Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Profil

  • Akkilou
  • La vie, c'est la positivité, l'espoir en un monde plus meilleur. Bref, un autre monde est possible comme on le dit.
De plus, il faut être fier d'être ce qu'on est et de ce qu'on a.
  • La vie, c'est la positivité, l'espoir en un monde plus meilleur. Bref, un autre monde est possible comme on le dit. De plus, il faut être fier d'être ce qu'on est et de ce qu'on a.

Grain de sel

« Si quelqu’un t’a offensé, ne cherche pas à te venger. Assieds-toi au bord de la rivière et bientôt tu verras passer son cadavre »

 

Lao-tseu

Rechercher

Savoir plus

Nous sommes tous...     


Le Béninois Libéré

Le journal du peuple

Le Bénin en Lumière

Archives

Ainsi va le monde !!!

 

Ebola : la recette béninoise !


Aux grands maux, les grands remèdes, dit-on. Annoncé comme une maladie qui n’a pas de remède comme le VIH/Sida, le virus Ebola créé toujours la psychose au sein des populations. Mais découragement n’est pas béninois car des Béninois semblent avoir trouvé une recette. En effet, des rumeurs circulent sur une soi-disant recette à base de sel et d’oignon. Est-ce pour se prémunir ou pour en guérir ? Bien malin qui peut nous dire si cela est faux ou pas. En tout cas, avec ces populations désemparées, le ministre de la santé a quand même du pain sur la planche…

29 novembre 2010 1 29 /11 /novembre /2010 04:32

 (On a désormais une idée de ce qui reste à Yayi dans cette partie du pays)

L.Y

Il faut être à  Djougou ce week-end pour comprendre qu’il ne reste plus rien à Boni Yayi dans les départements du Borgou et de l’Alibori. Car, il a suffit que les populations des deux départements de la partie septentrionale du pays voient seulement à la télévision l’annonce de l’anniversaire du feu Moussa Bio Tchané, père de l’actuel homme fort de la Boad pour qu’elles se rendent en masse samedi dernier à Djougou pour la grande cérémonie de prière organisée en mémoire de disparu. En d’autres termes, à part les enfants et quelques vieillards, presque toute la population a fait le déplacement. Unies derrières le président Georges Sacca, le président des jeunes Ahmed Touré, le ministre Arouna Boubakar ou la direction des responsables du Rdi, ces populations ont laissé leurs différentes occupations pour témoigner à Abt leur engagement à soutenir la cause de sa candidature. Ainsi, ceux qui n’ont pas eu les moyens pour voyager dans de bonnes conditions, n’ont trouvé aucune gêne à rallier la cité des Kpétoni à moto. Il en est de même pour les populations venues des autres localités des deux départements. Même celles de Ségbana n’ont pas voulu se faire raconter l’histoire de ces retrouvailles à Djougou. Malgré l’état très dégradé de leur voie et la distance qui sépare les deux contrées, elles ont fait partie des tout premières délégations à honorer de leur présence cette messe. Tellement la mobilisation des autres communes était si forte qu’ajouté aux militants et sympathisants Abt de la localité que la ville de Djougou était devenue très petite pour contenir le monde.  A des kilomètres de la mosquée centrale de la ville retenue pour la prière et la résidence du président Bio Tchané, on y voyait du monde à perte de vue. Même quelques marcheurs mobilisés par les princes du Changement pour faire de la diversion ont fini par rejoindre le groupe à la simple vue du véhicule de Abt en affirmant haut et fort qu’il n’y a plus rien à faire car le maître des lieux était là. Des commentaires, on en a eu droit de tout genre. Pour certains, il serait une erreur de laisser un Bio et confier la maison à nouveau à un Boni qui, dans l’ordre normal de la tradition, est le petit-frère Yayi. Pour d’autres plus sérieux, Bio Tchané à toutes les qualités pour gérer ce pays mieux que quiconque. Il faut aussi ajouter que le dimanche matin, le président Abdoulaye Bio Tchané a assisté aux côtés de ses frères chrétiens à la messe de 7 heures 30 dont l’homélie à juste titre, a porté sur la question du régionalisme. Les festivités commémorant les 30 ans d’anniversaires de décès du père de celui que certains appellent déjà affectueusement l’homme prodige du Bénin ne sont pas prêtes d’être oubliées de sitôt par les populations des départements du Borgou et de l’Alibori. 

Partager cet article
Repost0

commentaires

A chacun sa force de frappe !

   A défaut de pirate, un pêcheur peut faire l'affaire !

 

Pourquoi chercher loin quand il y a à côté ? dit-on. C’est cette politique que les garde-côtes béninois ont pratiqué vendredi 11 novembre dernier. A défaut de s’en prendre aux pirates qui ne cessent de les narguer puisqu’on est à peu près 20 actes de piraterie, ils ont mesuré leur adresse de tir sur deux pêcheurs béninois dont l’un a rendu l’âme du fait des balles reçues. Voilà comment notre Marine se prépare pour parer aux pirates dont ils ne voient jamais la poussière. Drôle de d’entrainement !