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  • Akkilou
  • La vie, c'est la positivité, l'espoir en un monde plus meilleur. Bref, un autre monde est possible comme on le dit.
De plus, il faut être fier d'être ce qu'on est et de ce qu'on a.
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« Si quelqu’un t’a offensé, ne cherche pas à te venger. Assieds-toi au bord de la rivière et bientôt tu verras passer son cadavre »

 

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Ebola : la recette béninoise !


Aux grands maux, les grands remèdes, dit-on. Annoncé comme une maladie qui n’a pas de remède comme le VIH/Sida, le virus Ebola créé toujours la psychose au sein des populations. Mais découragement n’est pas béninois car des Béninois semblent avoir trouvé une recette. En effet, des rumeurs circulent sur une soi-disant recette à base de sel et d’oignon. Est-ce pour se prémunir ou pour en guérir ? Bien malin qui peut nous dire si cela est faux ou pas. En tout cas, avec ces populations désemparées, le ministre de la santé a quand même du pain sur la planche…

6 décembre 2011 2 06 /12 /décembre /2011 07:37

Au profit de la formation de son premier gouvernement après le K.O du 14 mars 2011, le président Boni Yayi a donné la chance à certains compatriotes de servir autrement la Nation en devenant ministres de la République. C’est le cas de Me Marie-Elise Gbèdo dont la nomination au poste de ministre de la justice, garde des sceaux a été saluée par une grande partie de l’opinion publique nationale. Mais au lieu de travailler de façon à faciliter la mise en œuvre du programme d’action du chef de l’Etat, la porte-parole du gouvernement a préféré s’illustrer autrement. En effet, il y a quelques semaines, Marie-Elise Gbèdo a procédé au renouvellement de son cabinet en faisant plusieurs nominations. Seulement, ces nominations loin d’être de nature à apporter un plus pour le bon fonctionnement de ce département ministériel, est l’expression d’un coup de tête. Toute chose contre laquelle  les magistrats se sont insurgés. Il a donc fallu l’intervention personnelle du chef de l’Etat pour calmer la tension née de ses nominations fantaisistes. On en était là quand le ministre Gbèdo est revenu à la charge avec les affectations qui ont eu lieu récemment dans le secteur judiciaire. A première vue, l’on peut se dire que ce sont des mutations qui promeuvent la gent féminine vue que le ministre de la justice est une partisane assermentée de l’épanouissement de la femme béninoise. Mais à bien analyser, on se rend compte que c’est plus une sanction qu’une promotion. Sinon comment comprendre que c’est en pleine année scolaire que le ministre Marie-Elise Gbèdo choisisse de procéder aux affectations alors même que ces femmes mutées sont des mères de famille et ont par conséquent des obligations vis-à-vis de leurs enfants scolarisés. Avec ces mutations on ne peut plus hasardeuses, comment les parents pourront-ils régler le problème de scolarisation de leurs enfants ?  Les laisseront-ils sur place pour se rendre à leur nouveau lieu de travail ?  Qui prendra soin de leurs progénitures ? Autant d’interrogations qui montrent aisément que ces affectations sont mal venues et sont de nature à créer des problèmes sociaux qui seront difficiles à gérer lus tard. C’est pourquoi pour juguler cette crise en gestation, le président doit la République de se saisir personnellement de ce dossier sensible pour  réparer le tort fait à ces mères de famille. Ce ne serait que justice rendue. Après tout c’est du système judiciaire qu’il s’agit.

 

Jean Kpingla

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A chacun sa force de frappe !

   A défaut de pirate, un pêcheur peut faire l'affaire !

 

Pourquoi chercher loin quand il y a à côté ? dit-on. C’est cette politique que les garde-côtes béninois ont pratiqué vendredi 11 novembre dernier. A défaut de s’en prendre aux pirates qui ne cessent de les narguer puisqu’on est à peu près 20 actes de piraterie, ils ont mesuré leur adresse de tir sur deux pêcheurs béninois dont l’un a rendu l’âme du fait des balles reçues. Voilà comment notre Marine se prépare pour parer aux pirates dont ils ne voient jamais la poussière. Drôle de d’entrainement !