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  • Akkilou
  • La vie, c'est la positivité, l'espoir en un monde plus meilleur. Bref, un autre monde est possible comme on le dit.
De plus, il faut être fier d'être ce qu'on est et de ce qu'on a.
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« Si quelqu’un t’a offensé, ne cherche pas à te venger. Assieds-toi au bord de la rivière et bientôt tu verras passer son cadavre »

 

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Ainsi va le monde !!!

 

Ebola : la recette béninoise !


Aux grands maux, les grands remèdes, dit-on. Annoncé comme une maladie qui n’a pas de remède comme le VIH/Sida, le virus Ebola créé toujours la psychose au sein des populations. Mais découragement n’est pas béninois car des Béninois semblent avoir trouvé une recette. En effet, des rumeurs circulent sur une soi-disant recette à base de sel et d’oignon. Est-ce pour se prémunir ou pour en guérir ? Bien malin qui peut nous dire si cela est faux ou pas. En tout cas, avec ces populations désemparées, le ministre de la santé a quand même du pain sur la planche…

2 décembre 2009 3 02 /12 /décembre /2009 05:14

(Les parents grognent et annoncent un vote sanction pour Yayi et son ministre en 2011)

 

Laurent YOVO

 

En dehors des discours politiques, il y a des faits qui démontrent aisément que le Changement prôné par le chef de l’Etat et son gouvernement est encore loin de devenir une réalité dans certaines localités de notre pays. Et pour preuve, un tour dans la commune de Pèrèrè, c’est avec désolation qu’on se rend compte que les parents d’élève de cette localité qui en fait est le fief électoral de l’actuel ministre de l’énergie, sont obligés d’acheter des lampes torches à leurs enfants du secondaire simplement parce que le seul collège de la commune ne dispose pas d’électricité. En effet, il y a un an alors que le très généreux opérateur économique El hadj Sasif, dans sa logique de concilier la politique au développement,  était parti lancer les travaux de construction d’un laboratoire dans ce collège qui depuis sa création ne disposait pas d’un second cycle faute de cette infrastructure. Au cours de cette cérémonie qui a apporté la joie au cœur des parents d’élève de ce collège, certaines personnes visiblement éveillées ont posé le problème de l’électrification des lieux. Comme par coïncidence approché pour savoir les dispositions qui sont en train d’être prises par l’exécutif, le ministre Sacca Lafia qui passait un de ces week-ends chez lui avait affirmé aux hommes de la presse que dans les tout prochains jours le tir sera corrigé parce que, sur instruction du chef de l’Etat, un projet serait en train d’être établi pour régler le problème d’électrification cette localité. Chose curieuse, c’est qu’en ce moment chez lui, il a d’énergie alors que sa maison n’est qu’à quelques mètres du collège. Mais pour curieux que cela puisse paraître jusqu’à la date d’aujourd’hui soit presque un an après cet engagement, le collège d’enseignement général de Pèrèrè baigne toujours dans le noir. Cette année encore, les parents d’élèves se sont vu obligés d’acheter dans les fournitures scolaires, des lampes torches à leurs enfants afin qu’ils puissent illuminer le tableau en vue de permettre aux professeurs de faire leurs cours au-delà de 17 heures. Sans cette disposition, les cours allaient prendre fin avec le coucher du soleil, toute chose qui n’aidera pas les professeurs à terminer leurs programmes et ne manquera pas d’avoir des conséquences sur le niveau des apprenants. Interrogés sur la question, il y a quelques jours, les parents d’élèves n’ont pas manqué de mots pour charger le gouvernement notamment le ministre Sacca Lafia  qui selon eux, n’a fait que démontrer par son comportement, combien le développement de sa localité ne le tient  pas à cœur. D’aucuns sont allés jusqu’à préciser que le mécontentement de Pèrèrè sera manifesté en 2011 avec un vote sanction qui ne dira pas son nom. A en croire ces derniers, ni Sacca  Lafia, ni Boni Yayi ne pourront plus bénéficier de leur confiance comme par le passé.          

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commentaires

A chacun sa force de frappe !

   A défaut de pirate, un pêcheur peut faire l'affaire !

 

Pourquoi chercher loin quand il y a à côté ? dit-on. C’est cette politique que les garde-côtes béninois ont pratiqué vendredi 11 novembre dernier. A défaut de s’en prendre aux pirates qui ne cessent de les narguer puisqu’on est à peu près 20 actes de piraterie, ils ont mesuré leur adresse de tir sur deux pêcheurs béninois dont l’un a rendu l’âme du fait des balles reçues. Voilà comment notre Marine se prépare pour parer aux pirates dont ils ne voient jamais la poussière. Drôle de d’entrainement !