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  • Akkilou
  • La vie, c'est la positivité, l'espoir en un monde plus meilleur. Bref, un autre monde est possible comme on le dit.
De plus, il faut être fier d'être ce qu'on est et de ce qu'on a.
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« Si quelqu’un t’a offensé, ne cherche pas à te venger. Assieds-toi au bord de la rivière et bientôt tu verras passer son cadavre »

 

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Ebola : la recette béninoise !


Aux grands maux, les grands remèdes, dit-on. Annoncé comme une maladie qui n’a pas de remède comme le VIH/Sida, le virus Ebola créé toujours la psychose au sein des populations. Mais découragement n’est pas béninois car des Béninois semblent avoir trouvé une recette. En effet, des rumeurs circulent sur une soi-disant recette à base de sel et d’oignon. Est-ce pour se prémunir ou pour en guérir ? Bien malin qui peut nous dire si cela est faux ou pas. En tout cas, avec ces populations désemparées, le ministre de la santé a quand même du pain sur la planche…

14 novembre 2011 1 14 /11 /novembre /2011 06:29

Suite aux différentes plaintes des opérateurs économiques, une importante séance de travail a réuni le vendredi 11 novembre dernier, transitaires, consignataires et les autres acteurs intervenant dans la plate-forme portuaire autour de: Jean-Michel ABIMBOLA ministre délégué auprès du président de la République, chargé de l’Economie Maritime, des Transports Maritimes et des Infrastructures Portuaires et Adidjatou MATHYS, ministre de l’Economie et des Finances. C’était à la salle de conférence de la direction générale des travaux publics. L’objectif de cette rencontre tel que précisé par le Ministre ABIMBOLA  à l’entame de la séance est d’échanger sur le fonctionnement du guichet unique, écouter les acteurs par rapport à leurs difficultés afin de prendre les mesures qui s’imposent pour améliorer la qualité des prestations en vue de limiter les récriminations. Tout en partageant sa fierté avec l’ensemble des acteurs du fait de l’exploitation du guichet unique devenue une réalité, il a déploré les plaintes enregistrées de la part des importateurs, transitaires, commissionnaires en douane et autres. Au nombre de ces plaintes, il y a le dysfonctionnement au niveau des banques partenaires où des chèques certifiés sont souvent rejetés, le retard dans l’enlèvement des marchandises en conteneurs frigorifiques imposant aux importateurs le payement des frais d’électricité, la lenteur dans le traitement des dossiers, etc. Ce qui provoque des surcoûts pour les opérateurs économiques qui se plaignent. Au cours de cette séance, l’unanimité est faite sur le fait que tout n’est pas encore rose et qu’il faille corriger les imperfections au fur et à mesure étant donné qu’il s’agit d’une nouvelle expérience. C’est la raison pour laquelle le ministre a plaidé pour une franche collaboration afin d’amoindrir les difficultés ou de les éliminer complètement. Pour parvenir à un consensus, les deux ministres ont donné la parole aux représentants de chaque groupement. Prenant la parole en premier, le président  de l’Association nationale des Importateurs de produits congelés du Bénin (Amiprocob) a confirmé les maux dont souffre actuellement le processus. Pour lui, le guichet unique était perçu comme une solution mais après un mois de mise en œuvre, des problèmes persistent. Par ailleurs, le président de l’Association des Commissionnaires agréés en douane (Acad), Wilson James, quant à lui, a demandé la suppression pure et simple de l’interface afin que les commissionnaires soient soustraits de l’ancien système. Pour Théophile Soussia, Directeur général des Douanes et Droits indirects, ces récriminations des uns et des autres sont fondées et justifiées. Expliquant la procédure, il a indiqué que c’est dans le souci de permettre que les structures émettrices soient d’accord avec les montants figurant sur leurs factures que le nouveau problème de retard est né. Pour le ministre Jean-Michel ABIMBOLA, point n’est besoin de retourner à la case de départ. Il recommande que tout le stock de factures de la journée soit bouclé avant la fermeture des caisses au niveau des structures. Ainsi, tous les acteurs à cette séance, des représentants de banques  aux  transitaires en passant par le Dg port et les commissionnaires, ont été invités  à jouer leur partition au niveau de la chaine pour une perfection du guichet unique.

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A chacun sa force de frappe !

   A défaut de pirate, un pêcheur peut faire l'affaire !

 

Pourquoi chercher loin quand il y a à côté ? dit-on. C’est cette politique que les garde-côtes béninois ont pratiqué vendredi 11 novembre dernier. A défaut de s’en prendre aux pirates qui ne cessent de les narguer puisqu’on est à peu près 20 actes de piraterie, ils ont mesuré leur adresse de tir sur deux pêcheurs béninois dont l’un a rendu l’âme du fait des balles reçues. Voilà comment notre Marine se prépare pour parer aux pirates dont ils ne voient jamais la poussière. Drôle de d’entrainement !