(Attention ! Dg, ce monsieur risque de ‘’gombotiser’’ la maison)
C’est un rapport confidentiel de l’Ige transmis au Conseil des Ministres de 2007 qui épinglait un certain T.H. et qui recommandait qu’on relève nombre de cadres de leur poste de direction pour cause de malversations. Ces derniers ainsi que T.H. ne devaient plus jamais occupés un poste de responsabilité. Quatre ans plus tard, on constate que parmi eux, non pour avoir fait preuve d’exemplarité mais plutôt pour s’être illustré dans le harcèlement sexuel l’un est revenu plus fort que jamais en occupant, contrairement aux recommandations de l’Ige, un poste de décision éminemment stratégique où déjà, tel le loup dans la bergerie, il a commencé a creusé la tombe de l’entreprise. Pour exemple, dans une affaire opposant la Sbee à un opérateur économique, T.H. actuellement Directeur de la Préservation des risques et des Affaires Juridiques et du Patrimoine, a pris sur lui et probablement à l’insu du Dg de payer contre l’ordonnance du Tribunal les sommes réclamées par le plaignant causant ainsi un préjudice financier à l’entreprise dont il est sensé défendre les intérêts. Et ce n’est pas tout. Qu’il vous souvienne, dans la parution du vendredi dernier, nous faisions état de ce que certains responsables avaient fait l’option de gérer les affaires de la maison à la tête du client et par le sexe. Pour plus de détails, c’est que depuis que T.H. est en charge du service juridique, les nominations se font en dépit du bon sens, des affectations fantaisistes et contre-nature sont courantes, l’injustice et l’iniquité sont la règle. Des cadres en attente de leur reclassement depuis des années essuient leurs fesses sur les mêmes bureaux alors que d’autres moins expérimentés, moins diplômés occupent des postes qu’ils ne méritent pas. Ce qui donne l’impression que plus rien ne va. D’ailleurs, il n’aurait pu en être autrement vu le passé sulfureux de T.H. Ce qui est encore plus curieux, c’est que le service juridique et la direction du patrimoine, deux entités distinctes il y a quelques années, sont désormais confiées à une seule direction. Mettant ainsi entre les mains d’une seule personne le soin d’être juge et partie ou de créer des dommages à la SBEE sans que personne ne puisse valablement intervenir.