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  • Akkilou
  • La vie, c'est la positivité, l'espoir en un monde plus meilleur. Bref, un autre monde est possible comme on le dit.
De plus, il faut être fier d'être ce qu'on est et de ce qu'on a.
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« Si quelqu’un t’a offensé, ne cherche pas à te venger. Assieds-toi au bord de la rivière et bientôt tu verras passer son cadavre »

 

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Ebola : la recette béninoise !


Aux grands maux, les grands remèdes, dit-on. Annoncé comme une maladie qui n’a pas de remède comme le VIH/Sida, le virus Ebola créé toujours la psychose au sein des populations. Mais découragement n’est pas béninois car des Béninois semblent avoir trouvé une recette. En effet, des rumeurs circulent sur une soi-disant recette à base de sel et d’oignon. Est-ce pour se prémunir ou pour en guérir ? Bien malin qui peut nous dire si cela est faux ou pas. En tout cas, avec ces populations désemparées, le ministre de la santé a quand même du pain sur la planche…

6 décembre 2011 2 06 /12 /décembre /2011 08:21

(Cotonou a servi de cadre à une bande à un club d'amis mal élus qui se sont retrouvés pour se féliciter chacun pour sa ''brillante' élection)

 

Une journée de réflexion pour essayer de remettre sur les rails la plus vieille des organisations sous-régionales précédemment moribonde. D’un point de vue purement diplomatique Yayi a réussi son coup. Même si le peuple béninois à l’heure actuelle a mieux à faire qu’assister à un ballet de chefs d’Etat, Il a faim et pense comment remplir son ventre. Yayi est parvenu en moins d’un mois, après le pape Benoit XVI, à faire venir d’autres personnalités au Bénin.   La fête était belle hier, les résolutions aussi creuses que vides ont été adoptées dans le communiqué final et c’est parti pour un autre machin dont l’objet reste flou et  redondant. Voilà donc une organisation qui durant  les 10 ans qu’a duré la crise ivoirienne ne s’est jamais réunie  en tant que première concernée  pour ébaucher  ne serait-ce qu’un début de sortie de crise et qui a donc vu un de ses membres fondateurs,   encore un autre,  se déchirer en lambeau. C’est  encore sous un silence de cimetière que le Président nigérien d’alors confisquait le pouvoir en dépit des institutions et en dépit du bon sens. A cette époque récente, même si individuellement ou dans un groupe quelconque  chacun des membres dudit Conseil de l’Entente s’était retrouvé à jouer les médiateurs, leur entité commune, vivait sa léthargie.  A tel point qu’aujourd’hui, on se demande à quoi bon ressusciter un machin qui n’a jamais vraiment fonctionné  et  dont les membres fondateurs  se voient obligés de redéfinir la mission pour ne pas être redondant dans son objet. A quoi servirait de façon objective le Conseil de l’Entente quand  la Cedeao,  s’est  déjà appropriée toutes les prérogatives. Surtout qu’on sait que la Cedeao, en plus d’avoir  les moyens plus conséquents, et  le nombre pour se faire respecter dans l’exécution, n’est parvenue à rien faire de concret dans ses interventions.  En vérité, si ce n’est pour mettre  en route  un club de présidents, qui pour se justifier  est obligé de redéfinir  l’objet de son association, on se demande à quoi peut servir le Conseil de l’Entente.  En tout cas,  nous sommes des témoins vivants de ce que d’autres organisations régionales ou sous régionales ont eu une efficacité plus  palpable, à l’instar de la Cen-sad à qui nous devons au Bénin un fumeux scandale mais aussi des voies bitumées et des immeubles. A ce propos, même si ce n’est qu’après le coup que Yayi et ses potes ont décidé de remettre leur affaire en route,  on se demande où se cachaient-ils, (tous sauf ADO qui ne savait pas s’il allait occuper la place de Gbagbo ou non), quand les missiles français s’abattaient sur Tripoli pour virer Kadhafi du pouvoir libyen ?  Ils auraient dû aller négocier eux aussi la paix, même si c’est si loin de leur base. Cela nous aurait donné l’impression d’avoir à faire à une organisation ambitieuse. Mais là, avec ce  à quoi  l’on assiste, il n’y a rien à espérer. On peut même parier, connaissant les difficultés habituelles liées à ce genre d’organisation, que ce n’est pas demain la veille du jour où cette association surprendrait quelqu’un. Donc bof, circulez, il n’y a rien à voir.

 


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A chacun sa force de frappe !

   A défaut de pirate, un pêcheur peut faire l'affaire !

 

Pourquoi chercher loin quand il y a à côté ? dit-on. C’est cette politique que les garde-côtes béninois ont pratiqué vendredi 11 novembre dernier. A défaut de s’en prendre aux pirates qui ne cessent de les narguer puisqu’on est à peu près 20 actes de piraterie, ils ont mesuré leur adresse de tir sur deux pêcheurs béninois dont l’un a rendu l’âme du fait des balles reçues. Voilà comment notre Marine se prépare pour parer aux pirates dont ils ne voient jamais la poussière. Drôle de d’entrainement !