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  • Akkilou
  • La vie, c'est la positivité, l'espoir en un monde plus meilleur. Bref, un autre monde est possible comme on le dit.
De plus, il faut être fier d'être ce qu'on est et de ce qu'on a.
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Grain de sel

« Si quelqu’un t’a offensé, ne cherche pas à te venger. Assieds-toi au bord de la rivière et bientôt tu verras passer son cadavre »

 

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Ebola : la recette béninoise !


Aux grands maux, les grands remèdes, dit-on. Annoncé comme une maladie qui n’a pas de remède comme le VIH/Sida, le virus Ebola créé toujours la psychose au sein des populations. Mais découragement n’est pas béninois car des Béninois semblent avoir trouvé une recette. En effet, des rumeurs circulent sur une soi-disant recette à base de sel et d’oignon. Est-ce pour se prémunir ou pour en guérir ? Bien malin qui peut nous dire si cela est faux ou pas. En tout cas, avec ces populations désemparées, le ministre de la santé a quand même du pain sur la planche…

26 août 2010 4 26 /08 /août /2010 05:11

Régulariser les ordres de payement (Op), c’est la tâche que s’est donné à résoudre le président Boni Yayi depuis que la presse a commencé par publier au fur et à mesure le mémorandum de l’ancien argentier national Soulé Mana Lawani et qui fait des émules auprès de ceux qui s’en imprègnent après en avoir fait la lecture. En effet depuis un certain temps, le président  Boni Yayi n’est plus tranquille car il ne s’attendait pas à ce que les populations accueillent aussi favorablement le mémorandum. Pour lui, c’en est trop. Il faut arrêter la formation de l’abcès aussi rapidement que possible. Raison pour laquelle il veut coûte que coûte régulariser cette affaire des Op avant de se dire être disponible pour parer au coup venant de son ancien ministre des finances. C’est à cet effet qu’il décide de la rencontre de tous les Drfm pour qu’ils puissent lui trouver la solution appropriée pour ce désir. Cependant, il y a eu une situation qui s’est présentée. C’est le lieu de cette rencontre entre Drfm car il ne faut pas le faire dans un ministère de peur que les yeux indiscrets ne s’y intéressent et que les conclusions de la rencontre n’aillent dans les oreilles de l’opposition à Boni Yayi. C’est ce qui a fait qu’on n’a pas trouvé autre lieu qu’une salle du palais de la présidence. C’est ainsi que les Drfm se sont retrouvés hier, mercredi 25 août 2010, précisément à la Salle N° 433 de la Marina. C’est là que les concertations ont eu lieu pour essayer de régulariser les Op depuis l’accession au pouvoir de du Dr Boni Yayi jusqu’à ce jour. Par ailleurs, on peut se demander pourquoi  Yayi se penche sur les Op alors que le mémo du ministre Lawani l’amène plus vers l’affaire Cen-Sad en général. Certainement parce qu’il est conscient que cela fait partie de son talon d’Achille que l’ex-argentier avait la compétence de résoudre entre deux claquements de doigts. Ainsi sachant que celui-ci qu’il prenait pour son mouton de sacrifice, un homme docile qui ne parlerait pas, un homme avec qui il peut manipuler ou faire tout ce qu’il veut sans qu’il ne bronche, a commencé par parler, il a pris peur et s’est plus où tonner de la tête parce qu’il semble commencer par comprendre qu’il n’y a pire eau que celle qui dort. Mieux, il a peur que s’il ne fait rien dans le sens des Op, que des pages du mémo de Lawani ne décortique les Op sous son régime et le mettent  nu, le fragilise aux yeux de ses adversaires, compromettent énormément ses chances de rempiler en ressortant peut-être un autre scandale à l’instar de ceux déjà connus. Peur ou pas, le ministre est seulement dans une dynamique visant à laver, au nom de Allah, son honneur bafoué dans un dossier où il est en train d’utiliser comme le doigt avec lequel on veut cacher un éléphant de scandales. C’est ce que ça fait de toujours croire qu’on peut continuer à donner des coups de poing à quelqu’un qui fait l’indifférent. Tel est pris qui croyait prendre. Si tant est que le mémo du ministre Lawani peut continuer à foutre la trouille à Yayi au point où il revoit sa gestion, il y a que les Béninois n’en demandent pas plus. En attendant d’apprendre sur les conclusions de la réunion des Drfm, le déballage se poursuit chaque jour avec des pages et des pages du mémorandum de l’ancien ministre de l’économie et des finances.  

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25 août 2010 3 25 /08 /août /2010 06:09
Abou sbakar Le fait que Me Adrien Houngbedji ait été trop tôt déclaré pour porter l’étendard de l’Un, n’est pas en tout point de vue bénéfique pour l’opposition au régime Yayi. Et pour cause, l’image de la licorne de la classe politique béninoise (Il ne traîne pas de dossiers sales) est actuellement mise à mal dans un dossier d’achat d’appartement. Déclaré candidat de l’Un, les Béninois curieux ont l’avantage du temps pour fouiller dans tous les sens la vie de cet homme. Ce qui est normal. Et c’est dans cette période-là caractérisée par une crise financière nationale sans précédent que Adrien Houngbédji achète une grosse maison en France à prix d’or. Une erreur politique en somme, pour quelqu’un qui veut prendre la destinée des Béninois en mains. Aujourd’hui le dossier a pris une tout autre allure avec le nom Richard Lokossou dont la supposée présence sur les relevés bancaires du président du Prd, sur plusieurs versements, prête à confusion puisque le même nom Richard Lokossou est actuellement recherché par Interpol dans une affaire de structure illégale de placement du genre Icc-services. La question est maintenant de savoir s’il existe une différence entre le Richard Lokossou qui aurait opéré des versements sur les comptes de Houngbédji et le Richard Lokossou de la société Re.De.Ma.Re, actuellement recherché pour mauvaise manipulation de fonds. A quelques mois des élections présidentielles, pour Houngbedji le silence n’est pas indiqué. Le devoir de se blanchir impose très vite au candidat de l’Un de monter au créneau pour apporter des clarifications nettes, au risque de voir son image de licorne de la classe politique béninoise, sérieusement endommagée. Pour preuve de l’existence réelle de l’escroc international, les documents montrent que ce Richard Lokossou est l’administrateur de toutes les agences du réseau pour le développement de la masse sans ressources (Re.De Ma.Re Sa), l’équivalent de Icc-services au Togo. Quand on apprend que Richard Lokossou aurait alimenté le compte du président du Prd à concurrence du milliard, il est à se poser des questions en attendant que le candidat de l’Union fait la nation, interpellé d’une manière ou d’une autre réagisse.
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25 août 2010 3 25 /08 /août /2010 06:05

A Yacoubou et a. takou Un bon dirigeant, c’est celui qui sait prendre les bonnes décisions où et quand il le faut. Et chaque jour que Dieu fait, Anjorin Moucharaf le démontre aisément de par ses initiatives pour ce qui est des charges à lui confiées à la tête de la fédération béninoise de football. C’est justement dans cette dynamique qu’il était hier sur les antennes de Golfe Tv pour non seulement rassurer les Béninois par rapport au travail que la fédération abat mais évoquer les actions qu’il entreprend à l’endroit des Ecureuils engagés dans les éliminatoires de le Can 2012. Dans son intervention, le président Anjorin Moucharaf a assuré que les Béninois n’ont pas de souci à se faire car les 3 points du match devant opposer les Écureuils aux Burundais début septembre ici au Bénin vont être engrangés. Pour étayer ses dires, le président de la Fbf avec calme et la virtuosité de quelqu’un qui maîtrise ce qu’il dit, les préparatifs en vue de ce match vont bon train et rien qu’à voir les joueurs locaux aux entraînements témoignent du sérieux et surtout de l’objectif à atteindre car le joueurs sont déterminés à commencer la compétition en beauté. Ce qui suppose une victoire éclatante au Bénin. L’autre chose évoquée par le président de la Fbf c’est la vision futuriste du football béninois qu’il a. Ce qui explique la présence des locaux dans le dispositif de réussite des qualifications pour la Can 2010. Une bonne stratégie à mettre à l’actif de Anjorin Moucharaf qui a su que tout programme de développement du football qui se veut émergeant, d’avenir, ne saurait se concentrer sur quelques expatriés. Au contraire, il doit d’abord viser à asseoir une bonne base locale afin qu’elle serve de viviers plus tard aux grands clubs. Voilà ce qu’il a tenté d’expliquer su r Golfe Tv. Cela montre réellement que le président de la Fbf a à cœur le développement du football béninois. On comprend donc que le président soit confiant en ce qui est de l’obtention d’une victoire par le Onze national face aux Burundais puisque les locaux sont en préparation continue de quoi avoir une cohésion et un fond de. Rien n’a été oublié, le président a tout abordé, il a tout ausculté pour que les populations aient maintenant des raisons nécessaires pour soutenir les Écureuils et de les pousser à la victoire. Le micro-trottoir réalisé à la fin de l’entretien a permis de constater que l’homme jouit de la confiance de ses compatriotes. Et c’est à juste titre qu’on le qualifie de bon manager, d’homme qui se bat pour que le Bénin ait un jeu d’ensemble et puisse voler de victoires en victoires.

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25 août 2010 3 25 /08 /août /2010 06:04
Rt C’est à croire que la chanson de l’artiste ivoirien Serge Kassy a trouvé un terrain favorable au Bénin à savoir : « John Bri, tu es dans le quartier et tu es là à semer la terreur. Aujourd’hui, tu as rencontré garçon, il t’a attrapé et tu as peur… ». En effet, voilà un homme, un très proche du président de la République, qui a été nommé à un poste donné par Boni Yayi. Il refuse l’offre et choisit de s’accrocher mordicus au poste qu’il occupait avant sa nomination. C’est le constat qui est permis de faire aisément à la lecture des communiqués des deux derniers conseils des ministres. Suite au conseil des Ministres en séance ordinaire du 11 août 2010, Boni Yayi a nommé, sur proposition du Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, le sieur Nasser Bako en tant que Secrétaire Général (Sg) de l’Université de Parakou. Poste qu’occupait Monsieur Abel Ayedoun, lui aussi promu Directeur de l’Organisation et du Suivi de l’Enseignement Supérieur. Alors que les promotions font la joie des heureux élus, cela n’a pas été tel en ce qui concerne Abel Ayadoun qui a purement et simplement opposé une suite de non recevoir à cette décision du conseil des ministres puisqu’il a décidé manu militari de ne pas quitter son poste de Secrétaire Général de l’Université de Parakou. Et même l’homme fort du Changement, le président Boni Yayi, n’a pas su se faire respecter ou même brandir son arme favorite de « respect de l’autorité de l’Etat » car il a reculé, il a plié l’échine devant certainement la détermination et autres actions de ce proche. Sinon comment comprendre moins de 10 jours plus tard que le gouvernement revienne sur sa décision à travers un autre communiqué du conseil des ministres en séance extraordinaire du vendredi 20 août 2010 qui annonce la nomination de Abel Marc Ayédoun au poste de Secrétaire Général de l’Université de Parakou et ce sur proposition du ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique. Une nomination bien avant même que le désigné du conseil des Ministres du 11 août 2010 Nasser Bako n’ait pris fonction et ne le rende. Situation abracadabrante que seuls les acteurs du gouvernement du Changement peuvent comprendre sinon que cela dépasse l’entendement du Béninois lambda. Ce qui fait qu’on a du mal à reconnaître le gouvernement béninois dans ce volte-face où le respect de l’autorité de l’Etat semble avoir été bafoué voire piétiné et jeté comme du papier avec lequel on s’est essuyé le ‘’derrière’’. Dans cette histoire, il est à constater que c’est Boni Yayi qui perd la face car en tant que président, un individu, fut-il rusé, ne saurait lui dicter sa loi dans de pareilles nominations. Mais comme il se fait qu’on est en plein régime du Changement, on se dit que tout est possible tant qu’on est vivant. Il est à se demander jusqu’où le régime du Changement continuera à étonner les Béninois. Puissant Sg qui sait comment calmer John Bri. Une école à aller…pour en apprendre des choses.
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25 août 2010 3 25 /08 /août /2010 05:51
La ruse de Yayi a encore frappé) Par le conseil des ministres du vendredi 20 août 2010, le chef de l’Etat, le Dr Boni Yayi a nommé Gatien Hongbédji nommé Haut commissaire à la solidarité nationale. Une bien belle récompense pour un homme qui n’en demandait pas mieux. Mais quand on va plus en profondeur, on en revient fort bien dépité car si on refuse de voir en cela un cadeau empoisonné, cette nomination est toutefois une coquille et personne ne saurait en dire mieux. Au regard des nominations qui ont été faites par Boni Yayi dans ce sens savoir Haut commissaire pour la gouvernance concertée, Haut commissaire à l’éducation et j’en passe, ‘’les promus’’ ne sont que l’ombre d’eux-mêmes, parfois sans cadre de travail. Et c’est dans ce contexte qu’intervient la désignation de Gatien Houngbédji pour un soi-disant haut commissariat. C’est à croire que cette manie qu’a Boni Yayi à nommer à l’emporte-pièce des conseillers techniques et des chargés de mission, s’oriente désormais vers la création des postes de haut commissariat. Pour les connaisseurs, que Gatien Houngbédji ne se réjouisse pas de si tôt car puisque dans les jours à venir, ses mâchoires vot s’battre non sur un œuf plein mais plutôt vide et plus léger qu’une plume. A lui d’aller se renseigner auprès des Moise Mensah et Paulin Hountondji pour en avoir le cœur net. Au-delà, du fait qu’il a réussit à mettre quelque chose dans la bouche afin que ses dents ne restent sans activité, Boni Yayi a toutefois réussit tout au moins à sortir cet homme de l’ombre et surtout à l’amener à prendre ses distances d’avec l’Un autour encore du candidat de ce groupe.
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25 août 2010 3 25 /08 /août /2010 05:51
La ruse de Yayi a encore frappé) Par le conseil des ministres du vendredi 20 août 2010, le chef de l’Etat, le Dr Boni Yayi a nommé Gatien Hongbédji nommé Haut commissaire à la solidarité nationale. Une bien belle récompense pour un homme qui n’en demandait pas mieux. Mais quand on va plus en profondeur, on en revient fort bien dépité car si on refuse de voir en cela un cadeau empoisonné, cette nomination est toutefois une coquille et personne ne saurait en dire mieux. Au regard des nominations qui ont été faites par Boni Yayi dans ce sens savoir Haut commissaire pour la gouvernance concertée, Haut commissaire à l’éducation et j’en passe, ‘’les promus’’ ne sont que l’ombre d’eux-mêmes, parfois sans cadre de travail. Et c’est dans ce contexte qu’intervient la désignation de Gatien Houngbédji pour un soi-disant haut commissariat. C’est à croire que cette manie qu’a Boni Yayi à nommer à l’emporte-pièce des conseillers techniques et des chargés de mission, s’oriente désormais vers la création des postes de haut commissariat. Pour les connaisseurs, que Gatien Houngbédji ne se réjouisse pas de si tôt car puisque dans les jours à venir, ses mâchoires vot s’battre non sur un œuf plein mais plutôt vide et plus léger qu’une plume. A lui d’aller se renseigner auprès des Moise Mensah et Paulin Hountondji pour en avoir le cœur net. Au-delà, du fait qu’il a réussit à mettre quelque chose dans la bouche afin que ses dents ne restent sans activité, Boni Yayi a toutefois réussit tout au moins à sortir cet homme de l’ombre et surtout à l’amener à prendre ses distances d’avec l’Un autour encore du candidat de ce groupe.
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24 août 2010 2 24 /08 /août /2010 05:55
Annie Lèwan L’Assemblée nationale a adopté la loi portant règle générale pour les élections au Bénin. Une loi qui a l’avantage de prendre en compte plusieurs innovations incluses dans le projet de la Lépi qui de toute évidence ne pourra être réalisable pour les prochaines élections. Avec l’adoption de cette loi ce sont les mouvanciers, en principe, qui devraient avoir le sourire, puisqu’elle inclue les points essentiels des attentes contenues dans le projet de la Lépi qui ne sera pas possible pour 2011. Il faut ajouter qu’en plus de cela, des aménagements ont été apportés sur le nombre de membre de la Céna, qui passe désormais de 17 à 11 dans le souci d’alléger le budget, sans compter les modifications insérées dans les CED. Autant d’avancées notables qui, en l’absence de liste électorale permanente informatisée, apportent leurs lots d’améliorations mais suscitent encore des bouderies dans le camp Fcbe. En effet, à l’issue du vote où le choix de ce texte a été fait, il s’est trouvé quelques parlementaires du bord extrême des Fcbe, opposés à toutes formes de progrès et mécontents, se sont mis à agiter le spectre de la coercition de la cour constitutionnelle qui pour eux, ne manquerait pas de casser cette loi portant élection générale. Une attitude qui se fonde sur les succès récurrents de leurs requêtes en inconstitutionnalité et qui de toutes évidences prouve que dans le camp Fcbe, la cour ne serait autre que l’arrière cour de l’Assemblée nationale, où ils rattrapent tout ce qu’ils n’ont pu obtenir au sein du parlement.
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24 août 2010 2 24 /08 /août /2010 05:45
Que nous réserve le dénouement de l’affaire Icc-Services qui va prendre à bras le corps le gouvernement dès les premiers jours de la rentrée des classes ? Nul ne saura le dire exactement mais tout montre qu’il y a comme une certaine montée de l’adrénaline chez la plupart des épargnants de Icc-Services. Pour cause, ils ont misé tel au loto toute leur économie et espérait en récolter une fortune pour permettre à leurs enfants de commencer en beauté la nouvelle année scolaire et académique avec à leur disposition les fournitures dont ils ont besoin pour les enseignements. Malheureusement, la faillite est passée par là mettant du coup les comptes de la société plus qu’au rouge. Donc, ce sont des parents dépouillés de leurs maigres recettes qui voient approcher à grands pas la rentrée des classes en ne sachant pas comment arriver à accéder les demandes de fournitures de leurs enfants. Le plus dur pour eux, c’est que les opérations de recensement des épargnants n’a même pas fini pour qu’il songe au remboursement. Ce qui les met du coup en boule dès qu’ils entendent parler de la rentrée car évoquer celle-ci en face d’eux, c’est comme les provoquer, les narguer, ou leur rappeler leurs mésaventures avec Icc-Services. On comprend aisément que les annonces de démarrage de payement des épargnants à partir d’octobre prochain n’ont pas d’effet sur les gens. Sinon comment comprendre que les gens ne soient pas confiants en ce dévouement du gouvernement de Changement à saisir les biens des responsables de Icc-Services pour payer les victimes. Avec ces personnes escroquées qui veulent qu’on leur rende leurs dus avant la rentrée, il serait bon pour le gouvernement de commencer assez rapidement cette opération de restitution de sous afin de tuer le poussin dans l’œuf. Au cas contraire, il pourrait être submergé par la furie de ces victimes qui en ont marre d’attendre. Ce qui n’arrange pas du tout ses affaires à quelques mois des échéances de mars 2011.
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24 août 2010 2 24 /08 /août /2010 05:45
Que nous réserve le dénouement de l’affaire Icc-Services qui va prendre à bras le corps le gouvernement dès les premiers jours de la rentrée des classes ? Nul ne saura le dire exactement mais tout montre qu’il y a comme une certaine montée de l’adrénaline chez la plupart des épargnants de Icc-Services. Pour cause, ils ont misé tel au loto toute leur économie et espérait en récolter une fortune pour permettre à leurs enfants de commencer en beauté la nouvelle année scolaire et académique avec à leur disposition les fournitures dont ils ont besoin pour les enseignements. Malheureusement, la faillite est passée par là mettant du coup les comptes de la société plus qu’au rouge. Donc, ce sont des parents dépouillés de leurs maigres recettes qui voient approcher à grands pas la rentrée des classes en ne sachant pas comment arriver à accéder les demandes de fournitures de leurs enfants. Le plus dur pour eux, c’est que les opérations de recensement des épargnants n’a même pas fini pour qu’il songe au remboursement. Ce qui les met du coup en boule dès qu’ils entendent parler de la rentrée car évoquer celle-ci en face d’eux, c’est comme les provoquer, les narguer, ou leur rappeler leurs mésaventures avec Icc-Services. On comprend aisément que les annonces de démarrage de payement des épargnants à partir d’octobre prochain n’ont pas d’effet sur les gens. Sinon comment comprendre que les gens ne soient pas confiants en ce dévouement du gouvernement de Changement à saisir les biens des responsables de Icc-Services pour payer les victimes. Avec ces personnes escroquées qui veulent qu’on leur rende leurs dus avant la rentrée, il serait bon pour le gouvernement de commencer assez rapidement cette opération de restitution de sous afin de tuer le poussin dans l’œuf. Au cas contraire, il pourrait être submergé par la furie de ces victimes qui en ont marre d’attendre. Ce qui n’arrange pas du tout ses affaires à quelques mois des échéances de mars 2011.
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23 août 2010 1 23 /08 /août /2010 01:42

Tout juste après la vulgarisation de son mémorandum par la presse locale, Rfi pour équilibrer l’information relative à l’affaire Cen-Sad à la suite des propos de Hountondji qui agissait au nom de Yayi, a tendu le micro à Soulé Mana Lawani. A peine la radio diffusait-elle les propos de l’ancien ministre de Yayi que  certaines radios du Sénégal, Sud-Fm et la radio Youssouf N’dour ont appelé Lawani pour avoir  elles aussi  ses propos. Mais c’est sur la Radio Rfm que l’ancien ministre des finances a donné sa plus longue interview. Au même moment, Me Boucounta Diallo, l’équivalent en Afrique de Me Verges en France qui intervenait sur une affaire sur Bbc s’est vu interroger sur le cas Mana Lawani dans l’affaire Cen-Sad. Tout de suite, le brillant avocat a décortiqué la situation pour montrer que son client n’était coupable d’aucun chef d’accusation dans cette affaire. Toutes les radios sénégalaises après la diffusion de l’élément se sont rué sur l’avocat pour avoir sa version et avoir une idée de la défense qu’il fera de ce dossier. Que cela soit de la Belgique, de la France, des Etats-Unis et surtout de l’Arabie Saoudite, les téléphones de l’avocat n’ont de cesse de sonner, chacun voulant s’imprégner du dossier maintenant que Lawani a décidé de parler.  Il faut dire que Me Boucounta est secondé du jeune et brillant avocat béninois Cyrille Djikoui pour défendre Lawani. Mais on apprend qu’un autre collège d’avocat se constitue dans la sous région pour venir sur fonds propres à Cotonou lors du procès. Comme quoi, en voulant mettre sur la tête de Lawani un fardeau qui n’est pas le sien, Boni Yayi vient de se mettre à dos le monde entier et surtout ses anciens collègues de la Bceao car, la réplique de Lawani pour mettre les pendules à l’heure a été saluée par toute la grande famille des banquiers de la Bceao, eux qui ont vu Soulé Mana Lawani travailler et qui savent bien qu’il est un cadre aux états de services irréprochables.

Aboubakar takou

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A chacun sa force de frappe !

   A défaut de pirate, un pêcheur peut faire l'affaire !

 

Pourquoi chercher loin quand il y a à côté ? dit-on. C’est cette politique que les garde-côtes béninois ont pratiqué vendredi 11 novembre dernier. A défaut de s’en prendre aux pirates qui ne cessent de les narguer puisqu’on est à peu près 20 actes de piraterie, ils ont mesuré leur adresse de tir sur deux pêcheurs béninois dont l’un a rendu l’âme du fait des balles reçues. Voilà comment notre Marine se prépare pour parer aux pirates dont ils ne voient jamais la poussière. Drôle de d’entrainement !