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  • Akkilou
  • La vie, c'est la positivité, l'espoir en un monde plus meilleur. Bref, un autre monde est possible comme on le dit.
De plus, il faut être fier d'être ce qu'on est et de ce qu'on a.
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« Si quelqu’un t’a offensé, ne cherche pas à te venger. Assieds-toi au bord de la rivière et bientôt tu verras passer son cadavre »

 

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Ainsi va le monde !!!

 

Ebola : la recette béninoise !


Aux grands maux, les grands remèdes, dit-on. Annoncé comme une maladie qui n’a pas de remède comme le VIH/Sida, le virus Ebola créé toujours la psychose au sein des populations. Mais découragement n’est pas béninois car des Béninois semblent avoir trouvé une recette. En effet, des rumeurs circulent sur une soi-disant recette à base de sel et d’oignon. Est-ce pour se prémunir ou pour en guérir ? Bien malin qui peut nous dire si cela est faux ou pas. En tout cas, avec ces populations désemparées, le ministre de la santé a quand même du pain sur la planche…

21 juillet 2009 2 21 /07 /juillet /2009 07:49

Dire aujourd’hui que Bénin Télécoms Sa va mal, n’est un secret pour aucun Béninois.  Et la seule issue possible pour arrêter la saignée est la privatisation de la société par le gouvernement. Et pour cause, plus de 161 milliards de Fcfa de dettes criblent à l’heure actuelle Bénin Télécoms. Alors, dans ces conditions comment obtenir de cette structure étatique des recettes pour qu’elle soit  source d’entrée d’argent pour le contribuable béninois ? En fait, tout est fait dans le but de l’amener à bien fonctionner et ce grâce à son Dg Patrick Bénon qui essaie toujours de mettre ses compétences au service de la structure dont il a la charge la gestion afin que celle-ci puisse aller de l’avant. Mais comme l’Albatros de Baudelaire, ses grandes ailles l’empêchent de bien voler. Seul un appui du gouvernement peut éviter que la société soit totalement kaput. Privatiser Bénin Télécoms est la solution sine qua non pour que l’Etat puisse arriver dans les années à faire des économies et non continuer à attendre en vain une main salvatrice qui se fait toujours attendre à l’horizon.  Il urge que les autorités sachent que c’est quand ça ne va pas qu’on cherche à vendre l’objet à problèmes afin de limiter les dégâts. Cependant,  il se fait que la situation actuelle de Bénin Télécoms Sa n’est pas reluisante  pour attirer les investisseurs, ce qui fait que le besoin veut que le gouvernement consente un dernier effort ne serait-ce que pour avoir quelque chose de consistant avec la privatisation de ladite société. Personne n’accepte acheter un poulet malade, fut-il riche ou altruiste. Il suffit de remarquer qu’aucun investisseur ne veut miser dans le croque-mort Bénin Télécoms de peur de voir toute sa fortune disparaître, pour en comprendre la justesse des sous qu’on doit mettre dans la société pour l’enjoliver.  Les chiffres suivants en disent long sur la nécessité du déblocage de ces fonds. 161 032 925 584 Fcfa, c’est la somme actuelle des dettes de Bénin Télécoms contre 9 090 049 702 Fcfa, au 31 décembre 2008 dans son compte de trésorerie. En 2006, le compte de trésorerie était de 3 591 422 453 Fcfa pour une dette de 170 024 144 695 Fcfa.  On comprend donc que cette société est réellement endettée jusqu’au cou malgré le  professionnalisme et le savoir-faire dont fait montre l’équipe de Patrick Bénon en misant sur le mécanisme de recouvrement des dettes pour améliorer la situation de cette société  a été très efficace. Avec plus la confiance en ce Dg, c’est le Bénin qui gagnerait si le gouvernement se décide à mettre de sous pour relever la société. C’est par cet acte que Bénin Télécoms peut commencer par investir, susciter et attirer l’appétit vorace des investisseurs, des acquéreurs et autres actionnaires, tels des charognards à l’affût du moindre croque-mort.

 

Jerry AZANHOUAN

(LBL, 21/07/2009)

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A chacun sa force de frappe !

   A défaut de pirate, un pêcheur peut faire l'affaire !

 

Pourquoi chercher loin quand il y a à côté ? dit-on. C’est cette politique que les garde-côtes béninois ont pratiqué vendredi 11 novembre dernier. A défaut de s’en prendre aux pirates qui ne cessent de les narguer puisqu’on est à peu près 20 actes de piraterie, ils ont mesuré leur adresse de tir sur deux pêcheurs béninois dont l’un a rendu l’âme du fait des balles reçues. Voilà comment notre Marine se prépare pour parer aux pirates dont ils ne voient jamais la poussière. Drôle de d’entrainement !