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  • Akkilou
  • La vie, c'est la positivité, l'espoir en un monde plus meilleur. Bref, un autre monde est possible comme on le dit.
De plus, il faut être fier d'être ce qu'on est et de ce qu'on a.
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Ebola : la recette béninoise !


Aux grands maux, les grands remèdes, dit-on. Annoncé comme une maladie qui n’a pas de remède comme le VIH/Sida, le virus Ebola créé toujours la psychose au sein des populations. Mais découragement n’est pas béninois car des Béninois semblent avoir trouvé une recette. En effet, des rumeurs circulent sur une soi-disant recette à base de sel et d’oignon. Est-ce pour se prémunir ou pour en guérir ? Bien malin qui peut nous dire si cela est faux ou pas. En tout cas, avec ces populations désemparées, le ministre de la santé a quand même du pain sur la planche…

7 avril 2010 3 07 /04 /avril /2010 16:47

A beau mentir qui vient de loin. Lorsqu’on prend à première vue la lettre ouverte de Jacques Gallois contre la justice béninoise, on a tendance à le croire. Cependant, quand on prend connaissance du dossier dans lequel cet homme a coulé des jours derrière les barreaux, on découvre réellement le type d’individu qu’il est. En effet, le Français Jacques Gallois, dans une lettre ouverte en date du 29 mars 2010, s’est découvert soudainement une fois dans son pays d’origine des talents de Jean-Jacques Rousseau, célèbre homme de droit, pour vilipender la justice béninoise qui pourtant lui a accordé des largesses au-delà de ce que recommande le droit compte tenu de l’ingérence diplomatique de la France. Mais, il convient de lui rappeler que Jacques Gallois et Jean-Jacques Rousseau ne sont liés ni d’Adam ni d’Eve. Voilà un individu qui a été a été incarcéré au Bénin pour une affaire qui ne concerne en rien l’Etat béninois qu’il a pris le risque de traîner dans la boue en le traitant d’un Etat de non droit et qu’il menace d’une plainte contre le Bénin à titre personnel. Or Jacques Gallois qui sait désormais qu’aucun expatrié ne peut plus se permettre certaines largesses en terre africaine, n’ignore pas qu’il doit son salut à cette même justice. En effet, le 14 janvier 2010 il a été rattrapé au Bénin par une affaire dans laquelle il a tenté de ne pas jouer franc jeu avec un Burkinabè. Plutôt que de remercier la justice béninoise qui lui a accordé une liberté provisoire après les interventions de l’Ambassadeur de France, M. Jacques Gallois qui se croyait encore au temps du colonialisme s’est livré à une campagne d’intoxication et de dénigrement contre la justice béninoise. Les arguments qu’il a étalés après sa libération provisoire le compromettent malheureusement. Selon lui, son arrestation qu’il juge arbitraire et sa détention qu’il qualifie d’abusive tiennent : au refus de son contradicteur de payer les honoraires 2009 qu’il lui doit toujours, à son refus de cautionner les manipulations et malversations de son contradicteur qui aurait laissé au Burkina Faso des pertes et dettes financières qu’il évalue lui-même à 50 et 60 milliards de F Cfa, à son refus de cautionner les nouvelles tentatives d’escroquerie en cours de son contradicteur, à son refus de cautionner le gangstérisme dont font preuve son contradicteur et ses protecteurs qui par ses pratiques tentent de spolier dans le même temps, les intérêts français et européens pour un montant qu’il évalue à 50 et 100 millions d’Euros, à son refus de cautionner la violence sociale de son contradicteur qui par ses malversations, a provoqué la perte de 1500 emplois, précipitant dans la misère près de 1500 personnes (août 2009 Bat Bénin : 350 personnes jetées au chômage, sans cause), à son refus de cautionner les pratiques récurrents de corruption active de son contradicteur, corruption à tous les niveaux rendue possible par la démesure des fonds détournés, et l’impunité garantie, corruption qui vise, en tout premier lieu, à instrumentaliser la justice et ses représentants, à des fins mafieuses et politicards, au Burkina et maintenant en République du Bénin. A priori et pour celui qui ne connaît pas M. Jacques Gallois, on pourrait accorder du crédit à tout ce qu’il a dit. Mais lorsqu’on prend le cas de la British Américan Tobaco- Bénin qu’il a cité, à aucun moment, les responsables de cette société située à Ouidah n’ont pas motivé la fermeture de leur entreprise par ces arguments que tente d’avancer M. Gallois qui ne peut plus aujourd’hui mettre pied au Mali à cause de sa moralité dans le dossier des Grands Moulins du Mali avec le groupe ASKAR qui continue de le poursuivre, pareille au Burkina et en Côte d’Ivoire respectivement dans les dossiers des Grands Moulins du Burkina et SAFCA à Abidjan où il a pris la tangente à l’annonce de son interpellation. Le contradicteur dont par le M. Gallois a assigné les Grands Moulins de Strasbourg parce qu’ils lui ont livré des farines avariées et un contrat d’assistance technique non respecté. M. Gallois s’est alors offert aux responsables des GMS pour les aider à gagner le procès en négociant avec les avocats français alors qu’il était encore employé du Groupe Kossouka. Il a alors pris l’engagement de leur faire gagner beaucoup d’argent que ce que le contradicteur va leur verser en dommage et intérêt. Quand le contradicteur a eu les informations selon lesquelles M. Gallois travaillait à le couler, il a piqué une crise de nerf. Mais dans la même période, M. Gallois qui avait vu le danger venir a disparu. Par malheur, il a été retrouvé au Bénin. Une confrontation a eue lieu à la Brigade économique et financière (Bef) avec les pièces à conviction qu’il a produits lui-même et qui l’ont malheureusement confondu. Après avoir reconnu les faits, il a été mis sous mandat de dépôt et déféré à la prison civile de Cotonou le 14 janvier 2010 pour instruction du dossier. Ce sont les interventions de l’Ambassadeur de la France près le Bénin, et l’implication du Chef de l’Etat qu’il a pris le risque d’injurier qui ont contribué à sa libération provisoire. Mais au lieu de remercier la justice béninoise pour sa clémence, voilà le comportement qu’il adopte. Quel péché la justice a-t-elle commis vis-à-vis de cet homme qui a déjà fait la prison dans un dossier pareille au Cameroun et recherché activement au Mali? L’autre question qu’il convient de se poser est de savoir pourquoi M. Jacques Gallois a choisi de travailler avec son contradicteur alors qu’il sait qu’il n’est pas recommandable, qu’il est assassin, qu’il est analphabète, qu’il est un escroc ? Comment peut-on expliquer le fait que les références de cet escroc se retrouvent dans son Cv. A vrai dire, M Gallois fait de la diversion et du chantage comme il en a l’habitude. Il est un Monsieur de mauvaise foi sans doute. Alors qu’il était encore en prison, il avait joué sur toutes ses relations pour être libéré. Le ministre Victor Topanou a donné la preuve de sa bonne foi en s’impliquant dans sa libération provisoire. Mais une fois de l’autre côté de la frontière, M. Gallois a choisi de vilipender le pays, oubliant qu’il est en train de se détruire. C’est son propre piège qui s’est refermé sur lui. L’Afrique du 21è siècle n’est plus celle des autres époques où un quidam peut venir faire ce qu’il veut. L’affaire Gallois rappelle celle de la compagnie Air Afrique où les Chefs d’Etat africains ont cru devoir bien faire en confiant cette compagnie à un Français qui, au lieu de la redresser, l’a coulée. Aux dernières nouvelles, de gros nuages bien noirs planent déjà sur la tête de jacques Gallois qui devrait retourner devant les juges. D’ailleurs, un mandat d’arrêt international pourrait être délivré contre lui pour outrage à juge béninois dans l’exercice de ses fonctions. C’est à partir de ce moment qu’il comprendra que le Bénin reste un pays de droit. Voilà comment des gens qu’on essaie d’aider et qui en contrepartie vous remercie en monnaie de singe mais comme un bienfait n’est jamais perdu, Gallois devrait subir les conséquences de ses actes. De toute façon, nul n’ignore que la justice béninoise est des plus crédibles. Ce sont des gens de son espèce que la justice béninoise s’échine à mettre hors d’état de nuire et que malheureusement, son pays, la France défend vaille que vaille. Lui, le connaisseur de droit, est-ce que son pays peut accepter de libérer un Africain, fut-il Béninois, si trempé dans des affaires louches comme celles-là ? Pourtant, c’est ce que son pays de « Liberté-Egalité-Fraternité » ne cesse de demander à l’instar de Florence Cassez. Alors, de la France et du Bénin, qui laisse la justice faire son travail ?

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A chacun sa force de frappe !

   A défaut de pirate, un pêcheur peut faire l'affaire !

 

Pourquoi chercher loin quand il y a à côté ? dit-on. C’est cette politique que les garde-côtes béninois ont pratiqué vendredi 11 novembre dernier. A défaut de s’en prendre aux pirates qui ne cessent de les narguer puisqu’on est à peu près 20 actes de piraterie, ils ont mesuré leur adresse de tir sur deux pêcheurs béninois dont l’un a rendu l’âme du fait des balles reçues. Voilà comment notre Marine se prépare pour parer aux pirates dont ils ne voient jamais la poussière. Drôle de d’entrainement !