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  • Akkilou
  • La vie, c'est la positivité, l'espoir en un monde plus meilleur. Bref, un autre monde est possible comme on le dit.
De plus, il faut être fier d'être ce qu'on est et de ce qu'on a.
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Grain de sel

« Si quelqu’un t’a offensé, ne cherche pas à te venger. Assieds-toi au bord de la rivière et bientôt tu verras passer son cadavre »

 

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Ebola : la recette béninoise !


Aux grands maux, les grands remèdes, dit-on. Annoncé comme une maladie qui n’a pas de remède comme le VIH/Sida, le virus Ebola créé toujours la psychose au sein des populations. Mais découragement n’est pas béninois car des Béninois semblent avoir trouvé une recette. En effet, des rumeurs circulent sur une soi-disant recette à base de sel et d’oignon. Est-ce pour se prémunir ou pour en guérir ? Bien malin qui peut nous dire si cela est faux ou pas. En tout cas, avec ces populations désemparées, le ministre de la santé a quand même du pain sur la planche…

15 avril 2009 3 15 /04 /avril /2009 07:07

(Il n’y aura pas de remaniement avant décembre prochain)

 

Ceux qui rêvaient d’une entrée au prochain gouvernement de Boni Yayi,  peuvent enfin se calmer, économiser leur énergie et leurs prières pour la fin de l’année. Boni Yayi s’est finalement libéré du joug des pressions tous azimuts  qui visaient à lui faire courir gratuitement et inutilement le risque d’un remaniement ministériel à une période politique aussi délicate et assez mouvementée que celle que nous traversons. Même la soi-disant injonction de la Banque mondiale peut attendre et bien encore. Le docteur Boni Yayi, à 02 ans de mars 2011, est à un carrefour qui ne pardonne pas les erreurs. Remanier une équipe gouvernementale avec tout ce que cela comporte comme effets collatéraux, est de loin la carte sur laquelle le  chef de l’Etat doit miser ses chances alors qu’on attend de lui qu’il vide son réservoir  de son contenu de gas-oil pour y mettre de l’essence super aux fins d’atteindre sa vitesse de croisière. Les chantiers économique et infrastructurel étant lancés, Boni Yayi doit miser sur sa vitesse de sprinter pour donner plus de tonus à son bilan en 2011. Changer ou déplacer un Nicaise Fagnon à la direction des routes ne fera que porter  un coup de frein à l’élan entamé. Même cliché pour François Abiola qui s’est illustré dans sa capacité à régler sans grands bruits les problèmes centenaires de l’étudiant béninois. A quoi bon changer ou muter Joseph Ahanhanzo qui s’est déjà lancé telle une guillotine volante à décapiter le monstre de la paresse, des pertes inutiles de temps dans l’administration béninoise dans un contexte où Boni Yayi entame le virage décisif pour sa réélection sur présentation d’un bilan  élogieux du moment où le bilan politique est boiteux, malade et chauve ? A quelle logique stratégique répondrait le départ de la gestion des caisses de l’Etat de Soulé Mana Lawani, le loyal serviteur du révolutionnaire Boni Yayi sur le plan économique et social ? C’est pour ces raisons on ne peut plus évidentes que Boni Yayi, après une retraite, a décidé de ranger au placard les centaines de CV et autres propositions à lui faites dans le cadre d’un éventuel remaniement ministériel. Une recette que le prince du Changement a certainement tirée dans le ‘’Kérékouïsme’’, entendez,  l’art de gérer le Bénin pour traverser avec brio tous les mouvements électoraux.

 

Aboubakar TAKOU

(Le Béninois Libéré, 15/04/2009)

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A chacun sa force de frappe !

   A défaut de pirate, un pêcheur peut faire l'affaire !

 

Pourquoi chercher loin quand il y a à côté ? dit-on. C’est cette politique que les garde-côtes béninois ont pratiqué vendredi 11 novembre dernier. A défaut de s’en prendre aux pirates qui ne cessent de les narguer puisqu’on est à peu près 20 actes de piraterie, ils ont mesuré leur adresse de tir sur deux pêcheurs béninois dont l’un a rendu l’âme du fait des balles reçues. Voilà comment notre Marine se prépare pour parer aux pirates dont ils ne voient jamais la poussière. Drôle de d’entrainement !