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  • La vie, c'est la positivité, l'espoir en un monde plus meilleur. Bref, un autre monde est possible comme on le dit.
De plus, il faut être fier d'être ce qu'on est et de ce qu'on a.
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Grain de sel

« Si quelqu’un t’a offensé, ne cherche pas à te venger. Assieds-toi au bord de la rivière et bientôt tu verras passer son cadavre »

 

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Ebola : la recette béninoise !


Aux grands maux, les grands remèdes, dit-on. Annoncé comme une maladie qui n’a pas de remède comme le VIH/Sida, le virus Ebola créé toujours la psychose au sein des populations. Mais découragement n’est pas béninois car des Béninois semblent avoir trouvé une recette. En effet, des rumeurs circulent sur une soi-disant recette à base de sel et d’oignon. Est-ce pour se prémunir ou pour en guérir ? Bien malin qui peut nous dire si cela est faux ou pas. En tout cas, avec ces populations désemparées, le ministre de la santé a quand même du pain sur la planche…

8 novembre 2010 1 08 /11 /novembre /2010 03:13

Contrairement à ce que pensaient les défenseurs d’une Lépi tronquée, truffée et minée d’explosifs à fraudes, la marche organisée par l’Un hier pour dénoncer les dysfonctionnements observés ça et là  dans la 3ème phase et les deux précédentes a connu un succès sans précédent. Et ceci malgré la volonté des thuriféraires du régime ‘’prolépistes’’ qui n’avaient pas lésiné sur les moyens pour dissuader certains compatriotes de participer à cette marche. Ils étaient des milliers, ces militants, sympathisants et autres  hommes en jaunes à envahir les rues de la capitale économique hier. Partis de la place de l’Etoile Rouge et de la place Lénine d’Akpakpa, les deux groupes de manifestants se sont rencontrés au niveau du carrefour de l’Unafrica de Cotonou pour former un noyau beaucoup plus compact et consistant avant de prendre la direction du siège de l’Union européenne au Bénin, premier point de chute. A ce niveau, après une brève animation, les manifestants ont fait part de leur mécontentement compte tenu de la façon dont le processus est conduit à la représentante de l’Ue, madame Elisabeth Féret à travers une  motion qui a été lue. Après cette étape, le cortège conduit par les ténors de l’Un et les responsables du Fdd va s’ébranler en direction de la préfecture où ils ont été accueillis par le maître des lieux, Jules Honorat Hessou. Les manifestants ont procédé au même exercice. Le Préfet après avoir reçu la motion leur a promis rendre fidèlement compte à qui de droit.

 

(LBL, 05/11/2010)

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3 novembre 2010 3 03 /11 /novembre /2010 05:36
jean kpingla Dans la nuit du jeudi 28 au vendredi 29 octobre 2010, le maire d’Adjohoun Gérard Adounsiba a été arrêté par ses administrés pour avoir été surpris de détournement de vivres destinés aux populations. Alors qu’un véhicule bâché rempli de vivres s’apprêtait à quitter la commune d’Adjohoun probablement pour Cotonou, il a été arrêté dans son élan par des cris de certaines personnes qui tentaient d’ameuter les voisins. Comme pour répondre à l’appel, les populations sont sorties nombreuses pour empêcher le véhicule d’évoluer. C’est ainsi que le maire Gérard Adounsiba sortit d’un autre véhicule juste derrière la voiture bâchée pour essayer de calmer ses personnes qui ne voulaient pas entendre raison. Car pour elles, il était inconcevable qu’en dépit de leur misère que leur maire cherche encore à les ‘’voler’’. Comme pour sortir le maire d’affaire, les éléments de la brigade ont accouru. Cependant, les populations sont restées campées sur leur position. Il a fallu l’arrivée sur les lieux du 2ème adjoint au maire pour les convaincre de laisser le maire partir. Néanmoins, celles-ci ont immobilisé la voiture bâchée. Une fois libéré, le maire a refusé de dormir à sa résidence au risque d’être attaqué par les populations revanchardes pas plus qu’il ne pouvait rallier Cotonou vu l’heure qu’il était. C’est ainsi qu’il a été convié à passer la nuit chez un conseiller communal et c’est au domicile de ce même conseiller que le lendemain, le conseil communal a été tenu. Selon certaines indiscrétions, le maire Gérard Adounsiba ne serait pas à son premier essai et aurait fait pareil l’année écoulée. Les mêmes sources font aussi état de ce qu’il serait passé maître dans les coups tordus car il aurait été récemment épinglé dans une affaire de diplômes litigieux. De sources dignes de foi, les vivres usurpés auraient pour destination le complexe scolaire Saint Gérard de Villiers, propriété du maire Gérard Adounsiba où ils seraient utilisés pour nourrir les enfants à la cantine. Dans le même temps, le maire Gérard Adounsiba nie tout en bloc et clame son innocence tout en ajoutant que c’est un grotesque montage contre sa personne. Mais pour faire la lumière sur cette affaire, votre journal poursuit les investigations. Affaire à suivre…
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2 novembre 2010 2 02 /11 /novembre /2010 04:12

Rt

De mémoire de Béninois, les cotonculteurs n’ont jamais assisté à un pareil lancement de la campagne cotonnière. En effet, à la fin de la saison pluvieuse et qui coïncide avec l’éclosion des capsules de coton, le ministre de l’agriculture, de l’élevage et de la pêche, Michel Sogbossi, procède à cette cérémonie qui consacre le début de la commercialisation du coton graine selon leur qualité. Aussi assiste-t-on à une simulation de vente. Simulation au cours de laquelle on charge devant l’assistance un véhicule de coton. Que n’a été la surprise des participants surtout les paysans de n’avoir pas assisté à une telle simulation. Mieux, il n’y avait aucune trace de coton sur la place du lancement de la campagne cotonnière 2010-2011. Une chose qui a fait tomber à la renverse tous les cotonculteurs lorsqu’ils ont appris la fin de la cérémonie. A l’analyse de la situation, on se demande pourquoi le ministre l’agriculture, de l’élevage et de la pêche a tenu coûte que coûte à lancer la campagne cotonnière alors que les plants de coton ne sont pas encore à maturité. Qu’est-ce qui peut expliquer une telle attitude du ministre ? Pourquoi un empressement de la part du gouvernement alors que l’objet de la cérémonie n’est pas encore disponible ? Aucune raison ne saurait soutendre cet empressement car ce qui s’est fait la semaine passée est simplement et purement de l’improvisation à haute dose. Peut-être que c’est pour camoufler cette erreur sans précédent qui a fait dire au ministre que les cérémonies de lancement de la campagne cotonnière ont souvent lieu pendant les mois de décembre ou de janvier mais que cette fois-ci, ils ont voulu que cela soit en octobre. Certes, une première mais une grosse bourde à la mesure de l’improvisation à la Michel Sogbossi, qui restera gravée dans le cerveau des cotonculteurs.

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29 octobre 2010 5 29 /10 /octobre /2010 05:23

La façon dont  les scandales se suivent, s’entremêlent  et  s’entassent sous le régime Yayi au lieu d’être considérés comme des faits banals, méritent réflexion. Comment quelqu’un qui a été élu président de la République avec plus de 75% du suffrage exprimé peut du jour au lendemain chuté jusqu’à ce point dans le cœur des Béninois et accablé de toute part par les difficultés. En dehors du fait que la classe politique par ses stratégies lui ont compliqué la gestion du pouvoir, les difficultés actuelles du chef de l’Etat tiennent quelque part leurs sources de la misère qu’il a faite à certains compatriotes. Au nombre de ceux-ci, figurent en bonne place, le président Séfou Fagbohoun et l’opérateur économique Abrahim Salifou alias Aladji Sasif.  Le premier a commis le tort de le soutenir au second tour des élections présidentielles de mars 2006 pour qu’il devienne président. Puisqu’il a fallu que Boni Yayi prenne le pouvoir pour que les malheurs de l’homme d’affaires commencent. Il l’a d’abord envoyé en prison avant de saisir ses biens immobiliers et bloqué tous ses comptes bancaires sous le fallacieux prétexte qu’il aurait acquis la Sonacop de façon frauduleuse. Quant à Sasif, il a commis le péché d’aimer un homme pour qui il a travaillé corps et âme afin de lui permettre de briguer un second mandat. En effet, non content d’avoir investi sa fortune pour faire la promotion et la propagande du Changement, il a préfinancé tous les marchés gagnés par sa société pour éviter au régime de faire des éléphants blancs. Mais au lieu d’être nourri au prytanée pour nobles et loyaux services rendus à la Nation, on n’a voulu enterrer l’homme vivant. Seulement comme il y a un dieu pour les pauvres, le créateur du ciel et de la terre a décidé de se venger au nom de toutes ces personnes  et c’est ainsi qu’il fit descendre les malheurs sur Yayi pour lui rendre le pays ingouvernable et donc le faire partir. Actuellement, sauf erreur de dernière minute, Boni Yayi est déjà parti car partout sur les lèvres, c’est le message qu’on lit. Pas plus tard qu’hier, des jeunes alors qu’ils étaient dans les rangs pour se faire enregistrer dans le cadre de la Lépi, ont dit en substance que s’ils bravent le soleil pour faire leur devoir citoyen, c’est pour avoir leur carte d’électeur et faire partir Boni Yayi par les urnes en mars 2011. A vouloir donc s’en prendre aux plus faibles en jouant au ‘’Django’’, c’est qui arrive.

Jean Kplingla

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29 octobre 2010 5 29 /10 /octobre /2010 05:22

(Il n’y aura pas assez d’argent pour boucler le budget)

Annie Lèwan

Comment vont les finances sous Yayi ? Plutôt mal peut-on dire. En tout cas, ce qui ressort de la dernière rencontre des cadres de la Direction Générale des impôts et domaines est plutôt lugubre pour le gouvernement du Changement. En effet, il y a fort à parier qu’au terme de l’année fiscale en cours, les réalisations budgétaires, sont largement en deçà  des prévisions. Le gouvernement du Changement dans son budget 2010 adopté par ordonnance avait placé la barre à près de 320 milliards de recette pour cette régie financière. Une contribution qui devait apporter une impulsion aux ambitieux projets  de développement annoncés par le gouvernement du Changement et son prince.  A moins de 3 mois de la fin de l’année, il apparaît que la Direction Générale des impôts et domaines ne pourra pas  atteindre le quota à elle fixé par l’Exécutif. Si les arguments pas toujours convaincants  ne manquent pas  à  l’écoute de la Directrice Générale, il y a que jamais depuis plusieurs décennies, les impôts n’ont connus une telle contre-performance. Même si l’année dernière on pouvait se risquer de dire que  ça ne va pas,  cette année, c’est purement et simplement la catastrophe.

Pour exemple, à la même période en 2009, les prévisions étaient réalisées à plus de 70 %. Cette année, c’est avec grand-peine  que la barre des  60% a pu être atteinte. Du coup, de gros nuages pointent à l’horizon du recouvrement des recettes et il n’y a quasiment aucune chance, sauf miracle que les  milliards prévus puissent être encaissés. Enquêtes faites, il ressort que les impôts sur le bénéfice, les impôts salariaux, la TVA sont en nettes régressions. Ce qui infléchit lourdement la tendance. Du coup, on se pose la question de savoir si une fois de plus,  le manque de vision stratégique de Yayi et de son gouvernement  n’est pas à la base de ce loupé magistral que s’apprête à vivre Madame Baba Moussa, Dg impôt. A moins que ce ne soit la gestion de la directrice qui soit en cause, on comprend difficilement cette contre-performance. Cela étant, on ne peut s’empêcher de s’interroger sur l’esprit qui motive la décision de payer des primes aux  employés pendant que la maison n’atteint pas les résultats escomptés et que la part du budget nationale à honorer par cette régie ne soit probablement pas atteinte. D’autant plus que durant le mois d’octobre, au moins pendant la moitié, l’administration des impôts s’est enlisée dans les grèves à répétition, au motif essentiel de l’affaire Dangnivo.

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29 octobre 2010 5 29 /10 /octobre /2010 05:18

(Yayi vert de jalousie)

Lydia Touré

Il est longtemps resté silencieux sans qu’on ne puisse vraiment dire où il allait. D’aucuns l’ont annoncé en son temps dans le camp de Yayi, aux premières heures avant qu’il ne montre,  lui et certains députés comme Ahossi Basile que les postes ministériels ne sont pas l’essentiel quand on a de la conviction. Il était donc de ceux qui ont gentiment refusé l’offre de Yayi de faire de lui un ministre. Il faut dire que le poids politique de cet ancien ministre de Kérékou, régulièrement élu depuis 1996 est incontestable, et qu’il a été presque toujours choisi dans une des circonscriptions électorales les plus peuplées. Valentin Aditi Houdé, l’homme de Zè, serait aux dernières nouvelles,  prêt à embarquer pour la galaxie Abt, rejoignant ainsi quelques uns de ses camarades du groupe parlementaire G13, pour qui le président de la Boad est l’homme qu’il faut pour gouverner le Bénin en 2011.  Si l’information encore au conditionnel était avérée, cela représenterait une perte énorme pour la mouvance Fcbe. Le chef de l’Etat l’ayant compris depuis bien longtemps a tout fait pour le ferrer sans vraiment y parvenir, l’homme ayant toujours su garder ses distances vis-à-vis de Boni Yayi dont il ne garde pas de bons souvenirs. Ayant fait les frais de ses revirements on comprend qu’il préfère voir ailleurs plutôt que  de se livrer à lui. En définitive, la destination Abt paraît donc la plus sûre et la plus intéressante pour lui.

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29 octobre 2010 5 29 /10 /octobre /2010 05:14

Depuis 20 ans, l’Etat béninois soutenu par le programme des nations unies pour le développement est en train de ruiner la  famille da Trinidade dont le propriétaire a commis l’erreur de leur louer sa maison. Après plusieurs années de lutte acharnée pour récupérer ce qu’on lui devait, Joseph da Trinidade a fini par rendre l’âme du fait de la méchanceté des différents gouvernements qui se sont succédé en affichant une insensibilité sans précédent à l’endroit de sa famille. Aujourd’hui, sa veuve continue le même combat pour améliorer ses conditions de vie celle de ses enfants en demandant seulement à l’Etat de lui payer ce qu’on lui doit. Mais tout porte à croire toutes ses tentatives sont vaines et vouées à l’échec. Puisque dans l’actuel gouvernement de Yayi, il y a l’avocat conseil de la famille en la personne de maître Baba Body dont l’entrée dans cette équipe a fait naître une lueur d’espoir. En effet, les membres de cette famille espéraient qu’une fois proche du chef de l’Etat, le ministre Baba Body a la possibilité de toucher directement Boni Yayi, afin que ce dernier qui a été toujours à l’écoute de ses compatriotes et qui a horreur de l’injustice, puisse prendre les mesures nécessaires pour les sortir de cette misère. Mais chaque jour que Dieu fait, cet espoir semble s’envoler. Et pour cause, le nouveau costume ministériel dont se vêtit leur avocat lui a bandé les yeux sinon lui a sortit ce dossier de la mémoire. L’espoir né de l’entrée au gouvernement  de l’avocat conseil Baba Body a laissé place à la désolation. Après la publication des articles sur le sujet, nous avons tendu notre micro à quelques compatriotes qui se sont prononcés. L’intégralité de leur réaction…

Adrien Loumèdjinon, étudiant en socio 4

Je pense que c’est de l’injustice entretenue au sommet de l’Etat depuis 20 ans. Mais moi j’ai l’impression qu’il y a une main sournoise qui serait en train de bloquer les choses. Maintenant si tant est que c’est l’Etat béninois qui est responsable de cette ignominie alors c’est grave et c’est dangereux. Il faut que Yayi donne les instructions fermes pour régler cette situation le plus tôt possible. Car il y  va de son intérêt aussi.

Suzanne Dolémon, revendeuse à Dantokpa

Moi je ne comprends pas qu’on puisse affamer une famille pendant 20 ans surtout quand il s’agit de l’Etat. C’est impensable. Les différents gouvernements qui se sont succédé ont fait quoi de ce dossier. C’est pénible hein…. moi je suis de cœur avec cette famille. Mais est-ce que notre président, le docteur Boni Yayi est au courant de ce dossier ?

Madame Rosaline Alley dit Maman ‘’riz chaud’’, vendeuse  à Tokpa

Cette histoire si elle est vraie, alors notre état a péché et ces blancs-là aussi. C’est grave ! Affamez toute une famille  pendant 20 ans, c’est l’enterrer définitivement et je ne pense que Yayi cautionne cela. S’il est au courant, il n’y a aucun doute il va régler ça. Je le connais, il est bon pour ça !

Gilbert Dossoumon, vendeur de pièces détachées à Saint Michel

20 ans de location non payée par l’Etat, ce n’est vrai monsieur le journaliste. Comment l’Etat peut devoir à quelqu’un pendant tout ce temps. Et Yayi aussi ne réagit pas. Ça m’étonne que le chef de l’Etat soit au courant et ne réagisse pas. Ça fait trop bizarre. En tout cas, moi je ne crois pas encore à cette histoire.

Ulrich Zamènou, enseignant

Il n’y qu’au Bénin qu’on  voie ou qu’on attende ces bizarreries. L’Etat béninois qui doit 20 ans de loyer à un citoyen béninois. C’est malheureux quoi. Ailleurs, cette famille aurait  déjà traduit l’Etat béninois devant les hautes juridictions pour que le droit soit dit.

Abdul Ramane Salako

Le rat a l’habitude de s’amuser avec tous les objets qu’il rencontre dans la chambre mais jamais avec le squelette de la tête du chat. En tout cas moi, personne ne peut faire ça avec moi. Je serai à la place de ses enfants que j’aurai déjà créé l’incident, Coooommmment !!! L’Etat nous oblige à payer les impôts donc il n’a pas le droit d’agir de la sorte envers nous. D’abord, ce dossier, il faut obliger Yayi à prendre ses responsabilités. Mais que fait son ministre Baba Body qui est pourtant l’avocat conseil de la famille ? Il me semble qu’il y a un complot contre cette famille.

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28 octobre 2010 4 28 /10 /octobre /2010 06:04

Dans sa parution d’hier,  le quotidien Fraternité a publié une correspondance que le fils de Salomon Abou Yayi, cousin du chef de l’Etat a adressé à l’opinion publique. Cette lettre faisant en substance état de ce que  c’est le chef de l’Etat lui-même qui aurait conseillé à son cousin Abou Yayi de travailler avec Emile Tégbénou dans les forages.  Ne se reconnaissant pas dans le contenu de ladite correspondance, le cousin du chef de l’Etat,  Abou Salomon Yayi,  a réagi à travers une lettre pour apporter la lumière sur les déclarations contenues dans la correspondance de son fils adressée à l’opinion publique. Contrairement à ce qui a été dit par son fils, Abou Yayi explique que c’est lui qui a introduit Emile Tégbénou au président Boni Yayi   tout en lui signifiant qu’il travaille avec lui dans les forages. Il ajoute que c’est parce que le chef de l’Etat n’a pas  été convaincu de ses explications par rapport à ses relations avec Tégbénou qu’il a fini en prison. Qui d’autre que Abou Salomon Yayi peut mieux parler des relations qu’il entretient avec Emile Tégbénou et de comment le chef de l’Etat a rencontré cet homme?

Lire l’intégralité de sa réplique dans la paution de ce jeudi

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28 octobre 2010 4 28 /10 /octobre /2010 05:37

Les habitants de Mènontin ont vécu une matinée toute particulière hier, mercredi 27 Octobre 2010. Le matin, aux environs de 7heures, des braqueurs en embuscade s’étaient réfugiés dans les recoins stratégiques jouxtant la pâtisserie située sur la voie pavée menant vers l’ancienne église de Mènontin, et ce,  prêts à opérer. C’était sans compter avec la détermination des éléments de la police qui, informés depuis la veille de ce coup, s’étaient positionnés pour apporter une riposte à la mesure de l’attaque. Si pour le moment, on ne peut dire avec précision ce qui a provoqué le premier coup de feu, il faut reconnaître que les forces de sécurité n’ont pas laissé le temps aux braqueurs de passer à l’acte. Les échanges de tirs ont duré dans un premier temps une dizaine de minutes. Un délinquant est tombé sur les balles des éléments de la Police. Un autre, blessé a pris la fuite et disparut dans une maison voisine. Il sera poursuivi, rattrapé et abattu après s’être réfugié au dernier étage de ladite maison. Quelques minutes après, des coups de feu retentirent de nouveau. Un 3ème malfrat est grièvement blessé et les forces de sécurité se lancent à la recherche du 4ème qui a réussi à  s’évaporer dans la nature.

                        Les employés de la patronne seraient dans le coup

De sources concordantes, il semble que le coup serait venu de la maison à savoir de certains collaborateurs de la patronne des lieux. En effet, c’est l’un de ces derniers qui aurait informé les délinquants qu’une somme importante estimée à des centaines de millions FCFA sera transportée de la maison avec pour destination une des banques de la place. Donc, l’opération consistait à braquer la dame, à lui arracher le magot et à s’évaporer ensuite. Mais dans les combines, un autre employé aurait été mis au courant de ce vilain coup. C’est lui qui aurait informé la patronne qui n’a pas hésité un seul instant à alerter les éléments de la police qui ont investi les lieux le matin d’hier. Et le résultat est là !

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27 octobre 2010 3 27 /10 /octobre /2010 21:28

Qu’il vous souvienne, il y a environ 7 ans, alors que le peuple béninois célébrait à l’instar d’autres peuples du monde, la fête de la nativité, un avion de la compagnie « Union des transports aériens de Guinée » (UTA) venait de s’écraser en pleine mer à peine décollé à Fidjrossè. C’était la consternation. Les moments de réjouissance se sont vite transformés en désolation. Le bilan est lourd : plus de 136 morts et des blessés en majorité des libanais qui se rendaient au pays pour y fêter avec les siens. Après plusieurs années d’enquêtes sur cet tragique accident, la cour criminelle de justice du liban vient de condamner le pilote libyen Nejib Al Barouni qui assurait la liaison Cotonou-Beyrouth ainsi que le Libanais Darwiche Khazem, représentant de la compagnie UTA à 20 ans de prison par contumace selon des sources judiciaires. En plus de cette condamnation, Nejib Al Barouni et Darwiche Khazem devront également payer l’équivalent de 930.000 dollars à titre de compensations personnelles. Une décision qui bien que ne pouvant plus rendre aux familles endeuillées, leurs disparus, vient à travers ce jugement soulager un tant leurs peines.

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A chacun sa force de frappe !

   A défaut de pirate, un pêcheur peut faire l'affaire !

 

Pourquoi chercher loin quand il y a à côté ? dit-on. C’est cette politique que les garde-côtes béninois ont pratiqué vendredi 11 novembre dernier. A défaut de s’en prendre aux pirates qui ne cessent de les narguer puisqu’on est à peu près 20 actes de piraterie, ils ont mesuré leur adresse de tir sur deux pêcheurs béninois dont l’un a rendu l’âme du fait des balles reçues. Voilà comment notre Marine se prépare pour parer aux pirates dont ils ne voient jamais la poussière. Drôle de d’entrainement !