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  • Akkilou
  • La vie, c'est la positivité, l'espoir en un monde plus meilleur. Bref, un autre monde est possible comme on le dit.
De plus, il faut être fier d'être ce qu'on est et de ce qu'on a.
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« Si quelqu’un t’a offensé, ne cherche pas à te venger. Assieds-toi au bord de la rivière et bientôt tu verras passer son cadavre »

 

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Ebola : la recette béninoise !


Aux grands maux, les grands remèdes, dit-on. Annoncé comme une maladie qui n’a pas de remède comme le VIH/Sida, le virus Ebola créé toujours la psychose au sein des populations. Mais découragement n’est pas béninois car des Béninois semblent avoir trouvé une recette. En effet, des rumeurs circulent sur une soi-disant recette à base de sel et d’oignon. Est-ce pour se prémunir ou pour en guérir ? Bien malin qui peut nous dire si cela est faux ou pas. En tout cas, avec ces populations désemparées, le ministre de la santé a quand même du pain sur la planche…

15 novembre 2010 1 15 /11 /novembre /2010 02:19

jean kpingla

Le développement passe par la route, dit-on. Mieux, le salut vient par la route, dit-on en Afghanistan. Les mots ne manquent pas pour désigner l’importance d’avoir de bons axes routiers dans un pays. Aujourd’hui, l’état dans lequel se trouvent les axes routiers au Bénin est déplorable. D’où les nombreuses grognes qui ont amené le ministère des transports à réagir et même à établir un  chronogramme pour la réfection de ces axes routiers jonchés des nids-de-poules ou qui ont perdu une partie de leur asphalte. Malheureusement, les choses se sont limitées aux propos car le semblant de colmatage des nids-de-poules trainent à produire l’effet escompté.  De plus, le colmatage se fait de manière désorganisé si bien qu’on est tenté de dire qu’il se fait sans aucune feuille de route. Aujourd’hui, c’est de notoriété publique que le Bénin est en train de s’illustrer comme le seul pays où les routes n’assurent pas leur fonction première, celle du développement. Au contraire, ces routes sèment la désolation à cause des nombreux problèmes auxquels elles sont confrontée : nids-de-poules devenus nids-d’autruches, trous béants devenus des broyeurs de pneus causant des accidents de circulation, pas de politiques d’entretien des voies, etc. C’est pourquoi non seulement c’est un calvaire de circuler sur ces voies, mais aussi c’est que les cas d’accidents de circulation ne sont plus à dénombrer. Soit vous cognez quelqu’un soit c’est une autre personne qui vous entre dedans. Tout simplement parce que les nids-de-poules à chaque 2 ou 3 mètres vous empêchent de circuler normalement. Les nids-de-poules par-ci par-là ou nids- d’autruches sont aujourd’hui les principales causes des nombreux accidents sources de morts chaque jour. Mieux, il n’y a pas ce jour-là où malheureusement ces fameux trous n’ôtent pas la vie à des usagers de la route. En témoignent les accidents qui ont lieu sur les axes Cotonou-Ouidah-Lokossa et Calavi-Akassato-Bohicon. Si le reprofilage des voies avait été bien pensé en évitant toute précipitation, on aurait dû commencer par les grands centres où les accidents de circulation sont plus nombreux. En définitive, ce programme de travaux devant commencer en octobre passé n’était qu’une mise en scène pour distraire les populations qui continuent chaque jour d’enregistrer des accidentés. Comme le chante le reggae man Tiken Jah Fakoly : « Trop de bla bla. J'entends trop de bla bla. Et tout ce que j'entends. Tout ce qu'ils racontent. Moi je n'y crois pas»

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A chacun sa force de frappe !

   A défaut de pirate, un pêcheur peut faire l'affaire !

 

Pourquoi chercher loin quand il y a à côté ? dit-on. C’est cette politique que les garde-côtes béninois ont pratiqué vendredi 11 novembre dernier. A défaut de s’en prendre aux pirates qui ne cessent de les narguer puisqu’on est à peu près 20 actes de piraterie, ils ont mesuré leur adresse de tir sur deux pêcheurs béninois dont l’un a rendu l’âme du fait des balles reçues. Voilà comment notre Marine se prépare pour parer aux pirates dont ils ne voient jamais la poussière. Drôle de d’entrainement !