les tirer maaaaaaaal. Et ça ce n’est que de la toboulance. Après leur petit gbangban épistolaire, Toboula et Léhady qui se regardaient en chiens de faïence, ont semblé déposer leurs armes pour se donner à nouveau la main. La main pour une séance de balayage. Mais jusqu’à quand puisqu’on ne voit pas ce que cache les mains libres ? En politique, rien n’est définitif car tout n’est que show politique. En tout cas, on verra celui qui va déclencher en premier les hostilités même si ça ne cesse de tobouler à tout moment et partout !
Année blanche flash et étus éh !
Qui cherche trouve ! A force de se croire malin que les autres, on finit par se faire prendre à son propre jeu. Après leurs différents shows sur le campus d’Abomey-Calavi, les étudiants de la Faculté des lettres, art et sciences humaines (Flash) sont face à leur destin. Une Année blanche Flash comme si c’était le flash d’une photo. Autrement, tous les étus de la Flash redoublent leur classe aussi facilement que le flash d’un appareil photo. Rapido, simple, sans bavure. Le recteur Brice leur demande de revenir l’année prochaine car c’en est fini pour cette année académique 2015-2016. A vouloir trop tirer le diable par la queue, il finit par vous péter dessus. Ainsi, va cette cruelle réalité de la vie. Aux étus de gérer maintenant !
Chop des 10 radiés est cadavré
Un jour pour le propriétaire ! Quand tu veux fuir la galère injustement, elle te rattrape et te sagba grave même. Aujourd’hui, les 10 radiés annoncés lors du conseil des ministres pour faux diplômes doivent être en train de se morfondre et de gémir dans leur bulle comme un escargot dans sa coquille : « Oh galère, pourquoi ? Pourquoi ? On te fuit mais tu ne veux pas nous lâcher. Tu es collante comme Super Glue. On te dit va là-bas mais tu t’entêtes à nous rendre la vie infernale. Petit jeu qu’on a voulu faire avec l’État-là, cette grosse vache à lait, et voilà toi, tu as pris ça au sérieux. Nous voilà jetés en pâture sur lesquels les petits voire morveux trouvent à dire. » C’est difficile dèh de se dire que douceur de l’Etat est terminée, simplement comme cela.