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  • Akkilou
  • La vie, c'est la positivité, l'espoir en un monde plus meilleur. Bref, un autre monde est possible comme on le dit.
De plus, il faut être fier d'être ce qu'on est et de ce qu'on a.
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Grain de sel

« Si quelqu’un t’a offensé, ne cherche pas à te venger. Assieds-toi au bord de la rivière et bientôt tu verras passer son cadavre »

 

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Ainsi va le monde !!!

 

Ebola : la recette béninoise !


Aux grands maux, les grands remèdes, dit-on. Annoncé comme une maladie qui n’a pas de remède comme le VIH/Sida, le virus Ebola créé toujours la psychose au sein des populations. Mais découragement n’est pas béninois car des Béninois semblent avoir trouvé une recette. En effet, des rumeurs circulent sur une soi-disant recette à base de sel et d’oignon. Est-ce pour se prémunir ou pour en guérir ? Bien malin qui peut nous dire si cela est faux ou pas. En tout cas, avec ces populations désemparées, le ministre de la santé a quand même du pain sur la planche…

6 juin 2010 7 06 /06 /juin /2010 18:03

Ça ne va pas dans le monde des enseignants du supérieur. Il reproche à l’Etat, le non respect de l'échéancier proposé pour la prise des actes subséquents au Décret en vue de son effectivité au 1er octobre 2010, la non réactivité des autorités empêchant la poursuite des négociations afin de lever à bonne date les obstacles juridiques et/ou administratifs et autres mises en conformité réglementaire et/ou législative, indispensables à l'effectivité des dispositions du Décret et des Actes subséquents. Quant au rectorat, il lui les faits suivants: l'obstruction ou la résistance à satisfaire les différentes revendications suscitées, reflétant ainsi la persistance de la mauvaise gouvernance de nos universités, la poursuite obstinée d'actes d'abus de pouvoir de tous genres et la persistance de comportements provocateurs. Toutes choses contraires aux règles, pratiques, us et coutumes universitaires. C’est le déplorable constat que fait l’Intersyndicale des enseignants du Supérieur alors qu’avec les résolutions auxquelles il est parvenu avec le gouvernement, on ne devait pas assister à de tels comportements. C’est ce qu’il a tenu à faire savoir hier, jeudi 03 juin 2010, à l’opinion publique nationale et internationale en organisant une rencontre avec les hommes des médias à la salle du conseil de l’Ecole polytechnique d‘Abomey-Calavi (Epac). le thème de cette rencontre est : « la situation des enseignants du Supérieur ». Les membres de l’Intersyndicale des enseignants du Supérieur regroupant le Snes, le Synhub, le Secup et le Synares sont venus nombreux apporter leur soutien à la cause défendue et surtout pour démontrer l’importance du problème qui les a poussés à monter au créneau. Au début de la conférence, c’est le Sg du Snes, Alphonse da Silva, qui s’est exprimé. Il n’est pas allé du dos de la cuillère pour dénoncer la gestion qui est faite des revendications, objet du mouvement de grève qui avait paralysé les universités pendant 3 mois et dont les négociations ont amené les enseignants du supérieur à suspendre en son temps leur mouvement de grève déclenché le 10 novembre 2009 suite à une implication du Conseil économique et social (Ces). Dans son discours, il a dénoncé le fait que les agissements du gouvernement ne soient pas en train de contribuer à une amélioration de la situation des enseignants du supérieur. En d’autres termes, il s’agit, pour lui, d’une remise en cause des bonnes intentions et de la confiance mutuelle plus particulièrement exprimée publiquement par chacune des parties à l'issue des négociations du 9 février 2010 car aujourd’hui, malgré les sacrifices consentis, tout montre qu’on veut les entrainer dans un marché de dupes. De toute façon, l’Intersyndical promet ne pas se laisser faire et compte aller jusqu’au bout pour avoir gain de cause. C’est pourquoi ils prennent à témoin les parents d'étudiants et les étudiants de tout ce qui se passent. Par la même occasion, ils réaffirment, dans la limite du tolérable, leur totale disponibilité à consentir des sacrifices.

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A chacun sa force de frappe !

   A défaut de pirate, un pêcheur peut faire l'affaire !

 

Pourquoi chercher loin quand il y a à côté ? dit-on. C’est cette politique que les garde-côtes béninois ont pratiqué vendredi 11 novembre dernier. A défaut de s’en prendre aux pirates qui ne cessent de les narguer puisqu’on est à peu près 20 actes de piraterie, ils ont mesuré leur adresse de tir sur deux pêcheurs béninois dont l’un a rendu l’âme du fait des balles reçues. Voilà comment notre Marine se prépare pour parer aux pirates dont ils ne voient jamais la poussière. Drôle de d’entrainement !