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  • Akkilou
  • La vie, c'est la positivité, l'espoir en un monde plus meilleur. Bref, un autre monde est possible comme on le dit.
De plus, il faut être fier d'être ce qu'on est et de ce qu'on a.
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« Si quelqu’un t’a offensé, ne cherche pas à te venger. Assieds-toi au bord de la rivière et bientôt tu verras passer son cadavre »

 

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Ebola : la recette béninoise !


Aux grands maux, les grands remèdes, dit-on. Annoncé comme une maladie qui n’a pas de remède comme le VIH/Sida, le virus Ebola créé toujours la psychose au sein des populations. Mais découragement n’est pas béninois car des Béninois semblent avoir trouvé une recette. En effet, des rumeurs circulent sur une soi-disant recette à base de sel et d’oignon. Est-ce pour se prémunir ou pour en guérir ? Bien malin qui peut nous dire si cela est faux ou pas. En tout cas, avec ces populations désemparées, le ministre de la santé a quand même du pain sur la planche…

30 juin 2009 2 30 /06 /juin /2009 06:43

Comme le dit l'adage « Qui avale un œuf, avalera un bœuf» mais cette fois ci, le butin est très gros et veut gêner la gorge. BAH-AGBA Boubacar alias Abou-Ayoka, donne l’insomnie à la paisible population de Parakou et ses environs pour multiples raisons

 

La réalité des faits

 

Par acte sous seing privé en date du 16 Avril 1986, Monsieur BAH-AG BA Boubacar a proposé la vente d'une parcelle sise au quartier Zongo II au lot 544, Parcelle K Zone 10 Parakou à Monsieur Yacoubou. Etant attendu que le vendeur BAH-AGBA Boubacar avait acquis le terrain auprès du sieur MOUMOUNI Marna cultivateur à Yara-Kinnin, que la mutation des titres de propriété n'ayant pas été encore faite entre eux, BAH-AGBA Boubacar a demandé à son vendeur d'établir directement la convention de vente au profit de son client Monsieur Yacoubou dont il devient le premier témoin du vendeur MOUMOUNI Marna. Et cette convention a été bel et bien signée par Monsieur BAH-AGBA avec n° 324/86 du 16 Avril 1986 suivant sa carte d'identité n° 0501377 Parakou du 09 Janvier 1979 en qualité de commerçant né en 1955 fils de BAH-AGBA Idrissou et de MOUSTAFA Amoussatou. Ce que révèle le registre de la Circonscription Urbaine de Parakou. Ainsi toutes les formalités ayant été remplies avec légalisation à la circonscription Urbaine de Parakou (CUP), le nouveau propriétaire a demandé et obtenu le nouveau permis n° 5/245/SG/SAGD du 20 mai 1986 contre l'ancien permis n° 5/180/SG/SAGD du 27 Janvier 1986. Curieusement le vendeur BAH-AGBA Boubacar a été millionnaire grâce à la Loterie Nationale du Bénin (LNB). Ne pouvant plus vivre en famille pour des raisons qui lui sont propres, il se retira et alla s'installer tranquillement dans cette maison à l'insu du nouveau propriétaire légalement reconnu qui lui, pour des raisons de profession vit à Cotonou. BAH-AGBA Boubacar de mauvaise foi, après plusieurs investissements des lieux par l’acheteur, Bah-Agba se met à le troubler prétextant n’avoir jamais vendu son terrain mais plutôt l’avait mis en gage contre un  prêt. Informé, le nouveau propriétaire est allé constater Ies faits. Déjà à l'entrée de la maison, l'usurpateur comme pour dire que le Bénin est devenu la cour du roi Pétaud, a écrit sur le mur: On s'en fout, alias Testicule"

Le nouveau propriétaire portera cela à la connaissance du président du Tribunal de Première Instance de Parakou le 21 Février 1992 par une lettre de requête n° 017/92 reçue par le Président sur le n° 171 / PTP A du 21 Février 1992. Bref du 26 mars 1992 au 02 .Décembre 1993, l'affaire a connu 12 audiences au Tribunal de Première Instance de Parakou. Au lieu de six témoins à la vente, plus de douze témoins à la barre ont reconnu la propriété légitime de l'acheteur sauf BAH­ AGBA Boubacar qui n'a pas cru reconnaître sa signature. Une commission d'enquête a été dépêchée par le procureur près le Tribunal de Première Instance de Parakou présidée par la brigade territoriale de gendarmerie de Parakou pour vérifier les faits à la Circonscription Urbaine de Parakou. Cette commission a été dirigée par l'Adjudant Chef Chablis Eugène commandant de ladite brigade. Dressant un P. V n° 178 du 1er Septembre 1993 confirmant l'authenticité de tous les documents relatifs à la vente, le tribunal a fini par condamner BAH-AGBA Boubacar pour avoir troublé la quiétude de son client et ordonne par jugement n° 144/93 du 02 décembre 1993 son déguerpissement immédiat et  payé dommages-intérêts de Deux Cents Mille (200.000) Francs CFA par le Tribunal de première Instance de Parakou d'une part et Cinq Cents Mille (500.000) Francs CFA par l'avocat du demandeur maître J. Gatien ZANOUVI. Mais comme pour narguer la justice, l'accusé a contesté le verdict et a refusé de se plier à la décision de justice et fait un appel. Pendant deux (02) ans le dossier fut bloqué au Tribunal de Première Instance de Parakou. Le Ministre de la Justice d’alors a été saisi par une lettre de requête N°053/94 du 04-07-94 et a donné l'ordre par la lettre n° 0797/MJL/DC/DACP-321 du 20 Septembre 1994 pour demander le transfert du dossier à la cour d'Appel de Cotonou.

Finalement c'est en 1996 que ledit dossier a pu arriver à Cotonou mais malheureusement de 1996 à 1999, le dossier a connu plus de 14 audiences auxquelles l'accusé ne s'est jamais présenté pour moindre preuve. En sept (07) ans pour un même dossier, le plaignant s'est présenté plus de 26 fois à la barre et toutes les fois l'accusé lui, a toujours opté pour la politique de la chaise vide. Le président de la République Chef de l'Etat, le général Mathieu KEREKOU a été saisi par une lettre de requête réf.: 056/ES/OG/2002 du 22 Novembre 2002 et a tapé du poing sur la table et ordonne au ministre de la justice de finir avec le bordel car trop c'est trop reçu par le ministre sur le N° C785/MJLDH/DC/SG/DACP/300 du 24 Février 2002. Aujourd'hui on apprend même qu'on n'a plus trace du dossier dans les placards du greffe de la cour d'Appel, ne voulant pas entendre d'oreille cela, le plaignant a saisi le président de la cour d'Appel pour reconstituer le dossier de plus de 100 pages par une lettre de requête Réf: n° 49/ES/OG/2007 du 03 Mars 2007 sur le n° 0273/CP A, ordonne au greffe de la cour d'Appel par la fiche N° 029/GCA du 08 Mars 2007, malheureusement toutes les recherches sont vaines. Quant à Monsieur BAH-AGBA Boubacar il dit avoir acheté le dossier au greffe de la cour d'Appel de Cotonou et s'est approprié du registre de dépôt des signatures à la circonscription Urbaine de Parakou dans lequel on trouve les traces de sa signature; quant au greffe du tribunal de première instance de Parakou, aucune trace ne se trouvera sur ce dossier il dit ne pas comprendre par quelle preuve les journalistes s'acharnent et s'agitent contre lui.

       Or le réseau des journalistes affirment leur détermination et convient à

Monsieur BAH-AGBA Boubacar qui lui est facile de ramasser toutes les eaux de l'océan Atlantique que de finir ces dossiers.

 

Comme si cela ne suffisait pas BAH-AGBA Boubacar, encore devenu millionnaire grâce à l'affaire du 24 Mars 1991, qu'il vous souvienne que BAH-AGBA Boubacar a été condamné le 24 Mars 1993 à 60 mois de prison (5 ans) qui lui a été payé par l'Etat Béninois, se met à ériger d'autres infrastructures (boutique, bureau ...) sur la maison. Et chaque année, le service des impôts de la ville de Parakou envoie régulièrement les impôts au nom du propriétaire légitime, le montant impayé au 23 Septembre 2002 était déjà de Quatre Cents Quarante Mille Trois Cents Quatre Vingt Deux (440.382) Francs CFA. Ces avis des impôts qui ne lui servent que des papiers de toilette. Aux dernières nouvelles, le dossier serait en transfert pour la cour d'appel de Parakou qui se chargera désormais de le vider.

Par ailleurs, l'avocat du propriétaire légitime réclame que le mis en cause rembourse en plus des frais de dommages-intérêts qui s'élèvent à Quatre Millions Deux Cents Mille (4.200.000) Francs CFA pour avoir utilisé à des fins propres les matériaux de construction que le propriétaire avait entreposé sur la parcelle et pour avoir démoli une partie des constructions qui se trouvaient sur la dite parcelle. En autre le loyer de ladite maison de 1990 jusqu’aux fins des audiences. Vu la situation, on est-en droit .de penser qu'une main puissante tapie dans l’ombre manipule les choses. De quelle main s’agit-il ? Politique,  financière ou même occulte ?

D'ailleurs c'est la conclusion que tous ceux qui ont connaissance du dossier, ont fini par tirer. Certains confrères en ont fait échos dans leurs  journaux tels que: " Tam-Tam Express" de Denis HODONOU qui a titré : vol de maison à Parakou Monsieur X réclame justice avec photos à l'appui. " l'œil du peuple" de Célestin ABISSI est lui revenu lui aussi sur le même dossier avec pour titre: escroquerie domaniale à Parakou à  quand la fin du calvaire de Monsieur X. Plus tard du même journal: vol de maison à Parakou le juge Cyprien Bôko a jugé juste BAH-AGBA Boubacar le fausseur condamné. Pour le journal" Le piment" de Boniface ANATÔ : vol de maison à Parakou: BAH-AGBA Boubacar se fou de la justice.

       Pour la " Canard du Nord" de Frédéric ALLOKPON: fait de société scandaleux conflits autour d'une maison volée depuis vingt ans à Parakou.

Pour le même affaire il n’y a pas longtemps votre quotidien parlant de ce vol de maison -à Parakou titrait que le  ministre Victor Topanou doit faire respecter la justice, car le ministre Topanou pour répondre à l'expiration du peuple a instruit à sa troupe: tout juge qui reçoit un dossier doit le vider dans les 90 jours et les dossiers qui ont plus de 5 ans d'âges doivent être vidés avant la fin de ce mandat de Docteur YAYI Boni, or il y a des dossiers avant la révolution du 26 Octobre 1972 qui ne sont ni vidés ni radiés et passent les temps à autres dans nos juridictions. Pour Victor TOPANOU la juridiction Béninoise d'aujourd'hui égorge du personnel en quantité et en qualité, le matériel du travail en quantité et en qualité également.


Constant GBOWELE

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commentaires

A chacun sa force de frappe !

   A défaut de pirate, un pêcheur peut faire l'affaire !

 

Pourquoi chercher loin quand il y a à côté ? dit-on. C’est cette politique que les garde-côtes béninois ont pratiqué vendredi 11 novembre dernier. A défaut de s’en prendre aux pirates qui ne cessent de les narguer puisqu’on est à peu près 20 actes de piraterie, ils ont mesuré leur adresse de tir sur deux pêcheurs béninois dont l’un a rendu l’âme du fait des balles reçues. Voilà comment notre Marine se prépare pour parer aux pirates dont ils ne voient jamais la poussière. Drôle de d’entrainement !