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  • Akkilou
  • La vie, c'est la positivité, l'espoir en un monde plus meilleur. Bref, un autre monde est possible comme on le dit.
De plus, il faut être fier d'être ce qu'on est et de ce qu'on a.
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Grain de sel

« Si quelqu’un t’a offensé, ne cherche pas à te venger. Assieds-toi au bord de la rivière et bientôt tu verras passer son cadavre »

 

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Ainsi va le monde !!!

 

Ebola : la recette béninoise !


Aux grands maux, les grands remèdes, dit-on. Annoncé comme une maladie qui n’a pas de remède comme le VIH/Sida, le virus Ebola créé toujours la psychose au sein des populations. Mais découragement n’est pas béninois car des Béninois semblent avoir trouvé une recette. En effet, des rumeurs circulent sur une soi-disant recette à base de sel et d’oignon. Est-ce pour se prémunir ou pour en guérir ? Bien malin qui peut nous dire si cela est faux ou pas. En tout cas, avec ces populations désemparées, le ministre de la santé a quand même du pain sur la planche…

21 juillet 2009 2 21 /07 /juillet /2009 07:58

(Ils menacent de marcher même si le gouvernement sortait des chars)

 

Pour une énième fois dans l’histoire du Changement au Bénin, le gouvernement du docteur Boni Yayi à travers son ministre de l’intérieur et de la sécurité publique vient de mettre pied dans la fourmilière des centrales et organisations syndicales. La marche de protestation  contre les scandales de la Cen-Sad  annoncée  n’aura pas lieu. Tout comme les femmes Nep-Mixalodo qui ont été interdite de marcher le week-end écoulé, le gouvernement du docteur Boni Yayi à travers son ministre de l’intérieur et de la sécurité publique a interdit tard dans la nuit d’hier la marche des centrales syndicales. Raison évoquée c’est que Dieudonné Lokossou, Gaston Azoua et tous les autres syndicalistes n’auraient pris aucune disposition au niveau de la préfecture ni au niveau  de la mairie de Cotonou avant de projeter une telle marche. L’événement prévu pour se tenir ce jour n’aura donc pas lieu selon le gouvernement mais Dieudonné Lokossou, Gaston Azoua et les autres  ne l’entendent pas de cette oreille. C’est pourquoi, ils ont décidé d’affronter  tout l’arsenal militaire qui sera déployé sur le terrain ce jour. En mission commandée par  celui dont la gestion du pays sera critiquée à travers cette marche, le préfet  veut ainsi réduire Dieudonné Lokossou, Gaston Azoua  et tous les autres syndicalistes au silence.  Mais pour qui connaît les moyens mis en œuvre par les centrales syndicales pour réussir leur topo et vu la rage  avec laquelle ils s’apprêtent à descendre dans les rues, il y a fort à parier que le ministre Armand Zinzindohoué en acceptant signer une telle décision  cherche des poux sur le crâne de Gaston Azoua qui lors de la conférence de presse de la Fésyntra-finance a invité les populations à sortir nombreuses pour les soutenir ce jour. Mais faut-il le souligner, interdire une marche de protestation aux syndicalistes n’est que le signe précurseur d’une dictature qui ne dit pas son nom. Toutefois en agissant ainsi c’est en rajouter  la dose de colère qui bouillonne dans le cœur des syndicalistes et à la frustration des populations qui ne se retrouvent plus dans le Changement tel que c’est conduit actuellement par les nouveaux princes. Aux dernières nouvelles, l’on apprend que Gaston Azoua, Dieudonné Lokossou et leurs collègues très surpris de l’attitude du gouvernement se préparent activement à se faire entendre à travers d’autres moyens mais en attendant, une conférence de presse aurait été prévue pour annoncer les couleurs. Quoi qu’on dise, les syndicalistes n’entendent pas baisser les bras, ils tiennent toujours à leur marche. Connaissant l’engagement et la détermination des syndicalistes à obtenir ce qu’ils veulent, ils savent toujours se donner les moyens pour y parvenir. C’est dire qu’à partir de ce jour, le bras de fer Yayi-Syndicalistes nous réserve de belles empoignades. Affaire à suivre…

 

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A chacun sa force de frappe !

   A défaut de pirate, un pêcheur peut faire l'affaire !

 

Pourquoi chercher loin quand il y a à côté ? dit-on. C’est cette politique que les garde-côtes béninois ont pratiqué vendredi 11 novembre dernier. A défaut de s’en prendre aux pirates qui ne cessent de les narguer puisqu’on est à peu près 20 actes de piraterie, ils ont mesuré leur adresse de tir sur deux pêcheurs béninois dont l’un a rendu l’âme du fait des balles reçues. Voilà comment notre Marine se prépare pour parer aux pirates dont ils ne voient jamais la poussière. Drôle de d’entrainement !