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  • Akkilou
  • La vie, c'est la positivité, l'espoir en un monde plus meilleur. Bref, un autre monde est possible comme on le dit.
De plus, il faut être fier d'être ce qu'on est et de ce qu'on a.
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« Si quelqu’un t’a offensé, ne cherche pas à te venger. Assieds-toi au bord de la rivière et bientôt tu verras passer son cadavre »

 

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Ebola : la recette béninoise !


Aux grands maux, les grands remèdes, dit-on. Annoncé comme une maladie qui n’a pas de remède comme le VIH/Sida, le virus Ebola créé toujours la psychose au sein des populations. Mais découragement n’est pas béninois car des Béninois semblent avoir trouvé une recette. En effet, des rumeurs circulent sur une soi-disant recette à base de sel et d’oignon. Est-ce pour se prémunir ou pour en guérir ? Bien malin qui peut nous dire si cela est faux ou pas. En tout cas, avec ces populations désemparées, le ministre de la santé a quand même du pain sur la planche…

6 octobre 2010 3 06 /10 /octobre /2010 03:04

(Les victimes de Icc-Services, les yeux rouges réclament leurs sous au gouvernement)

 

Eric Tchiakpè

Après plus de 90 jours d’observance de la méthode utilisée pour régler l’affaire Icc-Services et au vu des résultats, on est tenté de confirmer la rumeur qui voulait que les autorités  béninoises  furent à la base de la catastrophe. En effet, aujourd’hui tout porte à croire que les autorités politico-administratives ne veulent pas d’un jugement dans l’affaire et  travaillent même à ce que le droit ne soit jamais dit dans cet imbroglio. Autrement, il est difficile d’admettre qu’au regard de  l’ampleur des dégâts causés par la banqueroute de  Icc-Services que l’instruction mette  autant de temps et que l’affaire ne semble pas être à la veille de son jugement. Ceci, malgré le fait que les éléments constitutifs de l’escroquerie, les responsables de la structure Icc-Services ainsi que  de leurs complices aient  été arrêtés et que la liste exhaustive des victimes soit officiellement connue.  En temps normal, ce sont des éléments suffisants pour passer aux choses sérieuses. C'est-à-dire au jugement des supposés coupables d’escroqueries. Ce d’autant plus que la détresse dans laquelle l’affaire Icc-Services a plongé les victimes, fait chaque jour encore plus de sinistrés. A ce propos, il ne se passe de semaines  depuis lors, sans qu’on ne  compte des morts, des malades,  des ruinés  et des  fugitifs pour causes de dettes non payées. La catastrophe,  dans le cas spécifique de  Icc-Services  s’élargit à plus de 50 mille Béninois issus de toutes les catégories sociales. Trouver  une solution rapide devrait être le but d’un régime qui a le souci de  régler les problèmes des populations  dont il a le souci. Or ici, plutôt que de régler lesdits  problèmes, la commission s’est lancée, on imagine sur instruction politique,  dans une sorte de dilatoire qui veut qu’elle planifie le mode de remboursement en commençant par les petits épargnants. Alors que  dans le même temps certaines structures disent pouvoir payer tout le monde sans distinction de montant.  Dans ce cas, il n’est point besoin d’un doctorat en économie pour comprendre que  cette fameuse planification est pour  la commission un moyen de gagner le temps, mais qui fait hélas trop de dégâts dans le rang des personnes déjà spoliées.  Un épargnant s’est écrié face à la lenteur caractérisée qui règne dans le règlement de cette affaire : « voilà une solution qui fait plus de victimes que le problème lui même ! »

La vérité à l’analyse,  est que le gouvernement n’envisage pas trouver de solution au problème de  Icc-Services. En apparence  il compte sur le temps pour faire passer la pilule.  Sinon les démarches de saisine des biens des responsables  en cours ne devraient être un frein à la mise en branle du jugement à proprement dit,  si tant est qu’il existait une volonté d’aboutir à une décision de justice. Car d’un point de vu juridique l’attribution ou la vente  des biens saisis ne peut être opéré,  si aucune décision de justice n’intervient. Voilà donc que rien n’est fait à ce niveau et que tout stagne même. Ce qui en d’autres termes peut  vouloir dire qu’en ajoutant consorts à l’affaire Icc-Services, le gouvernement voyait là, un solide échappatoire pour ne jamais fuir ses responsabilités. Ainsi, plutôt que de régler l’affaire Icc-Services, le gouvernement de Yayi fait du surplace sur les consorts.

 

 

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A chacun sa force de frappe !

   A défaut de pirate, un pêcheur peut faire l'affaire !

 

Pourquoi chercher loin quand il y a à côté ? dit-on. C’est cette politique que les garde-côtes béninois ont pratiqué vendredi 11 novembre dernier. A défaut de s’en prendre aux pirates qui ne cessent de les narguer puisqu’on est à peu près 20 actes de piraterie, ils ont mesuré leur adresse de tir sur deux pêcheurs béninois dont l’un a rendu l’âme du fait des balles reçues. Voilà comment notre Marine se prépare pour parer aux pirates dont ils ne voient jamais la poussière. Drôle de d’entrainement !